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Tag: je t’aime

Epuisé

Epuisé

Épuisé, fatigué, contracté
Mon corps lâche et anémié
Souffre dans sa grasse chair
Je n’ai rien pour me plaire

Loisirs perdu, travail absolu
Je suis immensément perdu
L’océan est un boulevard
Que je croise de mon seul regard

L’hiver et le froid me gangrène
Bloque peu à peu tout mes gênes
Le soleil s’est tout les jours caché
Dans ce lointain champs de blé

L’amitié gravit ma montagne
Traverse les routes de champagnes
Perdure dans le temps belle fée
Je t’aime, pieds et poing lié.

Mains du destin

Mains du destin

J’ai senti ton âme entièrement initiée
S’ouvrir sur ma grande tristesse
Sur mes qualités, mais aussi ma détresse
Je t’ai désiré, je t’aime et je t’aimerais

Je piaille comme un oisillon naissant
En étant l’hôte caché de ces bois
Qui s’égosille, reste sans voix
Je suis un phénix parfois mourant

Tandis que mon âme est à nouveau cisaillé
Mes orchidées ont ouvert leurs yeux
Et vous embaume de parfum peu à peu
Moi qui parfois a été entièrement saccagé

Juste toi et moi faisons ce chemin
Nous sommes unique et exceptionnels
D’un amour idyllique et rationnel
En ouvrant nos yeux chaque matins

Beautée fatale

Beautée fatale

Beautée fatale, tu es si enjouée
Naturelle et totalement animée
Je suis un petit phénix ressuscité
Quand nous sommes chacun liés

Le monde s’ouvre sous ton regard
Je te cajole et te console, l’air hagard
Tu est l’être que j’ai toujours voulu
Je me suis pourtant toujours abstenu

Personne ne sait faire briller la lumière
Qui éclaire chacune de mes paupières
Sauf toi, qui me croque du grand amour
Celui à qui j’ai envie de dire oui, chaque jour.

Nous ferons de grands projet, deux par deux
Nous nous marierons, finirons assez vieux
Et tu serrera le creux de mes petites mains
Je te dirait je t’aime, chaque matin.

 

 

Les nuits magiques

Les nuits magiques

Les nuits magiques, rires sataniques
Tu me regarde d’un air oblique
Quand le soleil se couche au loin 
Et que tu me met un petit point

Je veux que tu me raconte l’histoire
Comme au clair de lune du soir
Comme à la lumière du jour
Qui signifie toujours ton retour

Je devine et dejeune ce regard
C’est ton crédit, ton faire valoir
Et tu me regarde en riant encore
Tu protège ton tout petit trésor

L’amour apporté est commun
Et puis d’un seul coup plus rien
Je t’aime comme une étincelle
D’un silex frotté, toi ma toute belle

DES HAUTS, DES BAS

DES HAUTS, DES BAS

Des hauts, des bas, la vie , par ci, par la
Je prend peur en ton absence, ne t’en va pas
je suis l’égoïste abusé de ta chaleur égarée
Je ne pourrait même pas te faire mon cinéma

Le scénario de notre vie et de la tendresse
Ne font de nous des bourreaux avec une laisse
Je me sent si triste quand tu agit en catimini
J’essaye pourtant de ne t’attrister avant la nuit

J’ai encore rêvé de toi sous ce soleil brûlant
D’effort et d’impatience d’aller de l’avant
Si je savais ou trouver toute l’énergie
Nécessaire pour que je n’ai plus d’insomnie

Je veux m’endormir paisiblement autour de toi
Et peut être un jour ne plus me réveiller, j’aboie
Je crie, je hurle, je vocifère, je t’aime encore!
Donne moi ta main, ton cœur, ton corps, mon trésor.

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Enfance

Enfance

Enfance, Insolence
Enfance, coup de chance
Enfance, amitié d’autrefois
Enfance, mon petit patois

Tu m’a oublié
Tu m’a subjugué
Je t’aime aimé
Tu m’a détesté

Tu a été ignorant
Mais pas coup de vent
Je regrette le passé

Belle vues

Belle vues

A quelqu’un d’extraordinaire(Merci!)

Belle vues intérieures
Mauvaise vues extérieures
Vient par ici rose
Vient faire une pause

Toi qui me connait,
tu sais mon point de sensibilité
Et pour moi tu ferais le monde
Tu ferais quelques fumées rondes

Et pourtant combien je t’aime
Quand tu vient me secourir
Mais aussi quand tu vient rire
Tu est mon étoile, mon emblème

Celle de l’univers qui à atterrit
Sur terre, par hasard
Qui ne pousse jamais un cri
Qui n’est a mes paroles hagard

Vient ma rose,mon réséda
que je te serre dans mes bras
que je te dise reste là
En quelques mots, tout bas

Cadeau de la vie

Cadeau de la vie

Un cadeau de la vie, cela se garde
Mais pour cela il faut se mettre en alarme
Et pour dire, j’y suis, et tu me regardes
Avec ton air enfantin, qui ne m’affable

Et je t’aime, comme on aime rire
Aimer rire, c’est la vie
Celle qui te dit courage et sourit
Et moi je te serre, comme la lyre

Et je lève les yeux et tu les attrapes
Pour les capturer, belle, douce, charmante
Dame! Si tu savais, arrogante!
Tu ne sais rien, tu vois seulement, et tu catches!

Catches mon esprit, pour me réveiller
Me dire parles moi, je suis aussi là
Pour m’entendre et rester auprès de toi
Hélas je ne suis pas ce que tu as rêvé

Mais elle raconte que ce n’est pas vrai
Je te le dis cher lecteur , ne prends pas peur
De mes mots, ils sont véritables, mais quelle erreur
De ne pas t’écouter, étoile….