Chance
A deux femmes Alais et Fatima
La chance, l’amitié, m’ont sourit
Je te retient, tu revient, vas-y!
Deux êtres de nul part, admirable
Mon âme accueille vos paroles affables
Gravé dans mon corps, mes tripes, mon cerveau
Vos élégants sourires m’ont donné chaud
Je vibre à votre regard, rien n’est trop tard
La moindre inquiétude et je suis hagard
Deux cœurs d’amour, de survie,de bienveillance
Malgré mon chemin, mes défauts, mon errance
Mes crises, mes erreurs, mon attitudes
Et toujours autant de sollicitude
Peu à peu je surmonte mes adversaires
Présent et de plus en plus austères
Plus fort que de vous estimer, j’idolâtre
Votre âme, vos envies sont opiniâtre