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Les solitaires

Les solitaires

Il était cinq heures du soir
Et revoilà quelques idées noires
Qui vagabondent dans mon esprit
Triste, sans espoir, sans amis

J’ai vu une si jolie fleur déprimée
Qui peinait parfois à être arrosée
Être mise de côté, sans amour
Mais s’ouvrait un peu plus chaque jour

Et finissait par ne plus rien redouter
Ne se sentais finalement pas si détesté
Ce fut une explosion de ses petites colères
Qu’elle noya comme un poisson dans la mer

Je ne l’eu cru capable de se faire du souci
Par ce que pensait d’elle chaque jour autrui
La voyant forte face aux constantes menaces
Que représente certains jugements salaces

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

Alerte

Alerte

Alerte tout mes mots sont inertes
J’ai recherche si ton herbe est plus verte
Ailleurs ou ici je me suis fourvoyé
Tu m’a tenté et je me suis décidé

Quand les affaires éclatent au grand jour
Qu’il n’y a plus jamais de possible retour
Mais que l’amour de famille reste gravé
Il faut que ces changements soit actés

Que je travaille sur mon petit avenir
Même si je suis là sans jamais sourire
Que la vie ma malmené d’épreuves
Et que de votre amour je m’abreuve

Je ne suis seul que de mon bon vouloir
Sans jamais tenter de vraiment savoir
Le noir ma broyé mais je vois rose à présent
Il est temps pas à pas d’effectuer ce changement

Empathie

Empathie

Les mots n’ont aucun sens
Ils nous mettent en errance
La variété est ton fort
Sans quoi je serais déjà mort

Ton cœur , ton âme, ton empathie
Tes yeux, ton visage, la sympathie
Plus près, plus proche, plus loin
Jamais seule,jamais dans un coin

Tu est l’étoile de nombreuses vie
Une douceur est née une nuit
Tu m’a donné souvent de l’espoir
Le jour où j’ai cru sauter dans le noir

Des dizaines, centaines, milliers t’aime
Mais beaucoup tentent et reste blême
Nous recevons parfois plus que de donner
Tu est à notre image, notre icone, forgé

Combats

Combats

Combats de la vie, que de chemins parcourus
Moins de vie, d’amis, la réalité m’a déçu
J’ai distillé l’amour dans une eau profonde
Je voit trouble et désormais vagabonde

Le ciel est tantôt gris , tantôt bleu
Je naviguerais un jour vers les cieux
Les anges seront remplacés par des diables
Je ne verrais plus un seul grain de sable

Noir sont mes cernes chaque nouveau jour
Ce fardeau est triste et parfois lourd
J’assume votre regards, mes différences
Mon cerveau est toujours en errance

L’autruche est parmi vous, écervelés !
Stop! Avec vous j’ai trop joué!
En vérité je ne suis votre fleur
Attention, vous avez maintenant peur!

Le noir et le rose

Le noir et le rose

Le noir couleur du désespoir
Le rose couleur d’espoir
Le gris parsemé de la vie
Le rouge de ton coeur ma mie

Toutes les couleurs du ciel
Sont maintenant superficielles
Les étoiles se sont éteintes
Mon armure est restreinte

Croire en la gloire, l’avenir
Tu va surement m’anéantir
Je vais me retourner, assommé
Inutile de crier, je suis inanimé

Le sang à coulé sur le bitume
Et le croque-mort nous reçûmes
Et vous me retrouvez éteint
Oui, je n’ai vraiment plus rien

L’étoile

L’étoile

à Miwi.

Quand ton cœur est vide
Je le remplit d’amour acide,
Quand ton cœur est plein,
je le croque à pleine main

Quand ton âme est déserte
J’ose la rendre toute verte
Quand ton âme est remplie
Je prend, je mange la vie

Si ton visage n’est plus étoile
C’est que tu as mis ton voile
Mais tes yeux pétillant de bonheur
Ne comptent plus mes heures

Ma lumière brille toujours
Dans ton noir sans amour
Dans tes tentatives sans retours
Toi à qui je fait la cours

Un jour le soleil se lèvera
Et la beauté du ciel tu apercevra
Les nuages s’échapperont à ton passage
Et s’éclairera ton visage

Suis ton instinct , tes envies
Joue, amuse toi avec la vie
Vient , vient mon petit chagrin
Que tes larmes soit séché sur mes mains

Sincérité

Sincérité

Dédié à ma banane,

Des gens sincères, des gens austère
Ceux que je porte dans mon coeur
et particulièrement une que je serre
de toute mes forces,mon ardeur

Je pense à elle, tout les secondes
Car plus je suis loin, moins je suis bien
Et je n’ai d’idée vagabondes
Et en toi, ce n’est une âme de rien

Depuis six ans maintenant, tu me préserve
des haut dignitaires, des bêtises humaines
Des harceleurs, crieurs, qui m’assènent
Que de choses vaines!

Vaines pour le peuple qui me hait
Mais toi tu ne pense que je suis fardeau
et à tes yeux, je ne suis que beau
Toi, qui , parfois me plait

Tant au niveau attributs que morales
Car tu ne fait point de choses paranormales
Et tu ne vis jamais dans l’indescence
Et rarement dans l’ignorance

Que le monde est noir, plein de préjugés
Que la politique fasse plein de réfugiés
Que l’amour s’envole dans cette société
Je suis sur que tu reste, non initié!

Nuit

Nuit

Il était une nuit où tout était clair
Un jour où tout était sombre
des jours de l’indécence
Moi qui te tends ma main

toi qui n’as pas su la prendre
Mais qui peut encore apprendre
Dans le coeur et dans l’esprit
Que tes pleurs ne sont pas la vie

Et tout ce ciel noir étoilé
S’envole dans l’au-delà
S’amuse moins ici que là-bas
Toi, ma petite rosée

Par dessus la raison
Je ne puis cesser d’aimer
Mon doux chagrin, ma saison
je suis brisé

Long amour

Long amour

Long amour de la Californie à la silicon valley
tu éblouis mon été
Ta pétale de rose s’ouvre à chaque instant
Et notre tournesol pousse lentement

Plus de cinq cent jours d’espoir
De feu vif  impossible à éteindre
De flammes embrasées, d’amour noir
et pourtant, séparés, nous ne cessons de geindre

Amour silencieux

Amour silencieux

Amour silencieux sur ce nouveau né
Elle le regarde avec passion
Ce petit nourrisson, et ils s’en vont
Dans les étoiles, planer

Sur cette terre qui lui est destinée
Elle le cajole, le console
Chaque seconde elle l’aime
Et lui la rassérène.

Et de tout son coeur elle le protège
tandis qu’il pleure en son absence
Parce qu’il l’aime dans l’ignorance
Et que ses yeux bleus scintillent d’espoir

Jamais il ne la voit d’un regard noir
Mais plutôt avec doux visage
C’est l’image de cet enfant sage
Que tu as fait éclore, mon beau printemps