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Les douceurs

Les douceurs

Toi, qui croit toujours en moi
Ma si belle amie, que j’ai croisée
Ce jour tant enneigé de février
Cette amitié de malheurs et de joie.

Je traverse les épreuves de douleurs
En écoutant ton corps et ton cœur
Quand je suis ce roi qui ne va plus
Vous êtes une reine cachée dans ce talus

Nos solitudes transformés en forces
Nos faiblesses gravés dans l’écorce
Nos maux parfois incompris
Il ne reste que l’amour d’un ami.

Ces insaisissables mots qui font du bien
Ces attentions, les paroles du quotidien
Cette main tendue par la vie
Qui vous font croire que tout n’est pas fini.

Mon amour, mon amour

Mon amour, mon amour

Mon amour, mon amour de toujours
Mon amour, mon amour de tout les jours
Ma princesse, ma fée, mes mains liées
Mon idole, ma déesse, au verbe animé

Je t’aime comme une hirondelle
Chantant les louanges de cybele
J’ai dessiné ce soir ton visage d’ange
Dans ce sable mouvant où rien ne change

Je meurt d’amour en te voyant
Tu m’offres la vie en me regardant
J’enterre souvent mon armature
Quand tu me raconte tes aventures

Mon visage s’anime d’une nouvelle joie
Quand tu m’encercle à chaque fois
Je chante comme un pinson du matin
Quand tu me siffle la bas au loin

Bécassine

Bécassine

Je suis ce rêveur, ce bel idéaliste
Au point de rosée, j’ouvre une fleur
Aux mille et unes magnifiques couleurs
La joie s’empare de mon air triste

J’effleure, si haut,dans la montagne
Ce chalet bleu ciel que je regagne
Cherchant un restant d’oxygène
Dans cet air pollué et obscène

Imaginant ces prairies joyeuses
Traversées par des bécassines heureuses
Tenant alors le diamant de la vie
Dans leurs becs à présent si affaiblis

J’ouvre le monde des possibles
Et referme les vérités impossibles
J’ai arrêté les calomnies qui font souffrir
Je ne pouvais plus vraiment en rire

L’amitié du moment

L’amitié du moment

Je suis l’amitié du moment
Je caresse une vague de la vie
Les cheveux dans le vent
Je te regarde avec joie

Tu fais briller le soleil, au réveil
Et décroches les astres perchés
Ton étoile qui file m’émerveille
Je suis parfois amer et attristé

Tu es si loin et si proche à la fois
Moi, capitaine d’un bateau en dérive
Je n’avais aucun espoir sans toi
Étant à bout, dans un certain qui-vive

Il est des jours où l’orage gronde si fort
Qu’il fait trembler les carcasses désossées
Je suis l’une des leurs, quelle métaphore !
Tu me ressuscites d’une toute petite mort

Le néant

Le néant

J’ai ressenti le plus grand néant
J’ai caressé tes cheveux dans le vent
J’ai fait sonné toutes tes timbales
Je suis frappé d’indignité nationale

Je suis parti contempler tout ce sable
Pour vous offrir mes sourires affables
J’ai reçu mille étincelles de joies
Qui m’ont mis dans un certain émoi

Je n’ai aucune valeur, aucun chagrin
Je ne donne plus que trois fois rien
Je saisi cet inatteignable arc-en-ciel
Tes paroles sont toujours aussi belle

Ma vie, mon corps a explosé en plein vol
Les sauveteurs n’ont pu que déblayer le sol
Et recevoir leurs belles médailles d’honneur
De n’avoir pas péri avec moi, quel malheur !

Les paysages lointains

Les paysages lointains

Je m’évade de cette prison embrumée
Et saute d’une jolie colline abîmée
Je patine dans ces désert brûlants
Et se déchaîne sur moi l’ouragan

Moi qui sautille de joie, qui vagabonde
Je ne changerais pas ce triste monde
Qui détruit tout à son petit profit
Dans vos yeux, votre désespoir, je lis

Je ne veux plus être le simple spectateur
Du temps qui m’est pris comme un voleur
Je veux agir pour le compte d’autrui
Et qu’enfin on me rende mon ami la vie

J’aspire au plus grand des bonheurs
Et tente de faire fondre tout mes malheurs
Ce paysage lointain se rapproche de moi
Je le vois, je le touche avec mes mains

Larmes séchées

Larmes séchées

Mes larmes ont tant coulées
Tandis que tu était contre moi
Ton silence m’a mis en émoi
Je n’ai plus rien à donner

Il n’y a plus d’envie ce soir
Sauf à venir sauver ce soldat
Qui a perdu la bataille de la joie
Et pense toujours finir au mitard !

Puis il y’a ces tout petits sursauts
Le destin que personne n’a prévu
Qui m’enferme dans ce monde reclu
Pour que je soigne mes légers maux

Je court sans jamais apprendre
Mes yeux vont se fermer à jamais
Comme certains êtres décédés
Qui aux aussi ont tenté de comprendre

L’absence

L’absence

L’absence qui me fait parfois peur
Je continue d’être dans son cœur
J’ai parfois pris quelques libertés
Mais je n’oublie jamais les amitiés

Vers d’autres cieux je me suis envolé
Pour ne jamais me sentir prisonnier
J’ai pris le chemin de la sobriété
Pour ne plus jamais faire d’excentricités

Mes fondamentaux sont vraiment acquis
Pourtant je ressent la sensation d’oubli
Sans le comprendre, ni même le vouloir
Ce qui ne m’empêche pas de le voir

Mon esprit est resté clairvoyant
Malgré les blessures saillantes
J’ai besoin de poser mes valises
Mes peines, mes joies, sur cette banquise

Les escapades

Les escapades

Les escapades, petites mascarades
Me sentant si bien en ta présence
Remarquant tes cruelles absences
Moi qui te conte toutes mes doléances

Je n’ai que deux yeux pour te regarder
Et deux oreilles pour toujours t’écouter
Et crier chaque jour toute mon amitié
Celle qui nous souri pour une éternité

Tes mots me consolent et me rendent bavard
Ta joie, tes larmes couchés sur ce buvard
Me permet chaque jour de croire à la vie
Dans laquelle j’avais tout détruit

Onze mois m’ont mis sur un bon chemin
Celui que tu m’a tracé chaque matin
Durant une entière et grande année
Celle qui est positive est ainsi achevée.

Les décéptions de l’amitié.

Les décéptions de l’amitié.

L’amitié est une histoire de grandes passions
Où les différences font parfois la raison
Le dialogue est le sommet de la sincérité
Et pourtant beaucoup ont souvent braient *

Souvent les relations sont abstraites
Et la présence n’est qu’aux jours de fêtes
Tandis que d’autres avouent leurs rancœurs
Et ne comte à bout de champs tout leurs malheurs

Un brin de nostalgie dans mes différentes palabres**
Parfois cela fini dans des gestes entièrement macabres
Et je regrette ceux-ci dans les cerveaux sans réflexions
Vous étiez ma destinée mais je n’écoute plus vos ovations

Quand l’amertume remplace le sourire, la joie, la vie
Quand l’inertie totale remplace l’envie d’aimer des amis
Quand des questions se posent sur le devoir de fidélité
Quand ceux concernés ne comprennent pas le sens du respect

*Du verbe braire.
** Palabres : Mots, phrases

Sentiments de la vie

Sentiments de la vie

Sentiments d’autrefois, sentiments de joie
Je suis de peu de foi, mais toujours là
Je suis l’ami qui rêve, et qui ne désespère
Absent parfois, mais toujours délétère

Mes mots ne sont que ma force et mon avenir
Je n’ai pas toujours su prendre les plaisirs
Et suis parfois triste, dans un monde fou
Qui me met parterre, parfois à genou

Doucement, je remonte cette pente si difficile
Aidé par l’amour, parfois l’amitié, si fragile
Pas toujours très facile, ni docile ni très tendre,
Je suis là a vos côtés, avec vous, pour apprendre

Je suis faible et vous me rendez pourtant si fort
Vous êtes mon hôte, et moi votre invité, j’adore
De cette union il y aura peut être génération
Nul ne peut nous sous estimer, faites votre ovation

Applaudissez à notre regard si étincelant
Soyez présent quand nous serons brillant
Et absent quand vous aurez conjuré notre sort
Mais surtout, faites de nous de beau trésor

Nous ne sommes pas timides, encore moins acide
Nous sommes ouverts au monde, jamais placide
A l’abri de vos méchanceté, nous vous aimons
Il n’est jamais très bon de tourner en rond

La vie a été faite ainsi, et nous sommes deux
Serons nous trois, quatre ou plus, je le veux
Nous ne savons jamais de quoi la vie sera faite
Mais nous irons encore créer ces jours de fête.

Ils étaient deux

Ils étaient deux

Ils sont deux dans l’amour la joie
Ils espèrent s’unir un jour pour la vie
Des étincelles se lisent sur leurs visages
Eux qui ne furent jamais très sage

Ils se sont concertés et ont parlés de tout
Ils se sont regardés et se sont de suite aimé
La distance les rapproches un peu chaque matin
Peu à peu ils se donnèrent leurs petites mains

Ils navigueront parfois dans les eaux troubles
Et détiendront dans leurs paumes des caroubles
Parfois subiront la tristesse, le désespoir
Mais garderont un seul mot en tête, l’espoir

Nous qui nous trouvions au bord d’un chemin pentu
Nos vies qui étaient si différentes, parfois ardus
Tout en douceur je me suis approché de tes bras
Qui m’ont accueilli et m’ont permis de faire un pas

J’eu froid, fut angoissé à l’histoire de ne pas comprendre
Si mon visage, mon esprit, mon âme allait un jour t’entendre
Nos doux moment m’ont alors réchauffer et je me suis ouvert
Moi, qui , au départ, n’a vraiment rien pour te plaire

*Caroubles : Clé, passe partout, argot ancien.

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Souffrance et Mépris

Souffrance et Mépris

Souffrance et mépris sont mon quotidien
Je suis seul et pourrais ne manquer de rien
j’ai eu un espoir, un sursaut, une joie
En étant employé au service des lois

J’ai eu une naïve idée de mes fonctions
Je n’ai exprimé aucune déception
Aucune colère, ni amertume
Je m’exprime à travers ma plume

Tandis que l’on m’ignore superbement
Je ne suis que malléable apparemment
Usé, fatigué, dégouté par la vie
Sans futur, sans aucune envie

Je subit les brimades des tyrans
Qui jettent leurs mots à coeur et à sang
Qui m’humilie, me critique avec force et rage
Qu’ai je fait? N’étais-je pas sage?

Suis je inutile, bon à rester le larbin?
Est ce la vérité qui a racheté le bien?
Tout m’est indifférent, saleté d’ignorance
Un jour, vous aurez ma vengeance.

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe

 

 

 

 

Ciel!

Ciel!

Ciel, quel est mon bonheur ?
Avec toi je suis querelleur
Bataille, amitié, bataille, amour
Je suis enlacé de toi, toujours

Tu procures en moi de l’allégresse
Ton omerta, ta vie, ta sagesse
Décrépit bonhomme je te regarde
Sortir la musique douce de ta barde

La joie de ton sourire m’éblouit
Désolé, désolé ! Je suis parti
j’épreins avec justesse tes bras
Me voici ici, me voilà la-bas

Rose est ta beauté du matin
Mon idole, je ne redoute rien
Je parcours ton sentier, ta trace
Plus rien à mon gout est une menace

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Le sens de la vie

Nuls n’a plus d’estime que soi
Et personne n’est le roi
Vous annulez ma joie
Entourage sans foi ni loi !

Le bécot sur la main
Sans raisons , ne vaut rien
Les louanges injustifiées
Ne valent d’êtres consolées

Pinsons, reveillez-vous!
Ainsi il ne faut continuer
Ou je vous ferais rouer
En place de grève, à bout !

Ne soyez point égoïste
Vous qui me rendez si triste
Soyez parfois un peu altruiste
Atterissez sur la piste

Horizon lointain

Horizon lointain

A quelqu’un que j’apprécie du fond du coeur

Horizon lointain, horizon de chagrin
Amitié perdu , amitié retrouvé
Ce bonheur est pour moi devin
Oh louange du ciel, tu est ma vénéré

Il y a longtemps que cette destinée est tracée
que nos mains sont liées
Peu m’importe si tu m’aime moins que moi
Peu m’importe si je n’ai tes bras

Deux esprits qui pour toujours s’adorent
Qui sans faille donne tant d’amour
Donne tant de joie de retour
Vient!Vient! je te dévore!

Regret

Regret

A  Julie.

Regret , regret que tu nous aies si vite quitté
Regret pour quelqu’un de si tendre
Maintenant ton absence n’est qu’à constater
Mais tu as su te faire entendre

Et c’est sur ses mots que les larmes coulent
Avec le temps on s’attache
Et maintenant il faut que je m’y fasse
En moi tristesse vient. Allez vas y! Roules

Et dire que tout le monde avait accepté ta venue
Car tu es d’une grande rigueur
Avec de la joie, de l’humeur , de la tenue
Mais je vais de cette histoire, faire toute vigueur

C’est trop tard. Rien n’a pu te retenir
Même moi je ne l’ai pas vu venir
C’est drôle l’effet que celà fait
Restes là petite fée;

Joie

Joie

Triste sort effacé de mon corps, comme par magie
Et tout d’un coup grace à une baguette, je souris
J’ai fait de moi l’homme heureux, sans contrainte
Mais surtout une homme de joie, sans crainte

Plus serein qu’auparavant, grâce à mes erreurs
C’est ce qui se passe à force de regarder l’heure
Toi, moi trouvons l’équilibre de tout ça
Et je me vois maintenant dans tes bras

Joie, c’est le terme qui me revient
C’est le thème que maintenant je me souviens
Et même si je ne suis plus tout à fait moi
Je le fais dans ton sens, et pour toi