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Les libertés

Les libertés

Liberté et bonheur associé
Émancipation de la société
Moi, le prisonnier fort pendu 
Celui qui vivais en marge, reclu

Je souffle en pensant à l’avenir
Celui, serein, qui viens de s’ouvrir
Mes larmes transformées en joies
Faces aux hommes forts de lois

J’ai traversé un long désert aride
Durant des années parfois insipides
J’ai découvert la sécheresse et l’abîme
Avant de grimper en haut des cimes

J’ai souvent perdu et parfois gagné
J’ai été le héros de ma liberté
J’ai achevé ma période d’indignité
Je l’espère, à présent, pour l’éternité

Abus d’imbus

Abus d’imbus

Accro, accro des réseaux
De ce besoin de beauté, de reflet
Accro, accro de toutes ces photos
Par lesquelles nous devons exister

Les images si belles qui se construisent
Sur l’amitié virtuelle et inexistante
Les ravages si vilain qui nous détruisent
Le mirage de cette vie si latente

Cette société du paraître qui nous consume
Ma voix qui me raisonne et me pardonne
De la tristesse et de l’amertume
L’église de la vie qui aujourd’hui m’a somme

Une étoile est passé au-dessus de moi
Effleurant ma quiétude dans la tempête
J’ai filé un vœux cher et tendre à la fois
Celui d’une horloge qui s’arrête.

Société

Société

Toi l’individu seul et égoiste
Qui ne cherche que ton petit bonheur
Sans jamais réflechir aux grands malheurs
Des autres qui sont tout aussi défaitistes

Regarde ton prochain avec plein d’amour
Qui parfois aurait besoin des tes mains
Un peu plus, chaque jour, chaque matin
Sans jamais attendre un tout petit retour

Ouvre ton coeur sans rester pétri et reclu
Ne soit pas si amer en regardant autrui
Hiver comme été ne soit pas triste, sourit
Et tu ne sera cette personne qu’on exclu

Réagit à l’enfer des grandes moqueries
Soit actif et donne aux misérables
Un petit peu de ton sirop d’érable
Que tu aime et qui te bonifie

Il se ballade

Il se ballade

Il se ballade, de chemin en chemin
Sur les quais et les rivières de France
Lui aussi a mal de bon matin
Quand il fut abandonné dans l’ignorance

Et lui aussi, il aurait aimé vous connaître
Et il aimerait dans cette société, renaître
Et moi, Et vous, je suis là mais ne peut rien faire
Et toutes ces choses sont si austères

Tristesse, et coule de l’eau dans l’océan
Et souffle, souffle le vent
Je ne suis que peau de chagrin
Et j’écris mon amertume sur ce parchemin

Insertion dans une vie sociale

Insertion dans une vie sociale

Insertion dans une vie sociale
Insertion dans une vie normale
Insertion dans une vie banale
Insertion dans une vie cordiale

Tout ces mots me pèsent
Je me mets en écart de la société
Je suis quelqu’un qui s’achève
Par certaines phrases d’été

Je suis comme çà,
Mais la société ne le comprend pas
Je vais changer un jour
Ce seront des choses sans retour

Vous avez vu ces choses-là?
Vous avez entendu cette tristesse
Vous avez lu mon visage?
Vous avez attendu…