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Tag: tendresse

Les enfants

Les enfants

L’enfant, symbole de cet amour hagard
Je fais ce rêve toujours trop tard
Je chante parfois cette grande peine
Loin, si loin de celle que j’aime

Je suis le capitaine d’un naufrage trivial
J’escalade souvent ta plus belle cathédrale
Je grave ton délicieux prénom dans le marbre
Et te cherche en haut de mon vieil arbre

Tu es le fruit de mes plus grandes passions
Tes yeux m’ont fixé et j’ai reçu ton ovation
Ces rêves quotidiens me peinent et m’attristent
J’écoute l’air mélancolique de ce violoniste

La tendresse se lit sur ton doux visage
J’imagine que tu puisse tourner la page
Je te perdrais, toi et tes légers délices
Tu me condamneras aux plus immenses supplices

Tendresse et Révolte

Tendresse et Révolte

Tendresse ,beauté de notre petite jeunesse
Tristesse perdue dans une grande vieillesse
Les roses du printemps tournent et virevoltent
Elles fanent signe de l’approche d’une révolte

En ces temps où l’on oublie son prochain
Qui nous regarde, exprime ses chagrins
Que d’être laissé à l’abandon, esseulé
Je n’ai rien vu, même si la vie l’a broyée

Je suis parmi sept milliard d’être humains
Qui se côtoient, se serrent parfois la main
Et qui se racontent nombreuses vérités
Comme des mensonges bien organisés

Je perce le mystère que vous provoquez
J’ai appris à en résoudre tel un initié
Je perce vos attitudes si curieuse
Pour lire dans vos pensées ignominieuse

Récit fusionnel

Récit fusionnel

La fusion née de nos connivences
Manquent en ta totale absence
J’ai besoin de te voir, de t’écrire
Et dans tes yeux ouverts , te lire

Je suis triste être moins présent
Au point qu’amertume je ressent
Et c’est mon âme ensanglantée
Qui se trouve maintenant abîmée.

Je n’ai que des mots si facile
Pour te décrire les gravats de l’île
Sur laquelle je me suis enfouis
Pour ne plus comprendre ma vie

Mon esprit t’aime avec certitude
Quelque soit la grande altitude
Que je gravis par petits échelons
Pour tatouer à jamais ton nom

DES HAUTS, DES BAS

DES HAUTS, DES BAS

Des hauts, des bas, la vie , par ci, par la
Je prend peur en ton absence, ne t’en va pas
je suis l’égoïste abusé de ta chaleur égarée
Je ne pourrait même pas te faire mon cinéma

Le scénario de notre vie et de la tendresse
Ne font de nous des bourreaux avec une laisse
Je me sent si triste quand tu agit en catimini
J’essaye pourtant de ne t’attrister avant la nuit

J’ai encore rêvé de toi sous ce soleil brûlant
D’effort et d’impatience d’aller de l’avant
Si je savais ou trouver toute l’énergie
Nécessaire pour que je n’ai plus d’insomnie

Je veux m’endormir paisiblement autour de toi
Et peut être un jour ne plus me réveiller, j’aboie
Je crie, je hurle, je vocifère, je t’aime encore!
Donne moi ta main, ton cœur, ton corps, mon trésor.

Aigle Blanc

Aigle Blanc

Aigle blanc, Aigle dormant
D’un exceptionnel talent
Ma petite églantine
Ne tombe pas en ruine

Dotée d’un éternel chagrin
Tu es mon petit matin
Ma vie, l’amitié, mes regrets
Ton cœur se tient prêt

Il bourgeonne d’amitié
De chemin, tendresse, vérité
Une petite fée de la vie,
Une étoile dans la galaxie

L’or vient de ton âme
Tu as ouvert une petite vanne,
J’idolâtre tes choix
Tu me laisse sans voix

Souvenirs

Souvenirs

Souvenirs lointains, souvenirs puritains
Souvenirs d’amitié , de tendresse
Oh, non je ne t’ai oublié jeunesse
Si il te plait, approches-toi, viens

Que vaut la vie maintenant
Pacotilles et choses ulcéreuses
Et je suis toujours là. Amoureuse
Reviens vite pépite d’avant.

Tombée du ciel

Tombée du ciel

Une étoile accrochée dans mon univers
Qui file à tout vitesse, dans l’air
Frais de mon océan, de ma tendresse
Pourvu que ces mots soient vieillesse

Je te tends mes deux mains
Ce n’est qu’un petit rien
Qui fait un petit tout
Qui fait que ce soit nous

Et si un brouillard apparaissait
Je ferais pour qu’il s’éclaircisse
Et tes larmes, tes cris, je viderais
Et ton cœur, ton alarme, reste lisse

Et ces termes pour dire que l’amour n’a pas de mots
Pour crier qu’il est là, qu’il reste
Même si parfois il se comporte en idiot
Il ne peut comme cela, retourner sa veste

Loin de là

Loin de là

Loin de là, loin de moi
Viens par ici mon extraordinaire
Toi qui fait partie de ma sphère
Je suis loin de ton émoi

Et toutes ces choses roses
Et le lilas sur ta douce figure
Et cet oxygène morose
Contient ton air pur

Ta tendresse regardée
Dans ce ciel d’été
Est comme ma vue
Sur le boulevard ingénu

Je cours, tu me fuies
Je te fuies, tu cours
Et je t’attrape au retour
Allez continue, je rie

Parole d’un ange

Parole d’un ange

Un jour, la parole d’un ange se libéra
Elle me prit, sans redevance, dans ses bras
Et d’une tendresse immense, elle se jeta
Dans mes yeux que voilà

Et elle n’a aucune opprobre de le faire
Tandis que d’autres préféreraient se taire
Toi qui n’a aucune opulence
Mais qui se montre heureuse, sans absence

Et je distingue cette douce figure
Qui m’aime , et qui me rend l’air pur
Et il n’y aucune honte à ton impotence
Cela n’a absolument aucune importance

A mes yeux, à mon âme, à mon corps
Ce n’est que par la volonté que l’on s’aime
Pendant que les autres pensent des choses obscènes
Je n’ai pas peur d’aborder ensemble la mort

C’est la continuité de la vie
Celle qui m’a dit, mon ami :  » Souries »
Et je t’ai parcouru mon trésor
Pour extraire la vie, hors bord

Je ne mire sur personne
D’autre que toi, source de chaleur
Et parfois je me blottis quand j’ai peur
Que tu ne me revois, moi, ton homme

Et même si l’existence est ardue
Je t’assure de toute ma conscience
Que tu ne seras pas perdu
Ni trainé dans l’ignorance

Tendresse

Tendresse

Tendresse, jeunesse, tendresse, vieillesse
Ces vieux, ces hommes, ces femmes, ces enfants
Je voudrais leur dire que nous vivons dans un monde grand
Je voudrais leur dire que chacun peut apporter la douceur et la tristesse

Tendresse quand tu nous tiens
Tendresse à disposition de l’humain
Tendresse partagée
Tendresse caressée

Chacun de nous partage un jour un moment à l’autre
Chacun de nous voyage au pays des rêves
Chacun de nous à le cœur qui crève
Chacun de nous se sent parfois un peu apôtre

Que désignais-je l’ami par de mot si brutal?
Je vois là des choses anormales
Merci à nous tous d’avoir créé l’amitié
C’est elle pour laquelle on ne défaillirait.

La tendresse et la passion

La tendresse et la passion

On ne t’a pas dit?
La vie ici n’est pas
Ce que tu crois

Un jour comme ça
Lorsque tu te crois au trépas
Quelque chose te réveille
T’émerveille

Comme si elle t’avait poussé
A devenir une fée
Tu aurais aimé avoir des louanges
Mais tu n’es pas aux anges

La difficulté te mène chaque jour
Sans retour
Mais elle est là
C’est celle du chaleureux pas

Elle te guidera à toute heure
Comme le bonheur
Ce sont des mots qui font rêver
Même si je ne suis pas Morphée

C’est le fruit de l’amour
qu’on porte envers autrui
Et il faut
Que cela reste au chaud.