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Perdue de vue

Perdue de vue

Perdue de vue, éloigné par la vie
Je regrette l’absence de mon amie
Disparue, j’ai oublié ta douce voix
Tes paroles qui me mettent en émoi

Tes mots qui m’abreuvent et m’apaisent
Pour que jamais, je ne me taise
Ceux la, s’imprègnent dans mes tympans
Font frisonner mon âme de conquérant

Je suis troublé par cette affliction
Affecté par ton immense déception
Mon ire intérieur m’empêche de geindre
Je n’ai plus le droit de me plaindre

Je suis féru de toi, à chaque minute
Même les jours des grandes disputes
Je te demande amnistie de mes erreurs
Pour surfer à nouveau sur ton bonheur

Le Couvent

Le Couvent

Les sœurs et moines vivent au couvent
Exclus et reclus, serrant les rangs
Enfermés dans le monastère de la vie
Soudain des doutes ils ont émis

Les chanoines suivirent l’éternel mouvement
Dans les cris, la colère, la rage, le sang
Tentant de libérer toute amertume et tristesse
De cette vie ecclésiastique sans largesse

Ils oublièrent leur plus grande inculture
Pour faire baver les plumes et ratures
Pour écrire le livre de leur médiocre vie
Pour oublier à quel point ce ciel est si gris

Les nuages se sont désormais découvert peu à peu
Pour laisser place à une atmosphère gris-bleu
Pour emprunter le chemin d’une certaine renaissance
Et voir à nouveau cet arc en ciel qui danse

Insouciance

Insouciance

Insouciance, ma plus grande liberté
Mes mérites entier j’ai vanté
Sans vergogne, sans louanges
Maintenant tu te venge

Je t’ai vu partir avec tristesse
Et dans tes mots n’existe délicatesse
Aucun état d’âme dans tes faux-propos
Moralement je n’était plus vraiment beau

Ton cœur est devenue entièrement opaque
Tu à tout tenté avec moi, même l’attaque
Et maintenant tu essaye de vivre en catimini
Sous les pavé chauds de la place d’Italie

Venant te chercher doucement avec mes pas perdus
Bientôt deux ans que j’ai oublié ton visage, ta vue
Que je suis sans ta présence, ton amour, ta naïveté
Comme à l’ordinaire tu exécute une certaine velléité

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!

Oubli

Oubli

Oubli, tu m’as quitté
Oubli tu m’as forgé
Et mon coeur chavire
Et ton regard se tire

Tu es ma pépite d’or
Tu m’as jeté un sort
Mon âme est percée
Transpercée , sur le côté

Ton désir est le mien
Autour de toi le bien
De moi tu as tout
Vient Vient, tend la joue

Et mille roses t’embrasseront
Mille hortensias voleront
Et la lune s’éclaircira
Je serais dans tes bras

Pourquoi ?

Pourquoi ?

Pourquoi tant de questions ?
Et je tourne en rond
Et je ne suis vagabond
Pourtant c’est si long

Vivifié de l’amitié
Refroidis de l’amour
Cours, cours toujours
Et je me suis retiré

Dans ces instants de bonheur
J’ai parfois peur
J’ai oublié l’heure
En offrant cette fleur

Je suis souvent au piquet
De mes sentiments, risqués
Même en étant limité
Je continue d’être aux aguets.

Et j’aime ce charme d’antan
Qui me procure un certain talent
Cette envie de vivre
Me rend totalement ivre

Révolté de la condescendance
Je n’ai plus aucune essence
Et me voilà totalement rance
Sans aucune avance

Enfance

Enfance

Enfance, Insolence
Enfance, coup de chance
Enfance, amitié d’autrefois
Enfance, mon petit patois

Tu m’a oublié
Tu m’a subjugué
Je t’aime aimé
Tu m’a détesté

Tu a été ignorant
Mais pas coup de vent
Je regrette le passé

Souvenirs

Souvenirs

Souvenirs lointains, souvenirs puritains
Souvenirs d’amitié , de tendresse
Oh, non je ne t’ai oublié jeunesse
Si il te plait, approches-toi, viens

Que vaut la vie maintenant
Pacotilles et choses ulcéreuses
Et je suis toujours là. Amoureuse
Reviens vite pépite d’avant.

Manque

Manque

Un manque, des manques, d’autres choses
des arbres, des fruits,des oranges
Qui tombent comme tombe l’amitié
Dans les cas les plus désespérés.

Et ces mots tu comprendras
Et ces larmes tu les sècheras
Et ce sourire tu l’animeras
L’orange descend peu à  peu de ce bras

Et moi, pensant, triste, inquiet
Comment vais-je être mangé?
Qu’est ce que l’humanité?
Une perle rare et dorée?

Je demande à ceux qui veulent l’entendre
Qu’est ce que l’amour, l’amitié des peuples et des gens?
Et peut être il faut exister de temps en temps!
Moi qui bien souvent ait du me vendre

Non pour moi, mais pour les autres
Car en manque de bonheur, deci-delà.
Continues sur la colline de marquer ton pas
Homme des cavernes oublié comme un apôtre

Et maintenant viennent en moi des larmes intérieures.
Les apparences extérieures sont difficiles à sauvegarder
Que tu sois,  rose ou reseda, continues de m’aimer
Serres-moi, j’ai froid, j’ai peur.

Souvenirs…

Souvenirs…

Il est resté dans nos cœurs, même quand il était vivant
Nous avons fait des erreurs, mais celle fut gravissime
Et nous ne pouvons pas revenir comme avant
Toi qui nous a appris des choses richissimes

Nous ne t’avons jamais oublié
Et moi aujourd’hui j’écris en ton souvenir
En ces 3 ans qui sont passés
Toi qui aimerais lire ce que je suis en train d’écrire

Tu as été et tu es encore notre étoile
Qui brille dans le ciel
Tu as fait de nous monts et merveilles
Continuons maintenant à hisser notre voile

Les copains

Les copains

Hey!  Les copains vous m’avez oublié ?
Vais-je cette année encore devoir vous rappeler?
Je ne suis pas là pour vous au beau milieu du purin
ni là non plus pour changer votre destin

Si vous vous lassez de moi soyez au moins propres et responsables
Ayez une attitude enviable
Je ne demande rien sinon sincérité
ce qui sur cette terre a cessé d’exister

Et même si je vous parais inintéressant
Je ne suis point méchant
Mais vous jugez sur votre bonne volonté
Vous qui m’assassinez