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Rires et solitudes

Rires et solitudes

Je m’envole, prends de l’altitude
Pour combler le besoin de solitude
Réfléchir aux douceurs de l’avenir
Pour respirer et éclater de rire

Je grave la pierre du temps futur
Dans ce flan de montagne si pur
Je lève mon drapeau au sommet
Qui traverse nos âmes échouées

Les nouvelles me minent parfois
Je ne pense plus, j’oublie mon émoi
Quand cette lumière blanche m’eblouit
Mon corps et mon esprit s’évanouissent

Un nouveau monde s’ouvre à présent
Celui du bel espoir et du temps
Je déclenche l’avalanche du bonheur
De la société sans erreur

Le rayon de soleil

Le rayon de soleil

Un rayon de soleil s’abat sur ma peau
Celui de toute cette vie de matelot
Je tiens bon la vague et les tempêtes
Sur cette île perdue et si déserte

De lac en ruisseau, je pleure la vie
Je ménage tant de peines avec mes amis
J’ai le sourire facile devant vos grimaces
Le dépit difficile en regardant ces voraces

Mon amitié est si légère et mon amour si fou
J’ai fini par croire aux mystères du vaudou
J’ai avalé cette petite portion de cyanure
Que prennent parfois les grandes ordures

Je ne dois mon salut qu’à mes combats
Ceux qui m’ont emmené ici où la bas
Mes lettres ne parviennent plus au facteur
L’adresse indiqué me revient en erreur

Le courage

Le courage

Tu représente le symbole du courage
Malgré ta fougue et ton jeune âge
Toi, si belle avec tes yeux si doux
Qui attend toujours le redoux

La persévérance est ta qualité
Des hauts, des bas enchevêtrés
Tu te doit une pleine réussite
J’aiderais autant que le coeur m’habite

Je suis la à tes côtés, chaque instant
Autant que me permettra le temps
Pour que tu conquiert les échelons
De la vie, et nous t’ovationnons

Tu a révolutionné la vie de beaucoup
Ta force te permet d’être en nous
reste qui tu es, tu a de belle valeurs
Nous ne te mettrons en erreur

Espoir

Espoir

J’essaye d’avoir un espoir, un sursaut, une envie
Pouvoir la voir, la recevoir, être plus qu’un ami
Être en elle, pouvoir l’aimer à sa juste valeur
En essayant de n’être dans le passé, sans erreur

Repartir de zéro et tout recommencer à présent
s’agripper, y croire, voir l’avenir, maintenant
Je voudrais mériter vos bras, votre corps, votre âme
Mais suis-je si bas pour être accepté de vous, madame?

Je ne suis que poussière dans cette lointaine galaxie
Vous n’êtes que la lumière de ma destinée et ma vie
Je ne suis que faible et impuissant face à vos envies
J’essaye de représenter cela par ces mots, ces écrits

Vous n’avez jugé aucun fait de ce que je vous ai raconté
La puissance de votre voix m’a terriblement troublé
Vous ne pouvez vous en allez ainsi, je vous en supplie
Vous que je voudrais combler, restez, je vous prie!

 

 

 

Petit Malicieu

Petit Malicieu

Petit malicieux, prend le creux de ma main
Toi qui un jour m’a réveille au petit matin
Je n’ai rien demandé , tu à volé mon cœur
De rien, tu est devenu tout, sans aucune erreur

J’ai crû rêvé et je ne t’ai pas vu arrivé
Je suis soudainement sous ton charme tombé
En quelques heures tu a réveille mon instinct
Je croit si soudainement à notre destin

La nuit est venue si souvent dans mes relations
Et le jour s’est éclairé, tu m’a fait une ovation
Le soleil s’est levé, et nous sommes main dans la main
Je te vois toi et tes yeux comme au petit matin

Tu pourras dormir comme une étoile qui vient de naitre
Tu pourras courir comme un arc en ciel qui vient d’apparaitre
Grâce à tes mots et ta gentillesse j’ai de l’oxygène, je revis
Moi qui si soudainement était triste et n’avais plus ris.

Aigle ou hiboux?

Aigle ou hiboux?

Aigle qui surpassa mille cieux
Hiboux devenu usé et vieux
Ils ne crurent à autrui
N’eurent plus gout à la vie

Amour et tendresse ont disparu
L’amertume est alors venue
Les aigles giflèrent les hiboux
Qui à leurs tours devinrent fou

Les hiboux furent seuls mais solides
Et jetèrent des mots totalement acide
Ne se laissèrent ainsi piétiner
Mais restèrent dans la velléité

Les aigles s’aperçurent de l’erreur
Et prirent une très grande peur
Les deux engagèrent une discussion
Sur leurs visage se lisait l’émotion

Chacun eurent des mots bruts et inamicaux
Les deux eurent un sourire un peu faux
S’embrassèrent et se promirent la paix
Comme le premier jour de l’été

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!

Il était une fois

Il était une fois

Il était une fois,
Une fille, une vie, une galaxie
un grand coeur d’amie
Qui parfois me laisse sans voix

Au delàs des étoiles qu’elle gènere
elle vis sa vie, elle prospère
dans le sourire qu’elle transmet
dans l’amitié qu’elle emèt

De petites paroles, simples parfois
amène le réconfort des temps perdus
De cette fleur disparue
Sans foi , ni loi

Et ses yeux transmettent le bonheur
Non, il n’y a aucun erreur
Si l’on doit choisir rose ou reseda
je prèfère ni l’un ni l’autre, sauf tes bras

Ceux qui m’ont acceuilli
de minuit jusqu’a midi,
du lundi jusqu’au vendredi
de part et d’autre de la vie

Ceux qui savaient la vie difficile
et mes souvenirs trébuchants
Mes amours tranchants
et mon langage qui n’est viril

Et aujourd’hui, la galaxie se referme
l’étoile meurt petit à petit
mais sont là la force et l’esprit
Pour que ce perdrix chante à terme

Ceci est un signe de destin
que de prendre deux mains
Qui à tout jamais resterons ouvert
qui, je l’espère resteront libertaire

Commiseration

Commiseration

A julien

Commisération, tel est le mot qui me vient
Pour dire que tu fais partie de nous, des tiens
Bonté émerveillée , pure bêtise.
Et pourtant toujours là en temps de crise

Économique, physique, ou morale
Mais indéfiniment présent dans mon cœur
Et tu n’es le genre à qui l’on fait des salutations cordiales
Rien ne nous entâche, non pas une erreur

Constamment le sourire,
Même dans les moments pires
Et pourtant, qu’à cela n’en tienne
Ton sang coule dans mes veines

Et un jour tu partiras,
Mais jamais mon âme n’oubliera
Toute la générosité donnée
Par un ami, un frère, au cœur soudé.

Eternelle

Eternelle

Éternelle découverte. Hirondelle de printemps
Je souffle des pétales de rose qui tournent dans le vent
Tournent, tournent, pour atterrir dans un parterre de lilas
Venir effleurer ton corps, sur le sable , en bas.

Pendant que j’apprends la vie et que je ris
Je caresse ta terre, ton océan
En long, en large, en grand
Tu continues et souris à la vie

Lorsque deux êtres se rencontrnt dans les étoiles
Et qu’ils s’apprécient à juste titre et valeur
Ils ont le droit à l’erreur
Mais ils s’en vont sur un bateau, à pleine voile

Et ils ont de la chance car ils se sont choisis
On ne ne leur a pas imposé des idées préfaites
Et elle a choisi, sans obligation, son mari
Pas pour son argent, et rien ne l’alerte

Elle peut l’aimer sans se faire des idées
Car elle à eu le choix de ses actes
Contrairement à d’autres, qui vivent dans la fausseté
Et ne peuvent se procurer de joies ..

Cadeau de la vie

Cadeau de la vie

Un cadeau de la vie, cela se garde
Mais pour cela il faut se mettre en alarme
Et pour dire, j’y suis, et tu me regardes
Avec ton air enfantin, qui ne m’affable

Et je t’aime, comme on aime rire
Aimer rire, c’est la vie
Celle qui te dit courage et sourit
Et moi je te serre, comme la lyre

Et je lève les yeux et tu les attrapes
Pour les capturer, belle, douce, charmante
Dame! Si tu savais, arrogante!
Tu ne sais rien, tu vois seulement, et tu catches!

Catches mon esprit, pour me réveiller
Me dire parles moi, je suis aussi là
Pour m’entendre et rester auprès de toi
Hélas je ne suis pas ce que tu as rêvé

Mais elle raconte que ce n’est pas vrai
Je te le dis cher lecteur , ne prends pas peur
De mes mots, ils sont véritables, mais quelle erreur
De ne pas t’écouter, étoile….