Il fut un temps

Il fut un temps

Il fut, un jour , tout seul en pleine sincérité
Avec lui-même, avec son corps, avec son âme
Et celle de maladie m’emmène dans l’austérité
Moi, qui, sous couvert d’anonymat est malade

De ne pas pouvoir vivre comme les autres
Qui en se nettoyant, sont toujours blancs, propres
Et moi je noircis chaque jour, et elles rient comme des sottes
A la vie, comme à la mort je garde le même amour, idiotes!

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