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Tendresse et Révolte

Tendresse et Révolte

Tendresse ,beauté de notre petite jeunesse
Tristesse perdue dans une grande vieillesse
Les roses du printemps tournent et virevoltent
Elles fanent signe de l’approche d’une révolte

En ces temps où l’on oublie son prochain
Qui nous regarde, exprime ses chagrins
Que d’être laissé à l’abandon, esseulé
Je n’ai rien vu, même si la vie l’a broyée

Je suis parmi sept milliard d’être humains
Qui se côtoient, se serrent parfois la main
Et qui se racontent nombreuses vérités
Comme des mensonges bien organisés

Je perce le mystère que vous provoquez
J’ai appris à en résoudre tel un initié
Je perce vos attitudes si curieuse
Pour lire dans vos pensées ignominieuse

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

J’voulais

J’voulais

J’voulais lui offrir toute ma petite vie
J’voulais lui offrir toute mes litanies
J’voulais lui donner un peu de moi
J’lui donne un peu de ma voix

Quand la vie ressemble à une longue agonie
Où je pense encore avoir quelques amis
Où je pense que l’être humain est beau
Alors qu’il est perfide comme un mauvais cadeau

Et j’voudrais l’aimer sans les valeurs de mes offrandes
J’ai plutôt l’impression d’avoir d’l’amour à revendre
même si je n’dispose librement de tout mes droits
même si j’nai l’impression de n’être un grand roi

J’l’aime comme elle m’aime au quotidien
Mais j’lui dit que je n’accepte son entretien
Son regard, ses yeux, son sourire me rend fou
Relève moi, j’suis parterre, presque à genou

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois, le paradis
Celui auquel séjournent les sages
Qui sont doux comme des images
Ce sont des gens qui ont sourit

A la vie, comme à la mort,
Et jusqu’au dernier carat
Et je devrai les suivre, ces gens là
Je fais une erreur, qui vaut de l’or

Je suis en train de perdre l’estime
Que j’ai en vous jeune jonquille
Moi qui ne dors jamais l’esprit tranquille
Moi qui devrais avoir plus d’estime

La vie est là, parsemée de combat
Et d’embûches au milieu du chemin
Et je trébuche mais elle me releva
Et j’essaye d’éclaircir ces doux matins

Doux matins, qui sont mon été
Ma vie, mes sentiments
Ne sont plus que poussière trainé par le vent
Moi qui avais tout calculé, tout dirigé

Maintenant, je noies mon chagrin dans la littérature
Dans ces mots qui coulent à flots
Comme coulent les larmes sur mon visage
Oh voyez donc mon adage

Il y’a des moments où l’on aimerait être jovial
Et aussi continuer d’être cordial
Mais il y’a des moments où la réalité fait face
C’est là que vivre agace.

Et il y a cet état, celui que je traverse
Celui qui fait que mon entourage se blesse
Qui fait des sursauts, des ressauts
Celui que j’essaye de contrôler avec les mots

L’indifférence des humains

L’indifférence des humains

Aucune Crainte, Aucune peur, Aucune Joie
Vous ne me voyez pas
Fatigué de me battre je suis
Je creuse un énorme puits

Quand il faut s’acharner, trépigner, pour exister
Pour ne pas se sentir marginalisé, délaissé
C’est un signe distinctif de non-reconnaissance
L’indifférence!

Un simple bonjour, c’est déjà un bout d’amour
Quand l’acte sera là, je ferai un pas,
Pour toujours
Je désigne ces choses, comme des choses là!

Bonjour, Au revoir, Merci, De rien, quatre petits mots absents
de votre langage courant
Mais les règles de morale
Ne paraissent plus normales