Poussières

Poussières

Le mur de poussière s’effondre de peu.
Dans ce lopin de terre, je suis devenu frileux.
Il a éteint l’étoile lumineuse de mon âme.
Brûlant l’asphalte de cet infâme macadam

Sur lequel roule encore mon esprit cabossé
Jusqu’à mourir dans l’absence, l’indignité
J’appelle mon juge, celui de ma belle liberté.
Qui, chaque jour, deviens un diable habillé.

Heureux soient les hommes indifférents.
Au chagrin des ruptures, des sentiments
Je suis cet oiseau blessé, sans rancœurs.
Apprenant à naviguer, perdu dans l’erreur

J’ai jeté un SOS, ma bouteille jusqu’à la mer.
En attendant l’espoir d’éclaircir ton mystère
Détestant l’affliction dans laquelle je plonge
Je ne veux plus souffrir, ni passer l’éponge.

One thought on “Poussières

  1. je suis comme un bateau sans rame au milieu des remous,
    je veux prendre cette bouteille mais n’y parviens ,
    sa y est , je la prends , je suis là pour te tendre la main ,
    te dire « FABIEN tiens bon  » si moi j’y parviens , je t’envoie
    les forces de l’amitié pour t’aider , puisque je n’ai pas encore le don de faire des miracles
    mais les mots peuvent parfois faire les choses , même si ils ne sont pas bleus

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