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Il était une fois la vie

Il était une fois la vie

Correct Je n’ai pas toujours été
Avec toi pendant des années
Cela ne m’empêchera de t’aimer
Encore maintenant et après

Je suis dans l’ombre lointaine
Et j’ai mis mes mitaines
Pour t’écrire mon ressenti
Sur les valeurs de notre famille

Nous ne t’en voulons aucunement
De n’avoir été tout blanc
Le passé n’est rien à côté
De ta future sérénité

Bat toi, ne te laisse pas aller
Au découragement, à la tranquillité
Nous pensons à toi actuellement
Jamais tu nous sera absent

Alerte

Alerte

Alerte tout mes mots sont inertes
J’ai recherche si ton herbe est plus verte
Ailleurs ou ici je me suis fourvoyé
Tu m’a tenté et je me suis décidé

Quand les affaires éclatent au grand jour
Qu’il n’y a plus jamais de possible retour
Mais que l’amour de famille reste gravé
Il faut que ces changements soit actés

Que je travaille sur mon petit avenir
Même si je suis là sans jamais sourire
Que la vie ma malmené d’épreuves
Et que de votre amour je m’abreuve

Je ne suis seul que de mon bon vouloir
Sans jamais tenter de vraiment savoir
Le noir ma broyé mais je vois rose à présent
Il est temps pas à pas d’effectuer ce changement

Noël

Noël

Noël, le jour de merveille
Noël, et tous s’asseyent
Noël, un grand repas de famille
Noël, moi je ris

Tu n’es pas présent,  à mon esprit
Ce n’est qu’une simple banalité
Qui n’a pas de valeur, de jovialité
Et encore moins de vie

Mais c’est noël
Ce jour censé si merveilleux
Mais qui finalement ne me rend heureux
Noël, qui n’est pas belle

Même avec tout l’or du monde
Je ne souhaite le fêter
Je ne veux m’agiter
A quoi bon? Pas de table ronde…

Triste

Triste

Triste sort, d’être la proie
Des hommes, de ses lointaines voix
Difficile d’aimer soi même
Quand on s’auto-rejette

Maman, si tu savais l’amour oublié
Que ton fils ne t’a pas donné
Durant tant de ces années
Maman, maintenant j’y vais

Car tu es attristée de ton sort
Bats toi, tout n’est pas mort
Des étoiles brillent dans tes yeux
Et j’aimerais tellement te voir heureux

Tu n’as pas l’audience nécessaire de tes amis
Ni non plus celle du mari
Celle de tes progénitures non plus
C’est celà que je lis dans ta vue

Viens vers moi que je te rassérène
Ils ne t’en veulent pas mais ne peuvent rien
Pour toi qui es si charmante
Mais tout aussi alarmante

Il n’est pas apte à le concevoir
Et préfère sur sa dignité s’asseoir
Quand il penche pour te voir
Il fuit encore et toujours ton regard

Dans tout ça nous ne sommes responsables
Je suis et elle est pourtant affable
Juste une histoire de mansuétude
Et le soleil ce soir, se couche au sud

Adolescence

Adolescence

Adolescence, toi qui es si vite passée,
Adolescence, en toi je me suis envolé
Restes un peu en moi, où tu es
Afin de me dégager de ces responsabilités

Et du reste je ne suis à l’abri
Maintenant que je grandis
Et cet espoir gâché
Par une famille déchiré

Meurtri, blessé, par les états de chacun
Et personne n’aurait osé, ni même une catin
Dire ces sous-entendus, ces choses mal vues
Et toi, et moi, et nous sommes des gens incongrus

Sépares-toi

Sépares-toi

Sépares toi de son corps, de ses yeux, de sa terre
Sépares toi d’elle, mon frère
Je te le répète sans cesse avec mes propres mots
Arrête! Cesse de faire l’idiot

Tu as laissé ta jeunesse, et elle te blesse
Tu continues ta vieillesse. oh! Lâche et insensible
Aux tourmentes que désormais tu délaisses
Et je lis ta tristesse comme on lit une bible

Plus fort, plus courageux, merci merci encore
Mais là maintenant, tu as vraiment tort
De t’acharner, d’attendre. Avance!
Reculer est la pire des insolences!

Pouvoir

Pouvoir

Le pouvoir c’est une sorte de monarchie,
Une fois qu’on l’a et qu’on gouverne c’est fini
Le mot partager en entendant « pouvoir » me fait rire
Il me fait même parfois frémir

Et je les entends crisser dans la douleur
Et je les vois glisser dans l’horreur
Alors qu’ils devraient enrayer ce malheur
Où plutôt voir le bonheur

C’est un manège infernal qui tourne
C’est cette boucle qui ne s’arrête pas
Mais n’oubliez pas, notre existence est là
Contre vous, le pouvoir se retourne

Futur

Futur

J’imagine le futur
J’imagine la vie dure
J’imagine l’air pur
J’imagine notre cure

Nous célébrerons notre union
Ils verront notre passion
Mais aussi notre poupon
Et nous rions

Nous formerons notre tribu
Celle que seul dieu à vu
Au pays des oiseaux  je m’envolerai
Le bonheur je crierai

Le chiffre quatre est ton code préféré
Mais il y a aussi deux
Car à deux on fait les choses que l’on veut
Rien de plus beau que deux êtres qui les aimaient