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Les amitiés périlleuses

Les amitiés périlleuses

Amitié d’aujourd’hui, amitié d’autrefois
Moi qui émet l’amour et qui en reçoit
Qui se soumet aux éternels discours
Qui me rendent aveugle et parfois sourds

J’ouï ceux qui comprennent aisément
Certains de mes choix faits aveuglément
Je suis l’être qui somnole et souvent dérange
Celui du temps passé que rien ne change

Je m’en vais tournicoter dans ces tempêtes
Tu me tend ta douce main et me rouspéte
Je survole ton adorable côté burlesque
Tes pensées à mon égard si pittoresques

Je me noie dans ton immense rivière creuse
Petit à petit je m’enfui de manière joyeuse
Las d’entendre encore sonner le clocher
Qui me rappelle ces histoires d’amitiés.

Ma route

Ma route

Ma route , ma vie, totalement tracée
Ce chemin d’enfance qui m’a initiée
Pourquoi suis-je un crétin croyant?
J’ai enfoncé le bitume en marchant

Droit devant moi un succulent paysage
Droit derrière moi, que de jolis mirages !
Je caresse cet atmosphère totalement sain
Moi, qui pense à tout, mais ne dit rien

Mon étoile s’éloigne sans me dire au-revoir
Comme si mes rêves étaient mes désirs d’un soir
Comme si mon futur n’avait plus de gout sucré
Mais plutôt un odorat légèrement amer et salé

Je me suis accroché à cette petit balancelle
Qui à rendu mon existence un peu plus belle
Qui m’a dégourdi de dramatiques situations
Rien ne m’empêche plus de tourner en rond

Le cœur et l’esprit

Le cœur et l’esprit

Chère Alais,

Toi, la fille au grand cœur apaisé
Toi, parfois en grande difficulté
Je veux te dire que tu est l’amie rêvée
Qui m’a compris, m’a aussi aimée

Nous avons la fusion des esprits
Une relation totalement aboutit
Tu a l’esprit critique et établit
Tu est un bonheur, tu fait la vie

La rosée du matin est ma pensée
Pour toi, ton sourire, ton amitié
Je voit ce bateau qui est arrimée
Qui est solide, cadenassé

Tu éclairci parfois mon brouillard
Et souffle sur les blizzards
Qui nous surprend parfois par hasard
Alors qu’il fait nuit, qu’il se fait tard.

 

Tendre enfance

Tendre enfance

Tendre enfance, tendre adolescence, difficile survie
Je t’ai aimé, traversé des difficultés, tu m’a surpris
Tu m’a maudit, m’a honnis, m’a totalement détesté et ignoré
Je t’ai écouté comme un fils aimant, mais tu a violé ma pensée

Cela m’a mis dans une totale alarme, moi qui croyait mentir
Ayant vécu dans l’ignorance avec toi qui si facilement te tire
J’ai osé une certaine insolence mais à mes attentes tu fut sourde
J’ai redoublé de vigilance, tu n’a rien entendu et fait une bourde

J’ai cru que ton absence était légitime et que tu avais de l’amour
Mais vingt-quatre années m’ont permis de voir ce non-retour
Mon tracas maximum fut atteint et tu n’en eu aucunement conscience
Je suis et reste blessé par une attitude délétère auquel tu ne pense

J’ai décidé de prendre en toute quiétude ma vie et mon destin
Et me suis promis de ne jamais prendre un tel et étroit chemin
Ton esprit est si étroit que tu ne peut plus rien faire à présent
Je suis resté ouvert au dialogue , tu m’as bluffé trop longtemps.

Pensées

Pensées

à Cali, qui se reconnaitra

Pensée, amitié, pensée , volupté
Quatre mots pour dire aimer
Aimer de manière extraordinaire
Comme une vipère

Le rose et le bleu se marient
Tel l’étoile qui défile
Tel une couverture qui s’enfile
Et tu me réchauffe , amie!

Aujourd’hui, à ta vue, le ciel s’éclaircit
Et le soleil s’ouvre comme ton sourire
Et tes yeux pétillent d’espérance, de vie
Et tes larmes coulent comme la cire

Tout ces jolis et recherchés mots pour toi,
Pour te dire a quel point l’amour fait loi
Que ton regard est plus important que les autres
Que ton bonheur est ma foi.

Attachement

Attachement

@ Nathalie que je n’oublierais jamais

Attachement le mot du temps et de la vie
Affection, gout de l’amitié, passion.
A ton égard je me sent débridé, hagard
Bonheur, amour et gentillesse en sont les faits

Toi qui n’aime pas l’austérité
Et encore moins la vanité
Tu m’accueille avec spontaneité
Et je t’accepte, aussi, comme tu est

Des milliers d’étoiles scintillent en ta présence
Tu est la lumière de l’ignorance
Et chaque pensée est pour toi en ton absence
Toi qui m’offre chaque jour ta bienveillance

Le prix de l’amour des gens vaut de l’or
Et aujourd’hui l’or est rare
Alors toi, pierre précieuse, reste à mes abords
Car tout cela pourrait finir, tôt ou tard.

Le temps passe

Le temps passe

Nouveau style pour cette poésie

Le temps passe sur le couloir de mes nuits blanches
Et s’envolent les colombes dans le ciel
Et tu viens décrocher mon tremplin
Tu peux monter en haut des pyramides

Faire coucou à celui du bas
Qui est rempli de chagrin, d’amertume
Et ton cœur s’allège à cette pensée
Que tu émets chaque seconde

Tu es toujours en haut de l’arbre
Celui au cent feuilles mortes
Que tu rajeunis et fais vivre
Avec ton sourire qui les colore

J’ai besoin de mon eau de vie
Sinon sans quoi je me sentirais puni
Par les êtres supérieurs
Ta tentacule de mot m’atteint

Epris avec raison

Epris avec raison

Epris de toi, je ne cours plus
C’est ce regard flambant neuf
Qui connaîtra mes craintes entendues
Ma griserie ingénue

J’ai une ingouvernable sensation de mépris
Pour ceux qui n’ont pas compris
Que deux êtres peuvent s’aimer
Sans obligatoirement se quereller

C’est comme une irrepressible envie
De dire à cet univers
Que l’amour est différent de la guerre
Que chaque saison de nous c’est la vie

Pour certains les mots bonheur et respire
Deviennent irritant, compromettant
A tel point que la vie devient lente
Et que le jour et la nuit s’aspirent

J’ai la fantastique raison de penser
Sur cette terre que d’autres vies ont poussé
Mais que la notre est ravivée
Et c’est celle de l’éternité