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L’ombre

L’ombre

Je pense à vous à chaque seconde
Je suis l’ombre de votre vie
Avec la main d’un grand ami
J’interprête toute vos ondes

Sans bagage, je suis parti rêver
Sans amour, je m’évade et m’absente
Tard le soir, tot le matin, je rentre
Sans confidences, il n’y a d’amitié

J’étais une rose épanouie dans un jardin
De fleur de lys, arrosé à chaque instant
Venerant cybèle, ma divinité du moment
Du fond du précipice, mine de rien

Je suis docile comme l’agneau dans le pré
S’étant échappé d’un grand asile de fou
Rien n’est très clair, tout est si flou
Je reste assis sur ma chaise, hébétée

Coeurs d’adultes

Coeurs d’adultes

Des cœurs d’adultes enchevêtrées
Qui se sont liée d’une grande amitiés
De chaque instant, de petits bonheurs
Jusqu’au plus grand des malheurs

Ces instants si doux et agréables
Parfois si difficilement palpables
Qui font de nous des êtres uniques
Avec parfois des rires sataniques

En lisant ton sulfureux regard alerte
Des fleurs de jasmins se sont ouvertes
Je t’en ai offert une à chaque seconde
Du temps que tu m’accorde, sans vergonde

Tu est le phénix renaissant de ses cendres
Qui de son arbre ne veut plus descendre
Je te suit dans ces nids peu douillets
Pour toujours, pour maintenant, l’éternité

 

Le ciel assombri

Le ciel assombri

Le ciel assombri, il fait désormais gris
Je te voit, nous nous sommes réunis
Pour vivre cette histoire de toujours
Nul doute, nous avons l’amour

Nous voudrions être parfois trois
Mais il faut être deux, chaque fois
Je suis présent, armé de mon pouvoir
Là où chaque décision est à surseoir

Je voit aussi loin que le sable du Sahara
Quand le jour je virevolte et tournoie
Quand la nuit nos corps sont si proche
Quand s’allume nos grandes torches

Tu m’ensoleille chaque petite seconde
Je suis l’amoureux qui parfois t’inonde
De bonheur, de questions, d’envies
Oui, maintenant, je t’ai choisi

Le temps passe

Le temps passe

Nouveau style pour cette poésie

Le temps passe sur le couloir de mes nuits blanches
Et s’envolent les colombes dans le ciel
Et tu viens décrocher mon tremplin
Tu peux monter en haut des pyramides

Faire coucou à celui du bas
Qui est rempli de chagrin, d’amertume
Et ton cœur s’allège à cette pensée
Que tu émets chaque seconde

Tu es toujours en haut de l’arbre
Celui au cent feuilles mortes
Que tu rajeunis et fais vivre
Avec ton sourire qui les colore

J’ai besoin de mon eau de vie
Sinon sans quoi je me sentirais puni
Par les êtres supérieurs
Ta tentacule de mot m’atteint

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps

L’unique Sage

L’unique Sage

Je souhaite rendre hommage
A une femme pleine de courage
Je souhaite rendre hommage
A une femme sage

Unique être qui comprend certaines vertus
Unique être qui est compréhensif
Unique être qui m’a lu
Unique être qui est vif

Je n’en ai pas rencontré une pareille
Je ne l’ai même pas vu dans mon sommeil
Mais seulement au réveil !
Voilà la plus vertueuse des petites abeilles.

Jamais on n’a pu autant se dévouer pour des étudiants
Qui n’arrivent pas à rentrer dans les rangs
Autant de gentillesse méritent d’être récompensées
Et c’est pour cela que je le fais.