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L’etourdi

L’etourdi

Au bout du monde, tu es mon étoile
Une vrai merveille couvert d’un voile
Tu es le soleil qui brûle mon cœur
Je suis ce ciel bleu ,venu par erreur

J’ai oublié ces plages de sables fin
Où nous marchions main dans la main
J’ai oublié de naviguer sur ce beau bateau
Qui s’est transformé en un si petit radeau

Ma flamme olympique n’est pas éteinte
Même quand ta douceur, parfois, m’ereinte
Mes yeux brillants sont attirés vers toi
Que je ne met plus souvent en émoi

Je voudrais te dire toute les murmures
De cet asile, enfermé dans mon mur
Dans cette prison qu’est le temps qui passe
Où, étourdi, je parle seul et parfois resasse

Les folles amitiés

Les folles amitiés

 

L’amitié qui s’emballe, qui semble si folle
Chacun sa place, Chacun sa vie, Chacun son role
Celle des jours de joies, comme des jours de pluie
Qui tends la main, reçitant à voix haute des litanies

L’amitié, qui aime l’autre, sans jugement ni valeurs
Qui admet les petites fariboles, les grandes erreurs
Et vous épaule, vous guide dans ces boueux marécages
Vous écoute jusqu’à la fin de votre plus grand voyage

L’amitié qui sonne le glas des plus grandes discordes
Qui siffle, comme un pinson, la fin des plus grande hordes
De barbares envahissants le terrain de l’amour aveugle
Qui crient la haine de la vie et qui petit à petit, beugle

L’amitié, loin d’ici, qui nous fait planer d’incertitudes
Qui bouscule la médiocrité et nos mauvaises habitudes
Et joue sur notre solitude, nos plus grandes errances
La flamme s’est soudainement eteinte, irrevocable sentance

Si vite perdu

Si vite perdu

Ma rose du matin, si vite perdu
Mon chagrin, tant soit peu lié
Et je peux encore aimer
A ces instants que je t’ai volé

Et si rapidement tu t’éloignes
De mon cœur, mais je t’aime encore
Car dès que je te parle je te dévore
Et comme avant, ton corps j’empoigne

Je suis exposé à tes rayons ultra-violet
J’ai brulé une partie de ta flamme
Mais la mienne reste pour toi, ma femme
Et ce seul amour, je te l’ai accordé

Et je ressent la nostalgie comme vacances d’été
Comme si c’était loin, passé, daté
Et pourtant c’est toujours au présent
Et je te souffle de l’amour maintenant

Avenir

Avenir

Avenir, où je vois le pire
Avenir, Je te vois rire
Avenir et le terme frémir
Avenir, je vais te lire

Tu m’enfermes à jamais
Dans le paradis de la beauté
Dans l’enfer de la peur
Dans le désespoir et la terreur

Il me manque une clé pour ouvrir le coffre
Celle qui renferme une certaine offre
Celle qui transporte ce sourire vagabond
Celle qui te voit dans ton âme la plus profonde

Éternelle flamme tu transportes
Éternelle arrivage je t’apporte
Éternelle Bataille nous ferons
Éternelle Trouvaille nous serons

Un baiser mérité

Un baiser mérité

Ô toi qui m’illumine,
Ô toi qui t’exprimes,
O toi l’élue du cœur
Ô toi qui fais mon bonheur

Je sais que tu es là
Je sais que tu viendra
Je sais que les jours de flamme
Ne riment pas avec larmes

Battus  nous sommes,
Congrue tu es pour moi
Imperceptible bonheur je reçois
Infaillible amour je te dois

Toutes ces années, passées à s’enfermer
Sont maintenant réunies à jamais
C’est la plus grande part de chaleur
Jamais perçue dans cette profondeur.