Sépares-toi

Sépares-toi

Sépares toi de son corps, de ses yeux, de sa terre
Sépares toi d’elle, mon frère
Je te le répète sans cesse avec mes propres mots
Arrête! Cesse de faire l’idiot

Tu as laissé ta jeunesse, et elle te blesse
Tu continues ta vieillesse. oh! Lâche et insensible
Aux tourmentes que désormais tu délaisses
Et je lis ta tristesse comme on lit une bible

Plus fort, plus courageux, merci merci encore
Mais là maintenant, tu as vraiment tort
De t’acharner, d’attendre. Avance!
Reculer est la pire des insolences!

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