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Les amitiés Fidèles

Les amitiés Fidèles

Amitié légère, amitié d’aujourd’hui
Celle que je contemple, qui me souris
Que j’attrape cheveux au vent
Celle qui me comprend si je suis absent

Je devine le futur sans renier mon passé
Je vous aime et encore vous aimerais
J’expie aussi les amitiés de déshonneur
Celles qui abaissent mon doux bonheur

J’absout les jugements tristes d’autrui
Et exprime peu à peu mes ressentis
Toutes les secondes je m’étonne et lutte
Pour obtenir de la joie chaque minute

Nous avons toujours notre part d’ombre
Parfois même infiniment grise et sombre
Mais il faut continuer de penser à l’avenir
Même si l’on pense toujours au pire

Les amitiés périlleuses

Les amitiés périlleuses

Amitié d’aujourd’hui, amitié d’autrefois
Moi qui émet l’amour et qui en reçoit
Qui se soumet aux éternels discours
Qui me rendent aveugle et parfois sourds

J’ouï ceux qui comprennent aisément
Certains de mes choix faits aveuglément
Je suis l’être qui somnole et souvent dérange
Celui du temps passé que rien ne change

Je m’en vais tournicoter dans ces tempêtes
Tu me tend ta douce main et me rouspéte
Je survole ton adorable côté burlesque
Tes pensées à mon égard si pittoresques

Je me noie dans ton immense rivière creuse
Petit à petit je m’enfui de manière joyeuse
Las d’entendre encore sonner le clocher
Qui me rappelle ces histoires d’amitiés.

Les impasses

Les impasses

Madame,

Dans les impasses j’ai entièrement foncé
A mon passage , je me suis détruit et blessé
Assisté au quotidien de votre force et courage
Vous avez trouvé un homme pas vraiment sage

Par le passé je ne fut vraiment raisonnable
Vous n’avez pas jugé cela et êtes affable
Vous ne pouviez voir combien j’étais perdu
Et l’espoir que vous m’avez maintenant rendu

Mon avenir n’est pour l’instant pas radieux
Mais le quotidien nous rend nécessiteux
Certains besoins et envies ne peuvent être comblés
Car la difficulté de gestion doit être mesuré

Ces mots sont pour ma grande reconnaissance
Envers votre bienveillance et votre endurance
Votre volonté de m’éviter les pires méfaits
De la part d’un certain nombre de créancier

Madame, je rend l’hommage aux heures passés
A élucider cette situation si compliqué
A m’écouter, m’entendre, me défendre
A m’admonester, me secouer, me prendre

Pour un être en qui vous avez relative confiance
Ce qui est ni confortable, ni preuve d’aisance
Je saurais madame, malgré les interdictions
Vous faire mes plus grandes ovations

Permettez de combler le supplice de la lecture
De ce texte, de ces courts mots que je triture
Pour vous encourager à ne jamais baisser les bras
Ne pas me laisser tomber, être encore là.

Aigle ou hiboux?

Aigle ou hiboux?

Aigle qui surpassa mille cieux
Hiboux devenu usé et vieux
Ils ne crurent à autrui
N’eurent plus gout à la vie

Amour et tendresse ont disparu
L’amertume est alors venue
Les aigles giflèrent les hiboux
Qui à leurs tours devinrent fou

Les hiboux furent seuls mais solides
Et jetèrent des mots totalement acide
Ne se laissèrent ainsi piétiner
Mais restèrent dans la velléité

Les aigles s’aperçurent de l’erreur
Et prirent une très grande peur
Les deux engagèrent une discussion
Sur leurs visage se lisait l’émotion

Chacun eurent des mots bruts et inamicaux
Les deux eurent un sourire un peu faux
S’embrassèrent et se promirent la paix
Comme le premier jour de l’été

Regrets

Regrets

Regrets de l’amitié du passé
Une expérience, une éternité
Des mots,des voix, des erreurs
Des lois, des tristesses, ma pâleur

Allons de l’avenir du futur
Attention rien est moins sur
Et j’endure mon enfance
Je suis en pleine errance

Adolescent désœuvrée que je suis
Le peuple à une nouvelle fois salit
Ma réputation, homme de confiance
Plein d’ultime doléance

Je vais vous châtier à présent
Une vrai peine de cœur, de sang
Et l’amitié que vous respiriez
En moi maintenant vous l’éteindrez

Souvenirs…

Souvenirs…

Il est resté dans nos cœurs, même quand il était vivant
Nous avons fait des erreurs, mais celle fut gravissime
Et nous ne pouvons pas revenir comme avant
Toi qui nous a appris des choses richissimes

Nous ne t’avons jamais oublié
Et moi aujourd’hui j’écris en ton souvenir
En ces 3 ans qui sont passés
Toi qui aimerais lire ce que je suis en train d’écrire

Tu as été et tu es encore notre étoile
Qui brille dans le ciel
Tu as fait de nous monts et merveilles
Continuons maintenant à hisser notre voile

Ils furent heureux

Ils furent heureux

Ils sont heureux, mais surtout furent heureux
Car de tous ces mots, le seul qui ressort est l’amour
Le terme qui ne nécessite pas de retour
Et nous continuons notre vie à deux

Sans se préoccuper du monde extérieur
Afin de continuer sans faire d’erreur
Et toi et moi aimons la vie à brule-pourpoint
Et continuons ce passé jamais lointain

Et c’est une déesse qui décide de toi
Qui fait que je suis dans tes bras
Qui statue sur ta flamme éternelle
Chut! Toutes ces choses sont charnelles!