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Tag: Justice

La mer profonde

La mer profonde

La mer profonde, tu est toute ronde
Je tourne je tourne en blonde
Je suis si loin de ma moitié étant triste
Qui vis avec moi et fait des tours de piste

Si impuissant et incapable de faire face à sa détresse
A ses moments d’angoisse et de tristesse
Où tout les mots et les paroles font mal
Où chaque palabre n’est plus vraiment banal

Toi sans moi c’est comme une justice sans prison
Comme une course poursuite sans passion
Je suis épris de toi, de ton univers adoré
Où je me suis senti si désirable et aimé

Si beau si charmant dans notre village
Et je suis amoureux de tout ces sillages
Au point que les pépites d’argent soit de l’or
Que ton amour soit devenu mon trésor

La justice

La justice

La justice des hommes, de l’argent
Qui nous salit, nous met à cran
S’acharne sur nous, petits citoyens
Qui sommes broyés, devenu rien

Sauf un repère à fric, pourri
Soudainement je n’ai plus ris
La colère, l’amertume, la tristesse
Ont remplacé la joie, allégresse

Et je regrette mon présent, mon passé
Car les ennuis se sont maintenant retourné
Vers un père qui s’était absenté
Et présentement se retrouvé acculé

Je n’ai plus que mes yeux pour le déplorer
D’avoir failli à mon devoir, rembourser
Je ne voulais pas de cette vie, malmené
Mais d’un père heureux et aimé

A la place j’ai empiré la situation
Et je ressent une forme de détestation
Il à tout donné, je n’ai rien oublié
Il n’est arrivé que ce que je méritais

Je ressent un vide, sans soutien
Je n’arrive plus à comprendre rien
Je suis dans un futur brouillé
Par les flammes de mon grand passé

Tandis que je coule, je me noie encore
Personne n’a trouvé l’astuce, le trésor
Je n’arrive plus à assumer mes erreurs
J’ai une vie, aigris, de grande pâleurs

Ton absence

Ton absence

Ton absence me porte un grand préjudice
Et je suis prié de ne pas me faire justice
Et ta disparition m’émois petit à petit
Dans ton livre ouvert je ne lit

Tu est aujourd’hui un petit cœur
Qui me rend une très grande chaleur
Qui fait de moi un homme sobre et heureux
A l’égard de ton âme je ne suis peureux

La seul différence d’un véritable amour
C’est la lumière physique de ton jour
Ce n’est que le toucher de ton visage
Qui parfois beaucoup plus sage

Je touche ton coeur et tu pâlit
Et j’ose te dire le manque ressenti
Quand je suis sans ton écrit, ta lecture
Pitié, revient, j’ai besoin de ton air pure.