Epris avec raison

Epris avec raison

Epris de toi, je ne cours plus
C’est ce regard flambant neuf
Qui connaîtra mes craintes entendues
Ma griserie ingénue

J’ai une ingouvernable sensation de mépris
Pour ceux qui n’ont pas compris
Que deux êtres peuvent s’aimer
Sans obligatoirement se quereller

C’est comme une irrepressible envie
De dire à cet univers
Que l’amour est différent de la guerre
Que chaque saison de nous c’est la vie

Pour certains les mots bonheur et respire
Deviennent irritant, compromettant
A tel point que la vie devient lente
Et que le jour et la nuit s’aspirent

J’ai la fantastique raison de penser
Sur cette terre que d’autres vies ont poussé
Mais que la notre est ravivée
Et c’est celle de l’éternité

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