Solitudes

Solitudes

La solitude, le mal être des forts
Celle qui nous guette au dehors
Que nous ne montrons à l’intérieur
Nous cachons nos plus grandes peurs

Je suis une poupée, si faible et si belle
J’entend tellement souvent les crécelles
Qui règlent mes mots tellement indicibles
Qui exprime cette tristesse indescriptible

J’imagine ces moments d’incroyables souffrances
A angoisser, seul, dans une certaine errance
Une main tendue m’a maintenant repêché
De ces eaux troubles, de ce trottoir usé

J’ai rêvé d’un monde, bien trop à mon goût
Sans me soucier d’autrui, ce nouveau loup
Croyant que mes douces larmes et mon sang
Suffiraient à faire revenir mes petits garnements

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