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Douleurs

Douleurs

Une seconde s’épuise chaque jour
Dans l’antre de la flamme qui me traverse
Cette douleur continue qui me parcoure 
Je passe sous les gouttes de l’averse

En silence, cette si belle souffrance
Qui m’anime du crépuscule au coucher
Je pince ma chair par vengeance
Pour ne plus chaque jour pleurer

J’attendrais encore demain ton retour
Toi l’impercetible mal qui me ronge
Je veux t’oublier tout les jours
Je tente de passer l’éponge

Je m’abreuve de larme de fatigue
Je perds l’espoir dans ma lutte acharné
Le dieu douleur contre moi, se ligue
Les traits malades et tires

Les valises

Les valises

Je vais poser mes valises dans ce coin de désert
Dans ce sable fin et granuleux, près de cette mer
Je chaufferais des gamelles sur un feu de bois
Me moquant éperdument des textes et des lois

Je planterais des clous, dans ces rochers qui s’effritent
J’écaillerais les poissons et les requins à mon rythme
Je chanterais cette mélancolique et fulgurante mélodie
Je crierais à corps perdu durant toutes ces insomnies

J’ai pleuré tout mes désespoirs et plus petits espoirs
Les oisillons sont parti siffler si loin, en ce beau soir
Je tire les leçons de mes engagements si généreux
J’ai serré si fort, tout ces cœurs perdu, et heureux

La tristesse ne m’a plus quitté, ces derniers mois
J’ai le blues de l’âme, un bleu dans mon cœur en émoi
Je suis sans cesse dans une guerre moderne, permanente
Fini les vingt ans, les déceptions de tout ces gens qui mente

Les liens

Les liens

J’ai pleuré des années sans amitié
J’eu la grande chance d’être relevé
Le vie passe, les relations trépassent
Sauf les liens solides qui se dépassent

Le temps n’efface rien aux blessures
Il les atténues et nous rend mûres
Il n’arrose pas une pétale fanée
Mais assure une plantation doré

L’amitié et l’amour sont différents
J’hurle les bonheurs en chantant
Avec ma main fébrile et légère
Qui peut maintenant vous plaire

J’ai fait reculer peur et trahison
Et j’essayai de faire entendre raison
Aux perdus du présent, du passé
Aux autres personnes que j’aimais

Enfants meurtris

Enfants meurtris

L’émotions qui se lit sur vos visages
De voir tant d’obus et de petit saccages
Se trouver sous le feu d’un tir de roquette
Car l’un et l’autre n’entendent les requêtes

Celle d’un peuple désemparé qui n’a rien demandé
Qui ne fait qu’attendre l’espoir en ayant pleuré
Se trouvant enfermé parfois dans de petits goulags
Pour avoir parlé, manifesté, protesté, suivie la vague

Atterré par tant de sang sur les mains d’assassins
Qui détruisent la vie et n’ont aucun destins
Écorché par une guerre a affronter sans merci
Ces enfants joviaux n’ont plus jamais souris

Les larmes des mères ayant tout perdu maintenant
Qui ne savent plus où aller ni dormir présentement
Le combat des pères pour sauver leurs familles
Des bombes, des tirs, des morts, des fusils

Bouleversement

Bouleversement

Bouleversement, attendrissement et ces mots tendres
Que je te tend, que tu renverses, que tu bouleverses
Pour réveiller en moi ce que j’ai, cette habile adresse
Qui s’était endormie dans mon âme, que j’ai voulu vendre

Mais tu n’as pas besoin de te réveiller en porte-jaretelles
Pour continuer à mon égard d’être belle
Restes simplement toi, la plus naturelle
Car forcer le destin, c’est percer les nuages, le ciel

Toi qui es si douce, tu as bousculé mon existence
Toujours avec des heures d’avance
Et avec une si grande insolence
Et si tu ne l’avais fait, je ne me serai fait violence

Mais il n’y a pas besoin de se gâcher la vie
Pour être connu, reconnu
Le bonheur tient à quelques envies
Parfois insoluble,vu, revu et maintenant vendu

Et si vous pleurez chaque soir, sachez qu’il y’a plus triste
Et qu’il y a des gens, qui ne visitent que leur intérieur
Et qui oublient que le monde, les amis, c’est l’extérieur
Alors maintenant vivez! Refaites tourner le tourne-disque!

Sentiments

Sentiments

Sentiment dérisoire, face à tant d’acharnement
Sentiment d’un soir, face à cet engouement
Je pleure, je rie, mais dans des bras ouverts
Je parle, je crie dans ce vieux monastère

Il n’y a pas de contrôle de ma toute puissance
Il y’a seulement encore une certaine ignorance
Et vous, vous êtes là, à m’assener de questions
Qui ne servent qu’à me mettre en émotion

Mal aise sur cette terre qui ne m’est destiné
Et j’ose employer le mot souffrance
Pour ne pas dire ma plus cruelle vengeance
Celle que chaque jour j’ai décrété

Et la vie s’acharne sur mon bonheur
Mais j’aime ma petite fée, ma soeur
Qui vient me cajoler, consoler mes peines
Et moi de lui répondre je t’aime

Pleurs

Pleurs

Je n’arrive plus à contenir cette émotion
Émotion mélangé de joie et de tristesse
Ô toi que le souffle ardent du vent caresse
Ô toi et moi comme ce sera long

J’ai le cœur qui bat à la chamade
Tu m’a conté ta ballade
Tu m’a emmené vers ta rade
C’était une grande charade

Celle que l’on conte tout les jours
Celle qui voit l’amour
Aujourd’hui je pleure
Je ne nie pas que j’en ai plein le cœur

Me voici livré à toi
Tu me laisses sans voix
Tu restes mon roi
Celui qui sait ce qu’il y a en moi