L’etourdi

L’etourdi

Au bout du monde, tu es mon étoile
Une vrai merveille couvert d’un voile
Tu es le soleil qui brûle mon cœur
Je suis ce ciel bleu ,venu par erreur

J’ai oublié ces plages de sables fin
Où nous marchions main dans la main
J’ai oublié de naviguer sur ce beau bateau
Qui s’est transformé en un si petit radeau

Ma flamme olympique n’est pas éteinte
Même quand ta douceur, parfois, m’ereinte
Mes yeux brillants sont attirés vers toi
Que je ne met plus souvent en émoi

Je voudrais te dire toute les murmures
De cet asile, enfermé dans mon mur
Dans cette prison qu’est le temps qui passe
Où, étourdi, je parle seul et parfois resasse

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