Affections
Mon hirondelle, perchée, à l’abri du vent
Celle que j’acclamais il y a si longtemps
Chante beau merle, siffle juste, jeune pinson.
Je péris du manque de ta simple affection.
L’amour n’a ni âge, ni de durée envisagée.
La tendresse, les câlins devenus une option
Je suis si triste, en pleine affliction quotidienne.
De ne plus voir ta main serrer la mienne
Laisse-moi l’occasion de t’aimer encore.
Ne pas oublier à quel point tu es mon trésor
Mes souvenirs s’évaporent avec le temps.
L’amour qui s’envole chaque jour, à présent