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Le nerf de la guerre

Le nerf de la guerre

Trouble et pale à la fois, sans crainte
L’odeur du doux précieux avec plainte
Il nous rend heureux, contribue au bonheur
Peut faire de nous beaucoup de malheur

Mais vaut t’il mieux la richesse aujourd’hui
Ou l’opulence du cœur et de l’esprit?
Je craint pourtant que les plus vêtus
Soit parfois les plus mal-entretenus

Quand le sou détruit toute relation
Je prend le large, sans nation
Je suis l’étoile qui m’a créé
Je naquit à nouveau toute l’année

Je n’écoute plus les décibels
Je reste totalement artificiel
Et la nuit devient le jour
Et je fait alors mon retour.

Abandon

Abandon

Peur de tes bras ma douce ingénue
De tes mots, ton charme, ton odeur
Tes sentiments ont mille valeurs
Je crains de toi n’être plus vu

Mon âme s’abandonne à ton esprit
Mon coeur chevauche ta rivière
La fraternité à présent nous relie
De tes sentiments ma chancelière

Mais peut-être autrui te charmera
Je me noie de chagrin , en vain
Je crois que tu m’abandonnera
Et n’aurais pour pleurer mes mains

A présent j’ai un pied sur l’étrier
Je penche, tombe, me detruit
La vie bascule du mauvais côté
Je ne suis plus! Adieux, tout est permis!

Sucré salé

Sucré salé

Odeur de sueur
Je ne compte plus mes heures
Et ont disparus mes craintes, mes peurs
Salé sucré, gout de bonheur

Quand je te voit , ta galaxie s’offre à moi
Te quitter devient mélancolie
Toi pour qui l’amour est sans foi ni lois
Et je n’ai qu’un cœur d’apprenti

Et maintenant il faut y aller, foncer
Aimer la vie, aimer le temps d’aujourd’hui
Et je te câline, ma petite fée
Aime toi, reste toi, sans être salit

Blanchie

Blanchie

Sale, blanchie et parfois jaunâtre
Ras le bol de voir cette couleur âcre
Qui empeste ma vie,
Ce n’est même pas l’odeur du rhododendron, l’ami!

Tu as pourri ma jeunesse
Mais tu ne saliras pas ma vieillesse
Plutôt mourir que donner
Un seul minuscule petit billet

Même pas une liasse de monnaie
Et encore moins un seul petit blé
Toi qui as guidé mon enfance
Qui m’a emmené dans l’errance

Plus encore, dans l’innocence
Mais on te manie telle une ignorance
Et je te vois d’un regard abject
Avec ça, finie la fête

Peurs…

Peurs…

Je suis en pleine peur
Je suis en pleine chaleur
Je ne sens pas ton odeur
Je ne sais si il y a malheur

Soudain monte en moi cette sensation
Ça fait comme une ovation
C’est drôle, bizarre, inqualifiable
Ce n’est plus jouable

Je ressens quelque chose d’incroyable
Quelque chose qui me sert le cœur
Un cri d’horreur
Aïe , ça n’est pas louable

Pourquoi ça me fait ça?
Je suis tordu, un peu dru
Je sais que je suis comme ca.
Et pourtant je n’ai pas bu