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Tag: Tristesse

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi, esprit lointain

Rappelles-moi qu’un jour, je suis allé dans tes bras.
Rappelles-moi, oh toi mon amour bien aimé
Rappelles-toi ces moments de rire et d’amitié
Moi je m’en souviens, c’était gravé dans le sable, en bas

Et je me souviens que nous prenions nos respectives mains
Et que nous les mettions bout à bout
Afin de jouer à cache-cache, avec le loup
Ce temps n’est pas révolu, il continue, c’est notre destin

Fais en sorte que continue ta vie, ton chemin
Mais je sais que ces mots ne pèsent pas grands
Face à la souffrance de ce monde, oh, chagrin!
Restes, restes là! Ne quitte pas cette vie lente.

Et pleine d’amour, d’amertume, d’angoisse, de tristesse
Pourvu qu’un jour ces mots riment avec vieillesse
Pendant que nous dormirons paisiblement
D’autre s’en iront et naîtrons dans un autre temps

Même si au fond je regretterais ton absence
Je sais parfaitement que tu ne seras pas dans l’ignorance
Et que tu feras tout ce que pourra pour que je ne sois rance
Car tout le monde sait très bien que je déteste le mot vengeance.

Oh toi clair de lune, reste parmi les notres
Et tu apprendra tant de moi, qui suis ton autre
Ton autre toi-même qui te harcèle
Viens dans mes bras , tu gèles  !

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois, le paradis
Celui auquel séjournent les sages
Qui sont doux comme des images
Ce sont des gens qui ont sourit

A la vie, comme à la mort,
Et jusqu’au dernier carat
Et je devrai les suivre, ces gens là
Je fais une erreur, qui vaut de l’or

Je suis en train de perdre l’estime
Que j’ai en vous jeune jonquille
Moi qui ne dors jamais l’esprit tranquille
Moi qui devrais avoir plus d’estime

La vie est là, parsemée de combat
Et d’embûches au milieu du chemin
Et je trébuche mais elle me releva
Et j’essaye d’éclaircir ces doux matins

Doux matins, qui sont mon été
Ma vie, mes sentiments
Ne sont plus que poussière trainé par le vent
Moi qui avais tout calculé, tout dirigé

Maintenant, je noies mon chagrin dans la littérature
Dans ces mots qui coulent à flots
Comme coulent les larmes sur mon visage
Oh voyez donc mon adage

Il y’a des moments où l’on aimerait être jovial
Et aussi continuer d’être cordial
Mais il y’a des moments où la réalité fait face
C’est là que vivre agace.

Et il y a cet état, celui que je traverse
Celui qui fait que mon entourage se blesse
Qui fait des sursauts, des ressauts
Celui que j’essaye de contrôler avec les mots

Mélancolie

Mélancolie

Mélancolie, je te vois pointer le bout de ton nez
en pensant à tout ça, c’est un triste été
toute cette vie où j’ai été bafoué
cette décennie où j’ai essayé de crever

peut être expirerai-je bientôt
ou alors je ferai ma vie en solo
est-ce mieux que d’exprimer sa douleur?
est-ce mieux que d’exprimer son ardeur?

Je ne sais répondre à ces questions
Je ne sais comprendre cette ébullition
celle qui est en moi , qui exprime ma rage
celle que je vis qui fait que je reste sage

Emotions

Emotions

Bizarrement, je ne pense réussir
Alors qu’il faut se donner les moyens d’agir
Je préfère verser ce flot de larmes
Peut être pour tirer un signal d’alarme

Quand je conçois, tout bas
Ce que je suis , pourquoi je me bats
Je pense être dans l’ombre
Et ne voir que des choses sombres.

Voilà un cri du coeur,
J’ai peur
Oserais-je comprendre?
Oserais-je apprendre?

Je ne sais!
Je suis pris par l’émotion
Je n’arrive pas à tourner rond
Mais J’y arriverai!

Tant d’histoires sont préfabriquées,
La mienne ne restera pas demeurée
Il faut prendre l’habitude
Que certaines choses soit rudes!