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Tag: ange

Jeux Interdits

Jeux Interdits

Les braises crépitent autour du feu
Innocents adultes simulant un jeu
Défiant les limites, les codes moraux
L’interdit brûle, c’est le début des maux

L’autorité établie s’est perdue, bafouée
L’humanité si belle est en grave danger
L’inquiétude remplace ma stupéfaction
La tristesse se substitue à l’admiration

Jeux prohibés, perdus dans la dignité.
L’honneur d’un doux enfant, humilié
Tiraillé entre l’honneur et la peur
Nous avons perdu toutes nos valeurs

Découvrant les meilleures calomnies
Nous sommes restés figés, sans bruits
Incapable d’émettre de vives protestation
L’angoisse perdure, ignorant la raison

Lueurs d’été

Lueurs d’été

Toi, ma lueur d’été, mon ange
Je vole au dessus des mesanges
Tu est ma lumière du jour
Tu brille dans mon coeur, toujours

Je te donne une main détendue
Ton visage et ton sourire j’ai lu
Tu est mon idole, ma grande star
Et je te contemple chaque soir

Tu m’endors en me berçant de calins
Je mourrerais en te donnant mon rein
Tu es ma folie, je ferait tes envies
Tu es petillante, pleine de vie

Si tu me dorlote encore longtemps
Je te donnerais mon âme et mon sang
Et m’entaillerais pour que tu survive
Si tu mourrait sur un banc végétative

Sourire d’ange

Sourire d’ange

Sourire d’ange, savant mélange
Et tu raidis toutes tes franges
Peu à peu ton corps se cache
Sans que personne ne le sache

Mon amour veut l’en empêcher
Mon avis est entièrement réservé
Et tu t’inquiète d’autrui
Qui petit à petit te détruit

Ma force et mon courage ne font qu’un
Dire que mon âme est là chaque matin
A tes côté depuis une demie décennie
Aujourd’hui, toujours là, je ne ris

Laisse moi toujours te taquiner
Te montrer mon entière amitié
Celle présente, sans faille
L’enjeu est de grande taille

Ne m’oblige pas à en pleurer
Je risquerais de m’étrangler
Personne ne peut te remplacer
Je suis sans voix, essoufflé

Une étoile s’illumine encore
M’écoutera-tu un jour,alors?!
Ouvre la paume de ta grande main
Compte sur moi, je t’en prie, revient

Retrouvée

Retrouvée

a ceux que j’aime, et pour ginette

Je t’ai retrouvé toi, tendre personne
Au fond de moi je me sens heureux
Je t’ai emmené en promenade
Et à deux, nous avons fait notre ballade

Avec toi que je revois, je suis dans les nuages
Comme un oiseau qui vole
Comme un ange qui me survole
Comme vous, sage image

Continuez comme ça orange amère
Bientôt vous deviendrez comestible
Et même on prendra goût à vous croquer
Tellement vous êtes aimé.

Et moi poète des temps moderne
J’ai écrit ces quelques mots
Pour ne pas que vous restiez en berne
Venez très chère , pour vous j’ai un lot.

Fleur d’esperance

Fleur d’esperance

A celle que j’aime

Fleur d’espérance, rose de bienveillance,
Tu m’as ouvert tes pétales
tu m’as pris dans tes bras
Tu m’as ouvert ton cœur

Et je crois avoir compris ton angoisse
Toi qui, au départ était simplement une graine
Tu es devenue l’espoir de mes jours heureux
Et nos deux jonquilles partagent les mêmes joies et peines

Tu sais courir sur les remparts de la dignité
Tu sais te stopper sur le mur de la sincérité
Et revenir au château de la prospérité
Tu es simplement toi

Je pense a toi bien souvent
Tu as le charme d’une enfant
Qu’on ne peut remplacer
Qu’on aurait envie d’aimer

Tu es mon plus beau souvenir
Celui dont on a pas envie de se séparer
Qu’on veut prendre en photo
Pour se souvenir de ce bonheur

oh , toi mon plus beau chant
Mes plus belles louanges
Ne refermes pas ta pétale aussi vite, ange
Le soleil domine mais pas le vent.

Parole d’un ange

Parole d’un ange

Un jour, la parole d’un ange se libéra
Elle me prit, sans redevance, dans ses bras
Et d’une tendresse immense, elle se jeta
Dans mes yeux que voilà

Et elle n’a aucune opprobre de le faire
Tandis que d’autres préféreraient se taire
Toi qui n’a aucune opulence
Mais qui se montre heureuse, sans absence

Et je distingue cette douce figure
Qui m’aime , et qui me rend l’air pur
Et il n’y aucune honte à ton impotence
Cela n’a absolument aucune importance

A mes yeux, à mon âme, à mon corps
Ce n’est que par la volonté que l’on s’aime
Pendant que les autres pensent des choses obscènes
Je n’ai pas peur d’aborder ensemble la mort

C’est la continuité de la vie
Celle qui m’a dit, mon ami :  » Souries »
Et je t’ai parcouru mon trésor
Pour extraire la vie, hors bord

Je ne mire sur personne
D’autre que toi, source de chaleur
Et parfois je me blottis quand j’ai peur
Que tu ne me revois, moi, ton homme

Et même si l’existence est ardue
Je t’assure de toute ma conscience
Que tu ne seras pas perdu
Ni trainé dans l’ignorance