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Peau de Velour

Peau de Velour

Les amitiés, les amours, peau de velour
Qui vole l’espérance de la vie, tel le vautour
Les mères, les femmes, les filles, nos amies
L’élégante tristesse de cette ultime galaxie

Je resterais ce bien heureux pensant, intègre
Qui caressera toutes ces douceurs,si maigres
Qui rêvera des secondes chances, ratées
Dans ce monde où tout s’est terminée

Au revoir l’amour, au revoir les belles amitiés
Au revoir aujourd’hui, je suis si malmené
Au revoir demain, je me pétrifie dans l’au delà
Au revoir, à jamais dans l’univers, la bas

J’ai hissé la grande voile, j’ai pris le large
Je suis surpris, éloigné de ces rivages
La surprise s’empare à présent de vous
Je vous salue maintenant, je vous salue debout

Le Radeau

Le Radeau

Je suis cloué sur ce radeau qui coule
Je navigue à vue, et tout se chamboule
Je suis un réfugié de toutes ces amitiés
Un vrai clandestin sans réelle destinée

J’allume les cierges de cette église fermée
Je prie Dieu, qu’il fasse en moi la bonté
Mes désirs, mes envies, sont mes pêchés
Ceux que je ne peux désormais plus éviter

Le radeau chavire, je ne tient plus la barre
De toutes ces perfides personnes, je me marre
Je suis l’un de ceux que vous ne voyez arriver
Qui arrive en cachette, avec une grande épée

Le radeau a coulé sur cette rivière du Delta
Que j’avais hélas emprunté bien trop tôt déjà
Je meurt, je m’asphyxie dans cette eau froide
Je souffle, je respire, je ne suis plus malade

Solitudes

Solitudes

La solitude, le mal être des forts
Celle qui nous guette au dehors
Que nous ne montrons à l’intérieur
Nous cachons nos plus grandes peurs

Je suis une poupée, si faible et si belle
J’entend tellement souvent les crécelles
Qui règlent mes mots tellement indicibles
Qui exprime cette tristesse indescriptible

J’imagine ces moments d’incroyables souffrances
A angoisser, seul, dans une certaine errance
Une main tendue m’a maintenant repêché
De ces eaux troubles, de ce trottoir usé

J’ai rêvé d’un monde, bien trop à mon goût
Sans me soucier d’autrui, ce nouveau loup
Croyant que mes douces larmes et mon sang
Suffiraient à faire revenir mes petits garnements

Le manège

Le manège

Je n’oublie rien, je n’oublie plus
Je retourne dans mon monde reclu
Je suis couché à terre, sanguinolent
A cause des coups de massues violents

Toutes ces palabres, parfois, me désarme
Mes sourires fondent en grosses larmes
Mon corps se dilue dans l’acide
Ma silhouette et mon être restent placides

J’ai rêvé d’un monde bien trop rose
Où la vie peut être souvent mise en pause
Je n’ai ni le monopole du coeur ni de la raison
Et ne retourne que rarement mon blason

L’expérience évite les grands pièges
Des tourbillons, des petits manèges
Mon courage s’évanouit peu à peu
Je ne supporte plus ces milieux

Regards et amitiés

Regards et amitiés

Ce regard trouble qui fait des vagues
Dans ces eaux froide de l’océan arctique
Ces relations amusantes, parfois platonique
Qui ne se transforment jamais en petite drague

J’ai le cœur qui crépite chaque fois
Quand j’ois vos belles et claires sonorités
Qui me font chaque seconde chavirer
Dans ce bateau sur lequel je me noie

J’ai été armé comme les plus grandes dents
Du requin qui se ballade et vous capture
Vous avale, vous détruit, tel une fioriture
Pour devenir un dauphin vous affectionnant

Je suis le petit oisillon consolateur
Je cagole mes petites tourterelles
Qui se couvrent de cette fine grêle
Pour qu’elles n’aient plus jamais peur

Les grandes étourderies

Les grandes étourderies

 

Les grandes étourderies de l’âme
Je ne danse plus sur grande paname
J’ai jouis d’une vie embrigadé
Par des principes fort bien initié

J’ai vécu chaque instant magique
Comme des moments entièrement féerique
Et aujourd’hui je suis rayonnant
Fière de mes actions, souriant

Le soleil a surpris de grands nuages
Qui étaient cachés sous ce grand barrage
Je veux avoir la lumière et la fête
Pour ne plus avoir toute ma tête
J’ai fait plusieurs petite prières
Le monde s’est soudainement ouvert
Pour oublier ce qui m’a mis en émoi
Je ne le voit plus se fermer à moi

 

Les escapades

Les escapades

Les escapades, petites mascarades
Me sentant si bien en ta présence
Remarquant tes cruelles absences
Moi qui te conte toutes mes doléances

Je n’ai que deux yeux pour te regarder
Et deux oreilles pour toujours t’écouter
Et crier chaque jour toute mon amitié
Celle qui nous souri pour une éternité

Tes mots me consolent et me rendent bavard
Ta joie, tes larmes couchés sur ce buvard
Me permet chaque jour de croire à la vie
Dans laquelle j’avais tout détruit

Onze mois m’ont mis sur un bon chemin
Celui que tu m’a tracé chaque matin
Durant une entière et grande année
Celle qui est positive est ainsi achevée.

L’enfant

L’enfant

L’enfant, ce petit marrant
L’enfant, devenu grand
L’enfant, être désiré
l’enfant que l’on a aimé

Malgré les problèmes et maladies
Rien n’empêche de donner la vie
À cet être venue de la galaxie
Notre avenir ne nous a rien dit

A nous de le dessiner au pinceau
De tomber amoureux du roseau
Nous sommes libre comme l’air
Cela ne devrait pas nous déplaire

Nous ne le ferons sur la folie
mais bien sur une discussion réfléchie
Et non dénué de sens, sans le moindre avis
Libre à vous de nous avoir suivi

Souffrance et Mépris

Souffrance et Mépris

Souffrance et mépris sont mon quotidien
Je suis seul et pourrais ne manquer de rien
j’ai eu un espoir, un sursaut, une joie
En étant employé au service des lois

J’ai eu une naïve idée de mes fonctions
Je n’ai exprimé aucune déception
Aucune colère, ni amertume
Je m’exprime à travers ma plume

Tandis que l’on m’ignore superbement
Je ne suis que malléable apparemment
Usé, fatigué, dégouté par la vie
Sans futur, sans aucune envie

Je subit les brimades des tyrans
Qui jettent leurs mots à coeur et à sang
Qui m’humilie, me critique avec force et rage
Qu’ai je fait? N’étais-je pas sage?

Suis je inutile, bon à rester le larbin?
Est ce la vérité qui a racheté le bien?
Tout m’est indifférent, saleté d’ignorance
Un jour, vous aurez ma vengeance.

Il à vu son bonheur

Il à vu son bonheur

Il était une fois une femme,
Une certaine Charline , jolie dame
Qui rencontra un jeune garçon
Et elle s’épris de lui avec raison

Il l’a blessa , par de vulgaires palabres
Lui enfonça dans son doux coeur un sabre
Et ne pu le retirer dans l’immédiat
Que par pertes et total fracat

Il voulu soigner sa profonde blessure
Mais il se perdit en rature et mille mesure
Loupa le coché du pavillon qui sonnait
Son âme continuait de saigner

Il essaya de lui donner mille affectueuses pensées
Mais il fut tard et son délit était déjà bien prononcé
Alors il lui écrivit ses mots pour la consoler
Malheureusement son pouvoir était limité

Il ne sut comment la faire rire
Alors il ne pensa au pire
Il sait dans son âme perdu d’amour
Que ses efforts auront peut être un retour

Mais il ignore combien de semaine seront utile
Pour combler son coeur, qui joue à pile
Qui joue à face, rien de plus tenace
Il saura lui garder une grande place

Si elle le décide dans son esprit
Si elle lit ses mot et lui pardonne ses méfaits
Il saura la combler comme une petite fée
Dans des galaxies lointaine et téméraire
Il tentera de lui plaire
Cet homme vous jette ses dernière lettre
Alors, un jour, il dira , c’est maintenant, peut être

Un échange de mot

Un échange de mot

Des lettres s’entrechoquent et se serrent
Des mots se forment, je ne suis amère
J’ai lu votre récit et mon visage s’illumina
Je me suis si senti ému, et je fut bas

Une pétale de rose m’était envoyé
Et je saisit l’instinct qui m’emmenais
Dans votre vie, vos cris, votre paradis
Tout mon être d’une seule voix à bondis

Je voudrais caresser votre doux visage
Mais m’en empêches de vieux adages
Laisser vos cheveux virevolter au vent
Je suis devenu chose de vous à présent

j’eu besoin de vous exprimer ce ressenti
Il y a bien longtemps que vous n’ayez ris
Vos yeux aussi attachants et sincère
Seront peut être mien un jour je l’espère.

Ma mirabelle

Ma mirabelle

Ma mirabelle, tes yeux doux et ouvert
Ont fait de moi un garçon à plaire
Mes palabres douces et charmantes
Ferons de toi une fille aimante

Mon âme frissonna à votre rencontre
Bien que rien à ce jour ne le montre
Vous avez ouvert mon livre poussiéreux
Et y avez vu mon courage astucieux

J’ai osé et tenté de vous conquérir
Et je vous ai vu quelque peu rire
Peut être vous n’avez cru aucun mot
Pourtant je ne suis complétement sot

La patience est présente pour votre beauté
Et mon dernier mot n’a pas encore été ajouté
La persévérance me fera prendre votre âme
Vous, mademoiselle, très jolie dame.

Douce et charmante

Douce et charmante

Douce et charmante , jusqu’au dernier cri
Belle et aimante , vous avez toujours souri
Dans la joie et parfois la douleur
Je vous garde dans mon cœur

Toujours folle dans votre âme
Vous êtes éblouissante, madame
Votre regard est empreint d’humanité
Votre générosité n’est au rabais

La toute première fois que vous ai vu
J’en suis tombé totalement dénue
Malgré votre juvénile visage
Vous n’êtes jamais sage

Vos chagrins sont les miens
Vous le savez vraiment bien
Vous avez fait jaillir un amour
Enfoui de la lumière du Jour

Ma vie est axé sur votre bonté
Vous oscillez de velléité
Le soleil apparait à l’improviste
En votre présence la nuit n’existe

 

 

 

 

Petillante

Petillante

Pétillante de fraicheur , sans aucun leurre
Parfois une chaleur, mais aussi quelques peurs
Vous êtes l’étoile qui à fait jaillir mon âme
Oh vous mon bel enfant, oh vous belle dame

Votre visage est si doux et coloré de mille feux
Et je vous rejoint dans votre âme, dans ces lieux
Contrariante quand je dit bleu car vous me dites rose,
Vous voulez parfois prendre une petite pause

Je ne puis vous l’accorder, car votre bonheur est mien
De liberté, d’amitié vous vivez et me donnez le lien
Votre parole est le plus grand atout que vous jouissez
Car elle est salvatrice du bien fait que vous apportez

Entendez , écoutez, soyez parfois intransigeante envers moi
Je n’en serais à votre égard que gré, à chaque fois
Et je reviendrais, avec de bas mots, parfois comme un idiot
Et vous me direz que je doit encore une fois n’être point sot

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Nostalgie

Nostalgie

Nostalgie je ne suis plus à l’abri
De tes regards insolent mon enfant
De mon estrade, d’en haut, de mon temps
Depuis bien longtemps je n’ai plus ris

Ils courent attraper les tournesols
Ma haine viscérale de l’amour
J’ai tout tenté, cours toujours
Je l’ai récupéré en haut vol

Ton sang à coulé dans mes veines
A transpercé mon âme, bien calme
De ton cœur je n’ai plus la palme
Je voudrais t’avoir ma reine

Me voila complètement penaud
Avec mes sentiments de bas-étage
Je te combattrais, avec ma rage
Non, je ne suis pas idiot

Oubli

Oubli

Oubli, tu m’as quitté
Oubli tu m’as forgé
Et mon coeur chavire
Et ton regard se tire

Tu es ma pépite d’or
Tu m’as jeté un sort
Mon âme est percée
Transpercée , sur le côté

Ton désir est le mien
Autour de toi le bien
De moi tu as tout
Vient Vient, tend la joue

Et mille roses t’embrasseront
Mille hortensias voleront
Et la lune s’éclaircira
Je serais dans tes bras

Profit

Profit

Toi, le Profit d’autrui
Cela à maintenant suffit
J’ai assez ris
Trop tard, tout est pris

Mon cœur est trop ouvert
J’ai assez souffert
Vous n’aurez plus de vers
Et je ne ferais rien pour plaire

Là où le souci n’existe
Je ne suis pas une liste
Et me voilà détruit, Bien vu!
Je continue, et ne vis plus

Et vous soignez mes plaies
Cela aujourd’hui me déplait
Et vous ne m’avez raté
Et je vous aurais !

Grâce!

Grâce!

Pour quelqu’un……

Voudriez vous bien m’accorder votre grâce , madame?
Voudriez vous bien que je m’explique devant votre glace?
Auriez vous la complaisance de me faire offrande?
Je ne demande que de me faire pardonner de cette belle amende.

Il y a des moments ou la vie nous dicte de faire des choix
Mais cela ne doit pas être sans foi ni loi
Le terrain auquel je me suis glissé est fâcheux
Le malentendu est malencontreux

La discorde entre nous empire à toute allure
Et c’est avec ma prose, madame,que je vous en conjure
De bien vouloir suspendre votre courroux
Pour ramener nos relations en mode doux

Je sais que mon défaut de prudence
Est au préjudice de votre confiance
Est le sujet de votre méfiance
Est la raison de votre actuelle défiance

C’est ainsi qu’il me convient d’implorer
De nouveau, et sans pitié
Votre confiance morale
Rien de plus vraisemblable

Votre confiance s’est retrouvée ébranlé
Et mes intérêts pour vous égaré
Sachez entendre ces proses avec votre cœur
Et pardonner mes erreurs.

Vie,Amitié & Amour

Vie,Amitié & Amour

Vie, amitié et amour! Au secours!
Je vole de mes propres ailes
Et je les trouves très belles
Oh vie! Oh Amour!

Mes soleils rayonnent sur ma plaine
Mon étoile illumine mon avenir
Et ma galaxie m’ouvre le sourire
Qu’est ce qu’ils ont de la veine!

Elles ne se doutent de rien
Mais les surprises sont des lois
Comme un ami vous veut du bien
Comme un amour d’autrefois

Merci en cinq lettres ne suffisent pas
Le mot n’est point à la hauteur
C’est plutôt un souffre-douleur
Et tu t’en va..

Creux de la vie

Creux de la vie

Oh amour , oh ma tulipe, vient!
Quand mes yeux approchent les tiens
C’est le tourbillon de la nuit
C’est le creux de la vie

Ton rayon illumine mon ombre
Ta lumière assomme ce coin sombre
Ton univers est ma galaxie
Ce big-bang c’est ma vie

Que ce lointain esprit l’entende
Tu est ma raison d’être
Qui reste avec ces dons et ces failles
Mais rien de bien important qui ne se vaille

Ton esprit ouvert m’est rare et chère
Et mon cœur vois tout vert
Comme si rien d’autre n’existait au monde
Et je n’ai plus d’idées vagabondes!

Sincérité

Sincérité

Dédié à ma banane,

Des gens sincères, des gens austère
Ceux que je porte dans mon coeur
et particulièrement une que je serre
de toute mes forces,mon ardeur

Je pense à elle, tout les secondes
Car plus je suis loin, moins je suis bien
Et je n’ai d’idée vagabondes
Et en toi, ce n’est une âme de rien

Depuis six ans maintenant, tu me préserve
des haut dignitaires, des bêtises humaines
Des harceleurs, crieurs, qui m’assènent
Que de choses vaines!

Vaines pour le peuple qui me hait
Mais toi tu ne pense que je suis fardeau
et à tes yeux, je ne suis que beau
Toi, qui , parfois me plait

Tant au niveau attributs que morales
Car tu ne fait point de choses paranormales
Et tu ne vis jamais dans l’indescence
Et rarement dans l’ignorance

Que le monde est noir, plein de préjugés
Que la politique fasse plein de réfugiés
Que l’amour s’envole dans cette société
Je suis sur que tu reste, non initié!

Manque

Manque

Un manque, des manques, d’autres choses
des arbres, des fruits,des oranges
Qui tombent comme tombe l’amitié
Dans les cas les plus désespérés.

Et ces mots tu comprendras
Et ces larmes tu les sècheras
Et ce sourire tu l’animeras
L’orange descend peu à  peu de ce bras

Et moi, pensant, triste, inquiet
Comment vais-je être mangé?
Qu’est ce que l’humanité?
Une perle rare et dorée?

Je demande à ceux qui veulent l’entendre
Qu’est ce que l’amour, l’amitié des peuples et des gens?
Et peut être il faut exister de temps en temps!
Moi qui bien souvent ait du me vendre

Non pour moi, mais pour les autres
Car en manque de bonheur, deci-delà.
Continues sur la colline de marquer ton pas
Homme des cavernes oublié comme un apôtre

Et maintenant viennent en moi des larmes intérieures.
Les apparences extérieures sont difficiles à sauvegarder
Que tu sois,  rose ou reseda, continues de m’aimer
Serres-moi, j’ai froid, j’ai peur.

Fleur d’esperance

Fleur d’esperance

A celle que j’aime

Fleur d’espérance, rose de bienveillance,
Tu m’as ouvert tes pétales
tu m’as pris dans tes bras
Tu m’as ouvert ton cœur

Et je crois avoir compris ton angoisse
Toi qui, au départ était simplement une graine
Tu es devenue l’espoir de mes jours heureux
Et nos deux jonquilles partagent les mêmes joies et peines

Tu sais courir sur les remparts de la dignité
Tu sais te stopper sur le mur de la sincérité
Et revenir au château de la prospérité
Tu es simplement toi

Je pense a toi bien souvent
Tu as le charme d’une enfant
Qu’on ne peut remplacer
Qu’on aurait envie d’aimer

Tu es mon plus beau souvenir
Celui dont on a pas envie de se séparer
Qu’on veut prendre en photo
Pour se souvenir de ce bonheur

oh , toi mon plus beau chant
Mes plus belles louanges
Ne refermes pas ta pétale aussi vite, ange
Le soleil domine mais pas le vent.

Deux êtres

Deux êtres

Dédié à ma meilleure amie et son petit ami

Deux êtres s’envolent dans le ciel
Deux êtres si lointain
Qui pourtant d’eux prennent soin
Ah! Que la couleur vienne à eux, lune de miel

Aucun regret, aucun scrupule pour des gens que j’aime
Ils méritent ce qui leur arrive
Rien de plus beau que ceux qui s’aiment
Et moi, fier de leurs mérites, et qu’ils vivent!

Je peux le dire celà aura été sans faille
Bien que certaines choses soient encore retranchées
Dans leur esprit,  j’ai confiance,  qu’ils aillent!
Plus ils en seront heureux, meilleur mon sourire sera affiché

Qu’ils deviennent roses ou lilas,
Tulipes ou résédas
Que dieu les bénisse
Pour l’infini, l’éternité. Restez lisse!

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi qu’un jour, je suis allé dans tes bras.
Rappelles-moi, oh toi mon amour bien aimé
Rappelles-toi ces moments de rire et d’amitié
Moi je m’en souviens, c’était gravé dans le sable, en bas

Et je me souviens que nous prenions nos respectives mains
Et que nous les mettions bout à bout
Afin de jouer à cache-cache, avec le loup
Ce temps n’est pas révolu, il continue, c’est notre destin

Fais en sorte que continue ta vie, ton chemin
Mais je sais que ces mots ne pèsent pas grands
Face à la souffrance de ce monde, oh, chagrin!
Restes, restes là! Ne quitte pas cette vie lente.

Et pleine d’amour, d’amertume, d’angoisse, de tristesse
Pourvu qu’un jour ces mots riment avec vieillesse
Pendant que nous dormirons paisiblement
D’autre s’en iront et naîtrons dans un autre temps

Même si au fond je regretterais ton absence
Je sais parfaitement que tu ne seras pas dans l’ignorance
Et que tu feras tout ce que pourra pour que je ne sois rance
Car tout le monde sait très bien que je déteste le mot vengeance.

Oh toi clair de lune, reste parmi les notres
Et tu apprendra tant de moi, qui suis ton autre
Ton autre toi-même qui te harcèle
Viens dans mes bras , tu gèles  !

Sensible

Sensible

Sensible bien est là mon défaut
Sensible chère amie à vos mots
A votre regard
Maintenant il est trop tard

Jamais, non jamais je ne changerai
Car pour vous j’ai tout fait
Et ce coté attentif
Qui me joue des tours, me permet d’etre actif

Merci de devenir actif
Car j’en ai besoin , c’est maladif
Oh Jeunesse éternelle qui dure
Et ces mots à n’en finir! Quel cure!

Bonne vacances et surtout bonne fêtes!

Bonne vacances et surtout bonne fêtes!

Bonsoir à tous,
Merci pour vos nombreux commentaires, emails, courriers. J’en suis submergé. Tellement, que quelques uns s’inquiètent.
Je suis un peu absent en ce moment. Et pour cause, les autres projets ainsi que mes dernières choses à faire m’ont quelques pris du temps personnel.
Cependant, je lis bien vos commentaires, et les valide, tant bien que mal, pendant mes temps disponible, c’est à dire 30 minute/jours, et encore, je n’ai pas le temps de tout faire.
Que certain(e)s lecteur(rice)s se rassurent, je ne fais la tête à personne, et je n’ai aucune raison de le faire , je pense en particulier à quelqu’un, dont je ne citerais expressément pas le prénom, pour respecter sa confidentialité.
Donc, de ce fait, et par mesure pour ma santé, je m’auto-ordonne (sans rire!hein!) de :
– Me reposer, sans activité supplémentaire en coupant internet du 21 au 24 décembre
– Vous souhaiter de bonnes vacances pour les lycéens, profs, et autres personnes qui ont le droit à leurs congés payés ainsi que  bonnes fêtes de fin d’année à tout le monde.

Je reviens très très vite, avec quelques changements en profondeur, d’ici le début de l’année.
J’oubliais, avant de vous quitter que :
– Vous pouvez laissez des commentaires, car de temps en temps éventuellement, je dit bien eventuellement, si j’ai envie j’irais faire un tour
– Que mon livre est toujours en cours, mais suite à quelques ennuis de santé, je ne peux pas pour le moment vous communiquer officiellement de date concernant sa sortie.

Joyeuse fêtes à tous!

Fabien Sorez

Vivre bien

Vivre bien

Vivre bien c’est vivre heureux
Vivre heureux c’est n’être égoïste
Mais penser aux autres, quel aveu!
Et je ne change pour autant de piste

Amies et amis, voyez la vérité
Celle qui dit que je vous aime à l’éternité
Vous avez votre sourire cajoleur
Vous avec votre tendre cœur

On ne se rend pas compte d’autrui
Et ne vivons pas assez de l’altruisme
Mais beaucoup plus de l’égoïsme
Et ce qui fait rage c’est cette lie

Que chacun exploite à sa manière
Hélas il faut s’y faire
Et des personnes voudraient le monde
Moi je leur dit restez dans vos songes.