Les solitaires
Il était cinq heures du soir
Et revoilà quelques idées noires
Qui vagabondent dans mon esprit
Triste, sans espoir, sans amis
J’ai vu une si jolie fleur déprimée
Qui peinait parfois à être arrosée
Être mise de côté, sans amour
Mais s’ouvrait un peu plus chaque jour
Et finissait par ne plus rien redouter
Ne se sentais finalement pas si détesté
Ce fut une explosion de ses petites colères
Qu’elle noya comme un poisson dans la mer
Je ne l’eu cru capable de se faire du souci
Par ce que pensait d’elle chaque jour autrui
La voyant forte face aux constantes menaces
Que représente certains jugements salaces