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Tag: Haine

Les folles amitiés

Les folles amitiés

 

L’amitié qui s’emballe, qui semble si folle
Chacun sa place, Chacun sa vie, Chacun son role
Celle des jours de joies, comme des jours de pluie
Qui tends la main, reçitant à voix haute des litanies

L’amitié, qui aime l’autre, sans jugement ni valeurs
Qui admet les petites fariboles, les grandes erreurs
Et vous épaule, vous guide dans ces boueux marécages
Vous écoute jusqu’à la fin de votre plus grand voyage

L’amitié qui sonne le glas des plus grandes discordes
Qui siffle, comme un pinson, la fin des plus grande hordes
De barbares envahissants le terrain de l’amour aveugle
Qui crient la haine de la vie et qui petit à petit, beugle

L’amitié, loin d’ici, qui nous fait planer d’incertitudes
Qui bouscule la médiocrité et nos mauvaises habitudes
Et joue sur notre solitude, nos plus grandes errances
La flamme s’est soudainement eteinte, irrevocable sentance

Les Trahisons

Les Trahisons

Les trahisons du quotidien
Qui me donne un grand chagrin
La confiance est inestimable
Je perd souvent l’amitié véritable

Mes rêves ont peu à peu disparus
Des larmes sont parfois apparues
J’ai pourtant recherché la vérité
Sur ces visages peu enjouées

Ma rage et ma haine sont féroce
Je rends quelques joutes et j’endosse
Les plus beaux coups donnés par la vie
J’assume ma tristesse et les ennuis

J’ai cru qu’il fallait, à tout pris, croire
Sans ouvrir les yeux, sans voir
Je reste immobile et je vous observe
Pour ne pas vous déverser toute ma verve

Contrées lointaines

Contrées lointaines

 

J’ai le regard nerveux et fébrile
En caressant ton visage si agile
Tes yeux pétillants d’amitié
Qui sont si souvent jalousés

Je n’ai que faire de ces bruits
De ces légères murmures d’autrui
Mes mots s’embrasent et s’enflamme
Pour dire combien j’aime madame

La tristesse s’est emparée de moi
En pensant que la vie est un choix
Je m’envole vers une contrée lointaine
Où il y a plus d’amour que de haine

Je contemple le creux de ta main
Qui me fait vibrer chaque matin
Je subodore toutes tes pensées
Toi qui ne m’a jamais jugé

Une litanie

Une litanie

Poésie : une litanie

La vie, une longue tirade et litanie
Faire de moi une personne que je ne suis
Un vrai conte de fée qui ne s’achève jamais
Je suis un sinistre être agréablement imparfait

M’étant dévoué à corps et à cris
Croyant que mes mots étaient un délit
Me donnant en spectacle par joie et amour
En restant suspendu à ton retour

Je suis libéré d’un sentiment prisonnier
Celui de la haine de tout les jours, du rejet
Le respect, la passion, l’envie l’ont remplacé
J’espère que je pourrais sur tes désirs ramper

Des jours, des semaines, trois mois, une année
Ont défilés et se sont en ma présence écoulé
Je me maintiens hors de l’eau
Avant que je ne coule mon dernier radeau

Je vais bientôt abattre les dernières cartouches
Et pouvoir poser mes baisers sur ta bouche
Et rien ne m’empêchera de t’aimer encore
De rechercher encore en toi un trésor

Nostalgie

Nostalgie

Nostalgie je ne suis plus à l’abri
De tes regards insolent mon enfant
De mon estrade, d’en haut, de mon temps
Depuis bien longtemps je n’ai plus ris

Ils courent attraper les tournesols
Ma haine viscérale de l’amour
J’ai tout tenté, cours toujours
Je l’ai récupéré en haut vol

Ton sang à coulé dans mes veines
A transpercé mon âme, bien calme
De ton cœur je n’ai plus la palme
Je voudrais t’avoir ma reine

Me voila complètement penaud
Avec mes sentiments de bas-étage
Je te combattrais, avec ma rage
Non, je ne suis pas idiot

Amour & Perversion

Amour & Perversion

Amour et perversion, amour tourne rond
Toi qui parfois me crève les yeux
Pour mieux revenir me dire adieux
Tu devrai regarder en face, ça en dit long

Moi qui à ton égard fait le tout
Moi qui me rend malade de ton amour
Tu traine la perversion , c’est pas glamour!
Tu hante mes nuits, pour me faire des tours

Qui ne sont de magies, mais de haine!
Mais mon espoir n’est pas perdu
De te faire changer, sacré ingénu
Mais parfois la coupe est pleine

Rêve

Rêve

Rêves intrépides, rêves irréalisables
Vous ne venez plus à moi comme d’antan
Et j’aimerais vous suivre, passivement
Mais j’ai la haine, c’est incroyable

De ne faire que de petites choses minables
Et de laisser faire le temps, doucement
Alors que dans la vie, il faut avancer tranquillement
Regardes moi, non, arrêtes, tu es le diable

Si l’on n’est convaincu de rien
On ne fait que des choses sans aucun lien
Et moi je ne suis que chien
Dans cet univers, qui tourne, va et vient

Relation d’amitié

Relation d’amitié

Elle vous a tendu la main,
Vous a rendu heureux comme au petit matin
Elle jaillit quand vous le souhaitez
Elle vous connait

Quand vous n’allez pas bien
Et que vous pensez que ce n’est rien
Elle vous annonce fièrement
qu’elle est là, qu’il est temps!

Elle annonce la vérité
Celle que vous ne souhaitez pas entendre
Mais elle doit vous l’apprendre
Elle vous a à contrecarré

Parfois elle est obligée de trahir
Mais c’est parce qu’il faut agir
En vitesse
Et le bat blesse!

Les grandes différences humaines

Les grandes différences humaines

Il y a des mots qui ne peuvent s’échapper
Mais quand je vois ce nombre de rescapés
Brutalisés, maltraités, marginalisés, délaissés
Il n y a qu’un seul mot!

Frères et Camarades , autant de respect on se doit
Mais quand je vois ce qu’on dit, j’y crois pas
Je n’ai jamais compris tout cet acharnement
Mais c’est quoi cet engouement?

La société nous impose des clichés
Pour mieux diviser, et mieux régner
Je n’ai aucune raison de ne plus le voir
Il y a de l’espoir

Nous ne sommes ni maître, ni Dieu
Et pourtant on le fait un peu
Comme si ce besoin permanent de domination
Ne pouvait pas coller avec abolition