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La mer profonde

La mer profonde

La mer profonde, tu est toute ronde
Je tourne je tourne en blonde
Je suis si loin de ma moitié étant triste
Qui vis avec moi et fait des tours de piste

Si impuissant et incapable de faire face à sa détresse
A ses moments d’angoisse et de tristesse
Où tout les mots et les paroles font mal
Où chaque palabre n’est plus vraiment banal

Toi sans moi c’est comme une justice sans prison
Comme une course poursuite sans passion
Je suis épris de toi, de ton univers adoré
Où je me suis senti si désirable et aimé

Si beau si charmant dans notre village
Et je suis amoureux de tout ces sillages
Au point que les pépites d’argent soit de l’or
Que ton amour soit devenu mon trésor

Profit

Profit

Toi, le Profit d’autrui
Cela à maintenant suffit
J’ai assez ris
Trop tard, tout est pris

Mon cœur est trop ouvert
J’ai assez souffert
Vous n’aurez plus de vers
Et je ne ferais rien pour plaire

Là où le souci n’existe
Je ne suis pas une liste
Et me voilà détruit, Bien vu!
Je continue, et ne vis plus

Et vous soignez mes plaies
Cela aujourd’hui me déplait
Et vous ne m’avez raté
Et je vous aurais !

Maladie d’amour

Maladie d’amour

Maladie d’amour, maladie de toujours
Quand l’être aimé est totalement subjugué
Se dessaisir ne devient plus réalité
Et pourtant les rues elle ne court

Quand les soupcons deviennent réalité
Quand la maladie devient agressivité
Et que le mirroir devient déformé
Il est temps de revenir dans la vérité

L’amour le plus juste est celui de s’accepter
Et de pouvoir sous un toit crier
Je t’aime sans frivolité ni animosité
Envers autrui qui s’anime seulement d’amitié

Vis ta vie sans te préoccuper de l’adorateur
Qui t’inhibe tes espoirs, ton bonheur
Sans omettre ton âme, ta liberté
Souris, pleure, nage de ces familiarités

La vie que je mène avec toi n’est frivole
Toi ma rose, mon étoile, mon idole
Ouvre tes pétales,refermes les, petite fleur
Devient une reine du coeur

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois,
Une fille, une vie, une galaxie
un grand coeur d’amie
Qui parfois me laisse sans voix

Au delàs des étoiles qu’elle gènere
elle vis sa vie, elle prospère
dans le sourire qu’elle transmet
dans l’amitié qu’elle emèt

De petites paroles, simples parfois
amène le réconfort des temps perdus
De cette fleur disparue
Sans foi , ni loi

Et ses yeux transmettent le bonheur
Non, il n’y a aucun erreur
Si l’on doit choisir rose ou reseda
je prèfère ni l’un ni l’autre, sauf tes bras

Ceux qui m’ont acceuilli
de minuit jusqu’a midi,
du lundi jusqu’au vendredi
de part et d’autre de la vie

Ceux qui savaient la vie difficile
et mes souvenirs trébuchants
Mes amours tranchants
et mon langage qui n’est viril

Et aujourd’hui, la galaxie se referme
l’étoile meurt petit à petit
mais sont là la force et l’esprit
Pour que ce perdrix chante à terme

Ceci est un signe de destin
que de prendre deux mains
Qui à tout jamais resterons ouvert
qui, je l’espère resteront libertaire

Sincérité

Sincérité

Dédié à ma banane,

Des gens sincères, des gens austère
Ceux que je porte dans mon coeur
et particulièrement une que je serre
de toute mes forces,mon ardeur

Je pense à elle, tout les secondes
Car plus je suis loin, moins je suis bien
Et je n’ai d’idée vagabondes
Et en toi, ce n’est une âme de rien

Depuis six ans maintenant, tu me préserve
des haut dignitaires, des bêtises humaines
Des harceleurs, crieurs, qui m’assènent
Que de choses vaines!

Vaines pour le peuple qui me hait
Mais toi tu ne pense que je suis fardeau
et à tes yeux, je ne suis que beau
Toi, qui , parfois me plait

Tant au niveau attributs que morales
Car tu ne fait point de choses paranormales
Et tu ne vis jamais dans l’indescence
Et rarement dans l’ignorance

Que le monde est noir, plein de préjugés
Que la politique fasse plein de réfugiés
Que l’amour s’envole dans cette société
Je suis sur que tu reste, non initié!

Calme

Calme

Un calme sur l’océan , un calme comme le vent
Apaise et adoucit ton esprit
Rien pour autant ne change avec le temps
Vient dans mes bras, vit!

Mais à la place,colère et tristesse
Sont au rendez vous
Alors que je voudrais ton charme doux
Je ne vit plus dans l’allégresse

Devient femme, comme d’autre font
Avant que j’aille faire trois petit tour
Dans l’au delà, éternelle mais pas sourd
Et ils s’en vont

Heureux est un mot banni,
Croix et bras de fer
Vis sur la terre
Et cette débauche je la crie

Pourquoi?

Pourquoi?

Amour envers son prochain, amour envers les tiens
Pourquoi le monde s’entretue au lieu de s’aimer?
Dire que le tournesol a maintenant fané.
Oh petite main du coeur, viens.

Tu me fais virevolter, danser
Et je vis de ton manège
Toi le portrait de l’amour , de l’amitié
Un jour je décollerai de ce siège

On m’a dit tout bas, un jour, souffle!
Souffle cette bougie de bienfaisance,
qui te tend la main, dans cette ignoble France
Qui te délaisse

Cette société où personne ne te regarde
Pourrait te laisser crever sur le bord de la route
Mais si tu pouvais, tu donnerais la clé pour sortir de cette soute
et tu laisserais un droit de garde

Mais la seule question est : Pourquoi?
Pourquoi tant de malheureux orphelins
Qui chaque jour pleurent leur chagrin
Alors qu’il pourraient trouver un refuge. Pourquoi?

Problèmes

Problèmes

Problèmes, il n’y que cela, un seule emblème
Et moi je baigne dans une marée noire
A tel point que je ne peux même plus me voir
Et pourtant dieu sais si je vous aime

Rien, non rien ne peut séparer deux êtres
Aux coeurs si solennellement soudés
Aux envies si soudainement rejetées
Et à côté de moi, une fenêtre

Bouc-émissaire, idiot que je suis
Je me suis rendu compte trop tard
Du mal qui s’est transformé d’un appui
On dirait comme une avancée de char

Où tombent les bombes et s’écrasent
en faisant le vide intersidéral
J’écris, preuve de mon incurable mal
C’est comme si je disais :  » Vive Alcatraz(1) »

Toi qui as, et qui est formidable , restes là.
J’ai besoin de ton soutien
De ta puissance, de tes mots, bas!
Et maintenant , je vis de rien

Je ne vis même pas d’argent
Tellement je trouve le sujet abject
Tout celà, c’est de la paille, du vent
Dire que la jalousie, vous infecte

Et je suis triste, et je ne peux assumer
Toutes ces invectives qui me sont adressées
Maintenant c’est fini, je me tais, à bientôt
Les étoiles continuent de briller au phare de mon cœur