Ils étaient deux

Ils étaient deux

Ils sont deux dans l’amour la joie
Ils espèrent s’unir un jour pour la vie
Des étincelles se lisent sur leurs visages
Eux qui ne furent jamais très sage

Ils se sont concertés et ont parlés de tout
Ils se sont regardés et se sont de suite aimé
La distance les rapproches un peu chaque matin
Peu à peu ils se donnèrent leurs petites mains

Ils navigueront parfois dans les eaux troubles
Et détiendront dans leurs paumes des caroubles
Parfois subiront la tristesse, le désespoir
Mais garderont un seul mot en tête, l’espoir

Nous qui nous trouvions au bord d’un chemin pentu
Nos vies qui étaient si différentes, parfois ardus
Tout en douceur je me suis approché de tes bras
Qui m’ont accueilli et m’ont permis de faire un pas

J’eu froid, fut angoissé à l’histoire de ne pas comprendre
Si mon visage, mon esprit, mon âme allait un jour t’entendre
Nos doux moment m’ont alors réchauffer et je me suis ouvert
Moi, qui , au départ, n’a vraiment rien pour te plaire

*Caroubles : Clé, passe partout, argot ancien.

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