Elle
Elle, et ses yeux doux , ses yeux clairs
Qui éclairent mon ombre
Qui illuminent ma chandelle sombre
Je l’aime, même avec ces yeux en l’air
Et ces mots qu’elle sort, vulgaires
Mais si voluptueux à la fois
Je grogne, j’élève ma voix
Pour ces choses si austères
Pour de bon, je suis coiffé de toi
Qui chaque jour m’aperçois
Sous un autre angle
Sous cette vision rectangle
Non carrée, car rectangle
Peut être contourné
Peut être violé
Et n’existe plus la liberté
Liberté de te susurrer
Quelques tendres gestes
Je n’ai jamais de reste
Sinon de te chérir , de t’aimer
Et te rassurer, et dire que je suis là
Et que j’angoisse pour ton toi
Même en t’écrivant ses mots oppressés
Je t’aime encore et toujours ma fée