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Il était une fois la vie

Il était une fois la vie

Correct Je n’ai pas toujours été
Avec toi pendant des années
Cela ne m’empêchera de t’aimer
Encore maintenant et après

Je suis dans l’ombre lointaine
Et j’ai mis mes mitaines
Pour t’écrire mon ressenti
Sur les valeurs de notre famille

Nous ne t’en voulons aucunement
De n’avoir été tout blanc
Le passé n’est rien à côté
De ta future sérénité

Bat toi, ne te laisse pas aller
Au découragement, à la tranquillité
Nous pensons à toi actuellement
Jamais tu nous sera absent

Imparfaitement Votre

Imparfaitement Votre

Poésie (pas réussie) …

La pine des arbres pique parfois
Étant des humains imparfait
Qui ont l’amour toutefois
Nous et nos petits méfaits

Je découpe ma grande branche
Sur laquelle je suis assis
Et plonge dans l’abîme blanche
Soudainement nous n’avons ris

Je garde mon esprit et ma maîtrise
Étant donné mon amour à la vie
Pour ne pas ressentir d’emprise
Sur les caractères habile d’amis

C’est le va et vient quotidien
Du déjeuner,goûté, soupé
Je suis reveur chaque matin
Et jamais vraiment d’inimitié

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

DES HAUTS, DES BAS

DES HAUTS, DES BAS

Des hauts, des bas, la vie , par ci, par la
Je prend peur en ton absence, ne t’en va pas
je suis l’égoïste abusé de ta chaleur égarée
Je ne pourrait même pas te faire mon cinéma

Le scénario de notre vie et de la tendresse
Ne font de nous des bourreaux avec une laisse
Je me sent si triste quand tu agit en catimini
J’essaye pourtant de ne t’attrister avant la nuit

J’ai encore rêvé de toi sous ce soleil brûlant
D’effort et d’impatience d’aller de l’avant
Si je savais ou trouver toute l’énergie
Nécessaire pour que je n’ai plus d’insomnie

Je veux m’endormir paisiblement autour de toi
Et peut être un jour ne plus me réveiller, j’aboie
Je crie, je hurle, je vocifère, je t’aime encore!
Donne moi ta main, ton cœur, ton corps, mon trésor.

La nuit noire

La nuit noire

La nuit noire , tel est mon actuel désespoir
Celui d’être le pantin qui n’a plus la gloire
Qui a une vie vide et dénué de sens
Je brûle sous ce litre déversé d’essence

Je me consume sous votre regard paniqué
Je ne crie pas, je souffre parfois de l’amitié
Qui nous unis mais aussi parfois nous affaibli
Vous ramasserez mes cendres, ébahis

Vous m’avez jeté aux fauves comme un objet
Moi qui pensait ne plus jamais être rejeté
Je ne fait plus de différence, mais gère l’ignorance
Pour essayer que mes blessures achevées soient pensées *

Je suis meurtris comme ne l’a jamais été pareil homme
Car mon cœur et mon esprit sont mes majordomes
Ma force , mon courage résiste a la sottise d’autrui
Plus que jamais certains mots j’ai maudit

* panser n’est pas une faute (Panser : Appliquer un pansement sur une plaie)

J’voulais

J’voulais

J’voulais lui offrir toute ma petite vie
J’voulais lui offrir toute mes litanies
J’voulais lui donner un peu de moi
J’lui donne un peu de ma voix

Quand la vie ressemble à une longue agonie
Où je pense encore avoir quelques amis
Où je pense que l’être humain est beau
Alors qu’il est perfide comme un mauvais cadeau

Et j’voudrais l’aimer sans les valeurs de mes offrandes
J’ai plutôt l’impression d’avoir d’l’amour à revendre
même si je n’dispose librement de tout mes droits
même si j’nai l’impression de n’être un grand roi

J’l’aime comme elle m’aime au quotidien
Mais j’lui dit que je n’accepte son entretien
Son regard, ses yeux, son sourire me rend fou
Relève moi, j’suis parterre, presque à genou

Quatorzes Roses

Quatorzes Roses

Quatorze rouges roses éclatantes
Je suis parfois en dilettante
Parfois avec mon coeur en fer
Forgé, qui es la et qui espère

Devenir une âme en diamant
Je ne suis plus ce pantin errant
Des étincelles qui jaillissent
Et qui m’emporte avec les hélices

Tombé dans l’arbre de l’amour
Celui qui naît, qui meurt, un jour
Je suis accroché en haut des branches
Pour éviter ces mares intenses

Notre vie parfois ingrate et injuste
Nous amène ce soleil vétuste
Dans ce monde composé d’imparfait
D’où les êtres sont aussi née

Je fléchi toute mes grandes positions
Cela ne sera plus très long
Mon physique s’essouffle un peu
Moi qui suis a présent à mille lieu

Voluptés du Travail

Voluptés du Travail

Les guépards sont parmi nous
Dans ce monde composé de loup
Les projecteurs braqués sur toi
Te mette dans tout tes émois

Tes rêves du futur c’est maintenant
Prend les choses en main, présentement
Je suis là et te susurre ma voix
Qui te fait rire, en plein emploi

Nous sommes tous imparfait
Nul ne se prévaut d’amitié
Qui est entièrement piégée
Simplement trafiquée

Les choses les plus douces
Ne sont dans l’âme des ours
mais plutôt dans les pinsons
Ceux qui ont, à force, raison

Le courage

Le courage

Tu représente le symbole du courage
Malgré ta fougue et ton jeune âge
Toi, si belle avec tes yeux si doux
Qui attend toujours le redoux

La persévérance est ta qualité
Des hauts, des bas enchevêtrés
Tu te doit une pleine réussite
J’aiderais autant que le coeur m’habite

Je suis la à tes côtés, chaque instant
Autant que me permettra le temps
Pour que tu conquiert les échelons
De la vie, et nous t’ovationnons

Tu a révolutionné la vie de beaucoup
Ta force te permet d’être en nous
reste qui tu es, tu a de belle valeurs
Nous ne te mettrons en erreur

Les escapades

Les escapades

Les escapades, petites mascarades
Me sentant si bien en ta présence
Remarquant tes cruelles absences
Moi qui te conte toutes mes doléances

Je n’ai que deux yeux pour te regarder
Et deux oreilles pour toujours t’écouter
Et crier chaque jour toute mon amitié
Celle qui nous souri pour une éternité

Tes mots me consolent et me rendent bavard
Ta joie, tes larmes couchés sur ce buvard
Me permet chaque jour de croire à la vie
Dans laquelle j’avais tout détruit

Onze mois m’ont mis sur un bon chemin
Celui que tu m’a tracé chaque matin
Durant une entière et grande année
Celle qui est positive est ainsi achevée.

Les vertus de la vérité

Les vertus de la vérité

Quelques vertus et agaçantes vérités
Sont toujours autant de bienfaits
Pour toi le peuple et l’ami soumis
A ton pouvoir et à tes idéologies

Nous sommes les esclaves de la trahison
Suis moi je te fuit, fuit moi et saute du pont
Je vous ai suivi, aimé, détesté, confié, trahi
Je suis l’être avec qui vous avez tant ri

Celui des bonnes blagues qui sont gentilles
Enfermé sur ses propres pensées de la vie
J’ai soudainement enfermé le grand soleil
Comme si j’avais mis mon avenir en veille

Quoi que je fasse, où que je soit à présent
Je sais mener ma vie avec brio , présentement
J’ai le sentiment d’un partage équitable
Mais personnes n’a encore compris ma fable

Petit Pinson

Petit Pinson

Petit pinson attend moi
Petit pinson ouvre tes bras
Petit pinson regarde la bas
Petit pinson tu t’en va…

Tu est l’eau qui s’amoncelle
Dans une rivière tout aussi belle
Les vagues de notre amour
Détruisent tout les gros vautours

En admiration devant ton élégance
Mais aussi devant tant d’éloquence
J’ouï dire que mes absences
Te met dans une grande errance

Tu brille par ton sens du verbe
toi qui n’est pas malherbe
Mais qui ressent le mal-être
De mon âme, mon paraître

Le sourire de l’amour

Le sourire de l’amour

Le sourire de l’amour, qui vient toujours
Ta voix, ton visage que je regarde chaque jour
Je t’emporte dans ces eaux si claires et profondes
Tu me regarde dubitativement , avec mes idées vagabondes

J’ai vécu et vivrait encore des moments magiques
Qui se font et se défont, tel l’excentrique
Mes yeux pétillent dans l’attente de te revoir
Je pense à tout cet enchantement chaque soir

Comme si mes cauchemars s’était transformé en rêve
Et que soudainement , tout les problèmes tu relève
En les effaçant de ton amour si doux et câlin
Notre alchimie commune nous permet un avenir commun

J’était seul face à un monde cruel et brute
Par nos chemins différents nous atteignons un but
Celui d’être dans la communions de nos êtres
Et jamais ne s’arrête le chronomètre

Les étincelles

Les étincelles

Les étincelles qui scintillent
Qui brûlent et qui pétillent
Je geind* parfois en tes bras
De ton absence, ici et là bas

La mélancolie me traverse doucement
Et atteint mes pensées lentement
Mais mon amour pour toi grandit
Tu donne un sens à ma vie

Partager à deux ce bonheur aujourd’hui
Et nos malheurs demain, je n’ai ri
Je suis émoustillé de t’avoir trouvé
Pour ne plus jamais te quitter

Tu a compris ma détresse, mon alarme
Tout ce raffut, mon incroyable vacarme
Je boit ton bonheur et ton espoir
Dans l’espérance de toujours t’avoir

*geindre : pleurer en ancien français

Le noël de la vie

Le noël de la vie

——————- Poésie : Le noël de la vie…. le 25/12/2013 à 0h50 à Autechaux—-

Le noël de la vie, c’est ses proches
Quand les fêtes sont en approches
Rien de plus merveilleux que l’amour
Et les chaleurs de vos amis , toujours

On ne change pas l’ami qu’on aime
On accepte aussi ce que l’on sème
On commet parfois de graves erreurs
Et on vous tend la main dans votre malheur

J’ai geint parfois dans mes pires ennuis
Les problèmes détruise, la vie me l’a appris
Mais toujours une main est là , présentement
J’en avais également l’envie, nécessairement

Des personnes pour qui le sens de l’autre
Est primordial. Ils ne sont pourtant apôtres
Et doivent savoir que le cadeau c’est eux
Seulement leurs présence, d’être chaleureux

Nul ne remplace le coeur et l’âme des sots
Même multiples cadeaux ne valent doux petits mots
J’ai donc continué de fondre en larme dans tes bras
Et toi tu à continué d’être toujours ici, toujours la bas.

315 réflexions

315 réflexions

Contexte : Lettre à ma meilleure amie que je connais depuis 315 jours à la date du 23/12/2013.

Trois cent quinze, le nombre de jours
Qui sépare notre rencontre, notre humour
Nos réflexions sur la vie, son évolution
Toi , animée , pleine de grandes passions

J’ai grandis quand tu m’ as violemment taclé
Pour me dire mes quatre et vrais vérités
Seul toi pouvais me faire comprendre la vie
Son sens, sa direction … et tu m’as souris

Je t’ai écouté d’un air entièrement béa
Et je crois toujours à nos brouhahas
Même si tu parle de t’éloigner par la suite
Sache que je saurais ne pas rester triste

J’irais jusqu’au bout de tout tes chemins
Je prendrais mon cœur et mes trains
Pour te voir, te comprendre, t’apprécier
Ce ne sont que simples mots d’amitiés

Les décéptions de l’amitié.

Les décéptions de l’amitié.

L’amitié est une histoire de grandes passions
Où les différences font parfois la raison
Le dialogue est le sommet de la sincérité
Et pourtant beaucoup ont souvent braient *

Souvent les relations sont abstraites
Et la présence n’est qu’aux jours de fêtes
Tandis que d’autres avouent leurs rancœurs
Et ne comte à bout de champs tout leurs malheurs

Un brin de nostalgie dans mes différentes palabres**
Parfois cela fini dans des gestes entièrement macabres
Et je regrette ceux-ci dans les cerveaux sans réflexions
Vous étiez ma destinée mais je n’écoute plus vos ovations

Quand l’amertume remplace le sourire, la joie, la vie
Quand l’inertie totale remplace l’envie d’aimer des amis
Quand des questions se posent sur le devoir de fidélité
Quand ceux concernés ne comprennent pas le sens du respect

*Du verbe braire.
** Palabres : Mots, phrases

La fusion

La fusion

L’amour porté par deux personnes
Sont autant de mots qu’ils fredonnent
A nous qui les avons portés dans leurs projets
Nous les suivront en entier

A toi papa, qui m’a conduit vers l’indépendance
à toi Corinne, à ton sourire et ton élégance
à votre vie amoureuse, vos envies, votre futur
Qui pourra être facile comme dur

Soyez assuré de ma reconnaissance
Qui me permette d’oublier l’indifférence
Et de comprendre le sens de la vie
Les jours ou je n’avais plus ris

À Corinne, à son dévouement aux autres
à mon père, loin d’être parfois un apôtre
Mais que j’aime depuis qu’il m’a créé
à vous deux, continuez de nous faire rigoler

Le coeur et l’esprit

Le coeur et l’esprit

La vérité a éclaté et je l’ai entendu
tout vos mots salaces j’ai reçu
En pleine face , tel un boomerang
Qui a explosé, soudain fait bang!

Vous m’avez anéanti, rabaissé au plus bas
J’ai mal, et peut être je ne me relèverais pas
J’étais intègre et j’ai tenté l’honnêteté
Cela ressemblait alors à des rose de l’été

Je ne sais plus ou aller ni comment faire
je n’ai plus d’idée, ni même l’envie d’avancer
Comment croire, continuer d’essayer d’espérer?
Chacun joue l’aveugle en essaye de plaire

Je suis le jouet sur lequel on appuie
J’imagine un rêve et maintenant je ris
J’ai tiré plus vite que mon ombre
Mon avenir est devenu si sombre

Doit-je continuer dans ce tumultueux chemin?
Qui chaque jour me détruit et ne mène à rien?
Je suis pourtant tout ouï aux propositions
Faudrait-il déjà qu’il y ai l’animation…

Abris

Abris

L’abri,le toit, le gîte, le couvert
Je ne l’ai plus, je suis amer
Un triste personnage reculé
Sur cette terre d’arriérée

Je me sent pris au dépourvu
Quand mes rêves dirent salut
Et qu’ils s’entachent d’ennui
Moi, l’enfoiré de cette vie

Fort aimable soit le courage
Et l’envie d’avancer, la rage
Fort aimable soit l’amitié
Je meurt pieds et poings liés

Je suis aussi le maître du destin
Qui s’acharne, Mine de rien
Il n’y a dans la vie de désespoir
sans tenté un instant d’y croire

Il y a juste des chiens qui hurlant
au loup, ont fait de moi l’absent
Je suis votre crainte du jour
vous êtes à ma peur de toujours

Les impasses

Les impasses

Madame,

Dans les impasses j’ai entièrement foncé
A mon passage , je me suis détruit et blessé
Assisté au quotidien de votre force et courage
Vous avez trouvé un homme pas vraiment sage

Par le passé je ne fut vraiment raisonnable
Vous n’avez pas jugé cela et êtes affable
Vous ne pouviez voir combien j’étais perdu
Et l’espoir que vous m’avez maintenant rendu

Mon avenir n’est pour l’instant pas radieux
Mais le quotidien nous rend nécessiteux
Certains besoins et envies ne peuvent être comblés
Car la difficulté de gestion doit être mesuré

Ces mots sont pour ma grande reconnaissance
Envers votre bienveillance et votre endurance
Votre volonté de m’éviter les pires méfaits
De la part d’un certain nombre de créancier

Madame, je rend l’hommage aux heures passés
A élucider cette situation si compliqué
A m’écouter, m’entendre, me défendre
A m’admonester, me secouer, me prendre

Pour un être en qui vous avez relative confiance
Ce qui est ni confortable, ni preuve d’aisance
Je saurais madame, malgré les interdictions
Vous faire mes plus grandes ovations

Permettez de combler le supplice de la lecture
De ce texte, de ces courts mots que je triture
Pour vous encourager à ne jamais baisser les bras
Ne pas me laisser tomber, être encore là.

Silence, on tourne!

Silence, on tourne!

Silence, on tourne et retourne encore
Silence, je cherche toujours de l’or
Silence, je pleure en votre absence
Silence, j’aime votre persévérance
Vous êtes mes jambes, je suis vos mains
Je n’oublie votre chagrin, chaque matin
L’étoile qui surgit de votre grande bonté
M’a permis de vous adorer, vous aimer

Je me suis senti si seul sans vos doux mots
Pour partir il est vraiment trop tôt
Muni de votre présence fondamentale
Vous êtes comme une carte, vitale!

Je hais quand vous ne pensez pas à moi
Quand vos mots durs dicte votre loi
Mais vous aimer c’est entendre vos cris
D’alerte et de ne rester sans avoir réagit

 

 

Le chemin de la vie

Le chemin de la vie

 

Perdu, replié et totalement reclus
Sur mes pensées, mon avenir, abattu
Que dire, que faire, que penser?
Disposer des choix, monter une armée

Etant entièrement fou, désespéré
Je sors maintenant une épée
Et troue votre corps de deux coups
Et finirais en prison, totalement fou

La vindicte populaire se soulèvera
Et je serais à la merci de la loi
Mon corps s’enflammera peu à peu
Et il ne restera finalement que des bleus

Peut être me relèverais-je un jour?
Les yeux pétillant de toujours, de l’amour
M’aide à tenir en attendant un retour
De moments plus heureux, plus glamour

Sentiments de la vie

Sentiments de la vie

Sentiments d’autrefois, sentiments de joie
Je suis de peu de foi, mais toujours là
Je suis l’ami qui rêve, et qui ne désespère
Absent parfois, mais toujours délétère

Mes mots ne sont que ma force et mon avenir
Je n’ai pas toujours su prendre les plaisirs
Et suis parfois triste, dans un monde fou
Qui me met parterre, parfois à genou

Doucement, je remonte cette pente si difficile
Aidé par l’amour, parfois l’amitié, si fragile
Pas toujours très facile, ni docile ni très tendre,
Je suis là a vos côtés, avec vous, pour apprendre

Je suis faible et vous me rendez pourtant si fort
Vous êtes mon hôte, et moi votre invité, j’adore
De cette union il y aura peut être génération
Nul ne peut nous sous estimer, faites votre ovation

Applaudissez à notre regard si étincelant
Soyez présent quand nous serons brillant
Et absent quand vous aurez conjuré notre sort
Mais surtout, faites de nous de beau trésor

Nous ne sommes pas timides, encore moins acide
Nous sommes ouverts au monde, jamais placide
A l’abri de vos méchanceté, nous vous aimons
Il n’est jamais très bon de tourner en rond

La vie a été faite ainsi, et nous sommes deux
Serons nous trois, quatre ou plus, je le veux
Nous ne savons jamais de quoi la vie sera faite
Mais nous irons encore créer ces jours de fête.

L’enfant

L’enfant

L’enfant, ce petit marrant
L’enfant, devenu grand
L’enfant, être désiré
l’enfant que l’on a aimé

Malgré les problèmes et maladies
Rien n’empêche de donner la vie
À cet être venue de la galaxie
Notre avenir ne nous a rien dit

A nous de le dessiner au pinceau
De tomber amoureux du roseau
Nous sommes libre comme l’air
Cela ne devrait pas nous déplaire

Nous ne le ferons sur la folie
mais bien sur une discussion réfléchie
Et non dénué de sens, sans le moindre avis
Libre à vous de nous avoir suivi

Choix

Choix

Les choix de la vie, difficiles à assumer
Qui me font pleurer, ne m’ont pas amusé
Ne me laisse guerre de répis, ni d’amis
Qui comprennent mes difficultés, la vie

Je ne peux être divisé par deux chaque fois
J’essaye de juger les choses et les lois
La distance à des conséquences compliqués
Je ne veux cependant que l’on me fasse chanter

Je ne sais quoi faire, quoi vraiment dire
Et je sais dans votre tristesse, lire
je n’ai rien pour assurer ma petite défense
Encore moins justifier mes absences

Je ne règne pas sur la terre entière
Et à tout le monde, je ne peux plaire
Comme un magicien aux doigts enchantés
Comme la poudre de mes petites fées

je ressent l’amertume et l’angoisse
je voudrais que rien ne vous froisse
La detresse est en moi, salace
J’avoue, je manque quelque peu d’audace

L’amour lointain

L’amour lointain

L’amour lointain, le toucher en moins
Moi qui me sent mort sans ta petite main
Qui suis si triste, avec de grands chagrins
Je suis devenu fou, je ne suis plus rien

J’ai regardé tes yeux si doux et amoureux
Qui m’ont au premier coup, rendu heureux
Nos larmes coulent sur le quai de la gare
Quand ce train est heureusement en retard

Que ces longs kilomètre nous séparent
Mais chaque jour notre force répare
Ce phénomène pourtant détestable
Et nous rend tout à coup aimable

Chaque nuit de notre présence commune
Nous nous endormons au pied de la lune
Tu à des qualités que d’autre n’ont pas
Je t’entends, tu m’écoute, ici, la-bas

La vie est parfois faites d’erreurs
Nous sommes imparfaits mais en pleurs
Que le destin ne nous ai pas aidé
Mais nous combattrons ce qu’il à malmené

Ensemble, notre force vaincra ce quotidien
Nous renforcerons chaque heure nos liens
Nous ne sommes que deux dans cet univers
Et je suis résolument optimiste, j’espère!

Forever with me

Forever with me

(Texte expérimental en anglais!)

I say with me she is a lover
She’s fantastic and I will die for her
I’m young, she is older than me
Our love is so beautiful and free

It will be rain after sunday, tomorrow
My heart say I love you, now
I am angry and sad without your hand
I know you are so far, I understand

Some flowers and birds plane
Now , I cross this little lane
My soul is seduce any time
I embrace you fulltime

Alerte

Alerte

Alerte tout mes mots sont inertes
J’ai recherche si ton herbe est plus verte
Ailleurs ou ici je me suis fourvoyé
Tu m’a tenté et je me suis décidé

Quand les affaires éclatent au grand jour
Qu’il n’y a plus jamais de possible retour
Mais que l’amour de famille reste gravé
Il faut que ces changements soit actés

Que je travaille sur mon petit avenir
Même si je suis là sans jamais sourire
Que la vie ma malmené d’épreuves
Et que de votre amour je m’abreuve

Je ne suis seul que de mon bon vouloir
Sans jamais tenter de vraiment savoir
Le noir ma broyé mais je vois rose à présent
Il est temps pas à pas d’effectuer ce changement

Ils étaient deux

Ils étaient deux

Ils sont deux dans l’amour la joie
Ils espèrent s’unir un jour pour la vie
Des étincelles se lisent sur leurs visages
Eux qui ne furent jamais très sage

Ils se sont concertés et ont parlés de tout
Ils se sont regardés et se sont de suite aimé
La distance les rapproches un peu chaque matin
Peu à peu ils se donnèrent leurs petites mains

Ils navigueront parfois dans les eaux troubles
Et détiendront dans leurs paumes des caroubles
Parfois subiront la tristesse, le désespoir
Mais garderont un seul mot en tête, l’espoir

Nous qui nous trouvions au bord d’un chemin pentu
Nos vies qui étaient si différentes, parfois ardus
Tout en douceur je me suis approché de tes bras
Qui m’ont accueilli et m’ont permis de faire un pas

J’eu froid, fut angoissé à l’histoire de ne pas comprendre
Si mon visage, mon esprit, mon âme allait un jour t’entendre
Nos doux moment m’ont alors réchauffer et je me suis ouvert
Moi, qui , au départ, n’a vraiment rien pour te plaire

*Caroubles : Clé, passe partout, argot ancien.