Vie automnale
Des êtes douées et consciencieux
Dénués de sens et irrévérencieux
Qui se mentent à leur égard
Qui louchent d’un air hagard
Qui n’ont ni vie ni réels amis
Seuls au monde, avec du mépris
Où la tristesse parfois se lit
Sur leurs visages parfois endurci
Je comprend le profond désarroi
Qui peut les mettre en émoi
Ils doivent s’ouvrir au monde
Qui les entoures d’idées vagabondes
Et ne plus rester dans leurs carcans
Qui était bien il y a fort longtemps
Personne ne doit être vraiment reclus
Sauf chercher à rester des exclus