Archives de
Tag: Tristesse

Jeux Interdits

Jeux Interdits

Les braises crépitent autour du feu
Innocents adultes simulant un jeu
Défiant les limites, les codes moraux
L’interdit brûle, c’est le début des maux

L’autorité établie s’est perdue, bafouée
L’humanité si belle est en grave danger
L’inquiétude remplace ma stupéfaction
La tristesse se substitue à l’admiration

Jeux prohibés, perdus dans la dignité.
L’honneur d’un doux enfant, humilié
Tiraillé entre l’honneur et la peur
Nous avons perdu toutes nos valeurs

Découvrant les meilleures calomnies
Nous sommes restés figés, sans bruits
Incapable d’émettre de vives protestation
L’angoisse perdure, ignorant la raison

Tristesse en fête

Tristesse en fête

Aujourd’hui, j’ai perdu ma dignité,
Une fête triste et déshonorante
Honni, rabaissé le regard fuyant, 
Sali, déshonoré, bientôt jugé

Mon armée de soldats part en guerre
En recherche de travail sur terre
Au prix d’une déprime joyeuse
Pour rendre les minutes heureuses

Le soleil remplacé par la pluie
file souvent un drôle d’ennui
A l’aube, mes mots en flammes
Sont transmis par télégramme

Mes maux codés, indésirables
Les meilleurs, les indéchiffrables
Ceux qui m’ont un jour assassiné
Je ne rêve plus, j’ai décroché.

Un profond abîme

Un profond abîme

Fratries éloignées par l’orgueil
Assis, maintenant dans nos fauteuils
Toutes ces larmes que j’expédie 
Avec mon honneur qui expie

Perdu dans un profond abîme
Avec ces regrets qui m’animent
Un hiver s’est mis entre nous
Les moutons ont été pris par les loups

Nos cristallins ont été broyés
Nos mains, si saines, si abimées
Une tristesse abyssalle s’empare de moi
Éloignés par ce chemin de croix

Tu as tout réussi, en rien de temps
Prenant la revanche sur cette de vie de sang
L’abcès est vif mais d’un seul côté
Vidés par mes multiples méfaits

Le bateau

Le bateau

Un bateau en mer, s’est échoué
Sur cette jolie plage, ce beau rivage
Après la bataille de ces neufs armées
Ces hommes qui rentrent d’un voyage

Décimés par la vie, sans repères établis
Perdus, leurs yeux hagards, dans le noir
Qui cherchent seulement les regards d’autrui
Fuyants l’ennui et un certain désespoir

Le son de leurs voix est si mutique
Que tout les crickets se sont tus
Ils recouvrent cette liberté erratique
Et se vengent de tout les abus

Le soleil brûle les peaux si claires
De ces survivants de l’abîme
Ayant brisés ce plafond de verre
Et cette tristesse qui les opprime

Peau de Velour

Peau de Velour

Les amitiés, les amours, peau de velour
Qui vole l’espérance de la vie, tel le vautour
Les mères, les femmes, les filles, nos amies
L’élégante tristesse de cette ultime galaxie

Je resterais ce bien heureux pensant, intègre
Qui caressera toutes ces douceurs,si maigres
Qui rêvera des secondes chances, ratées
Dans ce monde où tout s’est terminée

Au revoir l’amour, au revoir les belles amitiés
Au revoir aujourd’hui, je suis si malmené
Au revoir demain, je me pétrifie dans l’au delà
Au revoir, à jamais dans l’univers, la bas

J’ai hissé la grande voile, j’ai pris le large
Je suis surpris, éloigné de ces rivages
La surprise s’empare à présent de vous
Je vous salue maintenant, je vous salue debout

Les valises

Les valises

Je vais poser mes valises dans ce coin de désert
Dans ce sable fin et granuleux, près de cette mer
Je chaufferais des gamelles sur un feu de bois
Me moquant éperdument des textes et des lois

Je planterais des clous, dans ces rochers qui s’effritent
J’écaillerais les poissons et les requins à mon rythme
Je chanterais cette mélancolique et fulgurante mélodie
Je crierais à corps perdu durant toutes ces insomnies

J’ai pleuré tout mes désespoirs et plus petits espoirs
Les oisillons sont parti siffler si loin, en ce beau soir
Je tire les leçons de mes engagements si généreux
J’ai serré si fort, tout ces cœurs perdu, et heureux

La tristesse ne m’a plus quitté, ces derniers mois
J’ai le blues de l’âme, un bleu dans mon cœur en émoi
Je suis sans cesse dans une guerre moderne, permanente
Fini les vingt ans, les déceptions de tout ces gens qui mente

Le Couvent

Le Couvent

Les sœurs et moines vivent au couvent
Exclus et reclus, serrant les rangs
Enfermés dans le monastère de la vie
Soudain des doutes ils ont émis

Les chanoines suivirent l’éternel mouvement
Dans les cris, la colère, la rage, le sang
Tentant de libérer toute amertume et tristesse
De cette vie ecclésiastique sans largesse

Ils oublièrent leur plus grande inculture
Pour faire baver les plumes et ratures
Pour écrire le livre de leur médiocre vie
Pour oublier à quel point ce ciel est si gris

Les nuages se sont désormais découvert peu à peu
Pour laisser place à une atmosphère gris-bleu
Pour emprunter le chemin d’une certaine renaissance
Et voir à nouveau cet arc en ciel qui danse

Les sirènes

Les sirènes

Mon visage est tiraillé et parfois flétri
Il y’a quelques sirènes sur mon chemin
Je m’en vais et m’éloigne avec la grêle
Moi qui suis devenu pâle et si frêle

Je suis parti sur ces lointains rivages
Comme cette tourterelle d’un autre âge
Je virevolte doucement au loin, dehors
Je caresse la douceur de ce vent du nord

En remontant la pendule, à la bonne heure
J’ai perdu soudainement les clés du bonheur
Je surmonte le froid et l’amertume de l’hiver
Avec l’immense joie et la tristesse d’hier

J’ai perdu au jeu de la vie, au jeu de l’ennui
Le matin, je reprends confiance en la vie
Je laisse de nouveau réfléchir mon cœur
Celui qui m’a si souvent mis en erreur

Solitudes

Solitudes

La solitude, le mal être des forts
Celle qui nous guette au dehors
Que nous ne montrons à l’intérieur
Nous cachons nos plus grandes peurs

Je suis une poupée, si faible et si belle
J’entend tellement souvent les crécelles
Qui règlent mes mots tellement indicibles
Qui exprime cette tristesse indescriptible

J’imagine ces moments d’incroyables souffrances
A angoisser, seul, dans une certaine errance
Une main tendue m’a maintenant repêché
De ces eaux troubles, de ce trottoir usé

J’ai rêvé d’un monde, bien trop à mon goût
Sans me soucier d’autrui, ce nouveau loup
Croyant que mes douces larmes et mon sang
Suffiraient à faire revenir mes petits garnements

Les Trahisons

Les Trahisons

Les trahisons du quotidien
Qui me donne un grand chagrin
La confiance est inestimable
Je perd souvent l’amitié véritable

Mes rêves ont peu à peu disparus
Des larmes sont parfois apparues
J’ai pourtant recherché la vérité
Sur ces visages peu enjouées

Ma rage et ma haine sont féroce
Je rends quelques joutes et j’endosse
Les plus beaux coups donnés par la vie
J’assume ma tristesse et les ennuis

J’ai cru qu’il fallait, à tout pris, croire
Sans ouvrir les yeux, sans voir
Je reste immobile et je vous observe
Pour ne pas vous déverser toute ma verve

Liberté

Liberté

Liberté d’aimer, d’amour ou d’amitié
Liberté de penser, de t’écouter, te parler
Je scie les murs et les barreaux de prison
Qui ont encerclés et enfermés ma raison

J’ai reçu une explosion de joie, de tristesse
Je voulait te voire virevolter, princesse
Moi qui saisis combien est ta peine
Toi que je devais traiter comme ma reine

N’étant jamais partie malgré mes décisions
Bonnes ou mauvaises, celles sans raisons
L’ oiseau a voulu se poser dans ce nid
Douillet sans se soucier vraiment d’autrui

J’ai fini dans la geule de ce grand loup
J’ai reçu votre message, votre courroux
Je respire à l’abri de cet animal féroce
Sans ressentir cette amertume atroce

Contrées lointaines

Contrées lointaines

 

J’ai le regard nerveux et fébrile
En caressant ton visage si agile
Tes yeux pétillants d’amitié
Qui sont si souvent jalousés

Je n’ai que faire de ces bruits
De ces légères murmures d’autrui
Mes mots s’embrasent et s’enflamme
Pour dire combien j’aime madame

La tristesse s’est emparée de moi
En pensant que la vie est un choix
Je m’envole vers une contrée lointaine
Où il y a plus d’amour que de haine

Je contemple le creux de ta main
Qui me fait vibrer chaque matin
Je subodore toutes tes pensées
Toi qui ne m’a jamais jugé

Le manque

Le manque

Des êtres qui souvent vous manque
Qui font des tours comme des saltimbanques
J’ai ris comme j’ai parfois pleuré
Du décès de certaines relation d’amitié

Mes yeux ont été brûlés à l’acide
Mes caresses n’ont plus été placides
Mes proses dissoutes par la chaux
Si bien que ma pensée dépasse mes mots

J’ai aveuglement aimé sans vouloir détruire
J’ai arraché tes envies, tes derniers désirs
Pour mon cœur déchiré par ton soudain départ
Nous nous sommes regardés d’un air hagard

Je me suis effondré comme un gibier abattu
En plein bois, par surprise, sans piège tendu
J’ai saigné en me laissant mourir peu à peu
En invoquant pour la dernière fois les dieux

L’absence

L’absence

L’absence qui me fait parfois peur
Je continue d’être dans son cœur
J’ai parfois pris quelques libertés
Mais je n’oublie jamais les amitiés

Vers d’autres cieux je me suis envolé
Pour ne jamais me sentir prisonnier
J’ai pris le chemin de la sobriété
Pour ne plus jamais faire d’excentricités

Mes fondamentaux sont vraiment acquis
Pourtant je ressent la sensation d’oubli
Sans le comprendre, ni même le vouloir
Ce qui ne m’empêche pas de le voir

Mon esprit est resté clairvoyant
Malgré les blessures saillantes
J’ai besoin de poser mes valises
Mes peines, mes joies, sur cette banquise

Les vagues de la détresse

Les vagues de la détresse

Vague de détresse, once de tristesse
Où s’emportent mille et unes bassesses
êtes vous dans mon corps, dans mon cœur?
Pour ressentir mes quelques douleurs

Vous rendez froid ce soleil brulant
Qui me fait marcher parfois en avant
Je salue ceux qui acceptent le dilemme
Qui n’arrivent pas à rester blême

Mon regard au loin, la larme à l’œil
Qui m’a parfois fait penser au cercueil
Mais j’ai continué souvent d’affronter
L’ensemble de mes erreurs, mes difficultés

Il faut regarder l’avenir et non le passé
Et toujours prendre la vie du bon côté
En oubliant les épreuves du quotidien
Qui à petit feu, vous mange, comme un rien

Détresse

Détresse

Détresses ordinaires et peurs continuelles
Je ne fait plus partie de ce rituel
Je tente de sauver parfois du déclin
Sans aucune retenue, ni aucun frein

Je suis pourtant gentillement tourmenté
Par des mots inconsciemment dictés
Qui reflètent la tristesse et le désespoir
La où, au coucher du soleil, je souris, le soir

Sans pouvoir tendre ma main
Qui te dit au revoir jusqu’à demain
Ni te donner mes dernières palabres
Sous ce peuplier, cet arbre

Mon rêve de te réconforter
De te rendre heureuse, toi l’être aimé
Je ne suis qu’un petit écureuil
Qui parfois sait faire son deuil

Mains du destin

Mains du destin

J’ai senti ton âme entièrement initiée
S’ouvrir sur ma grande tristesse
Sur mes qualités, mais aussi ma détresse
Je t’ai désiré, je t’aime et je t’aimerais

Je piaille comme un oisillon naissant
En étant l’hôte caché de ces bois
Qui s’égosille, reste sans voix
Je suis un phénix parfois mourant

Tandis que mon âme est à nouveau cisaillé
Mes orchidées ont ouvert leurs yeux
Et vous embaume de parfum peu à peu
Moi qui parfois a été entièrement saccagé

Juste toi et moi faisons ce chemin
Nous sommes unique et exceptionnels
D’un amour idyllique et rationnel
En ouvrant nos yeux chaque matins

Vie automnale

Vie automnale

Des êtes douées et consciencieux
Dénués de sens et irrévérencieux
Qui se mentent à leur égard
Qui louchent d’un air hagard

Qui n’ont ni vie ni réels amis
Seuls au monde, avec du mépris
Où la tristesse parfois se lit
Sur leurs visages parfois endurci

Je comprend le profond désarroi
Qui peut les mettre en émoi
Ils doivent s’ouvrir au monde
Qui les entoures d’idées vagabondes

Et ne plus rester dans leurs carcans
Qui était bien il y a fort longtemps
Personne ne doit être vraiment reclus
Sauf chercher à rester des exclus

Ton regard triste

Ton regard triste

Ton regard est triste et courroucé
Je ne suis pas l’être humain rêvé
Mais il y a de la place pour deux
Je suis l’homme tellement heureux

Tu est mon modèle de vérité
Moi qui reconnaît avoir avancé
Sur les berges de ton océan
Même si je dit noir et toi blanc

Je suis sous milles grand feux
Moi qui pense à nous deux
Je ne veux jamais te voir partir
Car la tristesse remplacera mon rire

Quand je décroche la galaxie
En donnant raisons à tes envies
Quand les miles ne m’effraie
Pour ne jamais tirer un trait.

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

Choix

Choix

Les choix de la vie, difficiles à assumer
Qui me font pleurer, ne m’ont pas amusé
Ne me laisse guerre de répis, ni d’amis
Qui comprennent mes difficultés, la vie

Je ne peux être divisé par deux chaque fois
J’essaye de juger les choses et les lois
La distance à des conséquences compliqués
Je ne veux cependant que l’on me fasse chanter

Je ne sais quoi faire, quoi vraiment dire
Et je sais dans votre tristesse, lire
je n’ai rien pour assurer ma petite défense
Encore moins justifier mes absences

Je ne règne pas sur la terre entière
Et à tout le monde, je ne peux plaire
Comme un magicien aux doigts enchantés
Comme la poudre de mes petites fées

je ressent l’amertume et l’angoisse
je voudrais que rien ne vous froisse
La detresse est en moi, salace
J’avoue, je manque quelque peu d’audace

Ils étaient deux

Ils étaient deux

Ils sont deux dans l’amour la joie
Ils espèrent s’unir un jour pour la vie
Des étincelles se lisent sur leurs visages
Eux qui ne furent jamais très sage

Ils se sont concertés et ont parlés de tout
Ils se sont regardés et se sont de suite aimé
La distance les rapproches un peu chaque matin
Peu à peu ils se donnèrent leurs petites mains

Ils navigueront parfois dans les eaux troubles
Et détiendront dans leurs paumes des caroubles
Parfois subiront la tristesse, le désespoir
Mais garderont un seul mot en tête, l’espoir

Nous qui nous trouvions au bord d’un chemin pentu
Nos vies qui étaient si différentes, parfois ardus
Tout en douceur je me suis approché de tes bras
Qui m’ont accueilli et m’ont permis de faire un pas

J’eu froid, fut angoissé à l’histoire de ne pas comprendre
Si mon visage, mon esprit, mon âme allait un jour t’entendre
Nos doux moment m’ont alors réchauffer et je me suis ouvert
Moi, qui , au départ, n’a vraiment rien pour te plaire

*Caroubles : Clé, passe partout, argot ancien.

La mer profonde

La mer profonde

La mer profonde, tu est toute ronde
Je tourne je tourne en blonde
Je suis si loin de ma moitié étant triste
Qui vis avec moi et fait des tours de piste

Si impuissant et incapable de faire face à sa détresse
A ses moments d’angoisse et de tristesse
Où tout les mots et les paroles font mal
Où chaque palabre n’est plus vraiment banal

Toi sans moi c’est comme une justice sans prison
Comme une course poursuite sans passion
Je suis épris de toi, de ton univers adoré
Où je me suis senti si désirable et aimé

Si beau si charmant dans notre village
Et je suis amoureux de tout ces sillages
Au point que les pépites d’argent soit de l’or
Que ton amour soit devenu mon trésor

Complicité

Complicité

Mon ami, mon idole, ma brise, mon sable
Tu m’a vu, m’a regardé d’un air affable
Ce petit grain doré de grande complicité
Me rend parfois faible et mal-aimé

La peur qui grandit de tout pourrir
De ne plus te voir, jamais, ni réussir
A conserver ton coeur et ton esprit
De ne plus te montrer que je souris

De perdre à tout jamais mon étoile
Cela n’est pour moi totalement banal
Je décrocherais la lune, me tairait
Pour ne jamais avoir de larme a verser

De nos jours, chacun vit pour soi
Je n’espère jamais devenir comme cela
Mes verbes sont là, totalement maladroit
Mes lèvres se referment, je me tait.

Enchanté vous avez dit?

Enchanté vous avez dit?

Tournesol d’été, me voila enchanté
Empereur du royaume de la joie
Chantez, chantez cruelles voix
Votre couteau s’enfonce dans ma plaie

Un monde enfantin où rose est la couleur
Manège de la vie où rien ne m’est épargné
Faiblesses, je te suis avec ma véracité
Mon désir est présentement devenue ma peur

L’enfer d’autrui m’a totalement ébranlé
Mais en moi je détient quelques gloires
Malgré l’absence d’initiative, d’espoir
L’être est reconnaissant des grandes amitiés

Enfance que j’ai perdu, le passé, regrets
Je vous aime d’amour terre et ciel
Je dissimule sentiments et sort mon Opinel
Je suis parmi les votre, mais suis-je accepté?

Insouciance

Insouciance

Insouciance, ma plus grande liberté
Mes mérites entier j’ai vanté
Sans vergogne, sans louanges
Maintenant tu te venge

Je t’ai vu partir avec tristesse
Et dans tes mots n’existe délicatesse
Aucun état d’âme dans tes faux-propos
Moralement je n’était plus vraiment beau

Ton cœur est devenue entièrement opaque
Tu à tout tenté avec moi, même l’attaque
Et maintenant tu essaye de vivre en catimini
Sous les pavé chauds de la place d’Italie

Venant te chercher doucement avec mes pas perdus
Bientôt deux ans que j’ai oublié ton visage, ta vue
Que je suis sans ta présence, ton amour, ta naïveté
Comme à l’ordinaire tu exécute une certaine velléité

Regrets

Regrets

Regrets de l’amitié du passé
Une expérience, une éternité
Des mots,des voix, des erreurs
Des lois, des tristesses, ma pâleur

Allons de l’avenir du futur
Attention rien est moins sur
Et j’endure mon enfance
Je suis en pleine errance

Adolescent désœuvrée que je suis
Le peuple à une nouvelle fois salit
Ma réputation, homme de confiance
Plein d’ultime doléance

Je vais vous châtier à présent
Une vrai peine de cœur, de sang
Et l’amitié que vous respiriez
En moi maintenant vous l’éteindrez

Calme

Calme

Un calme sur l’océan , un calme comme le vent
Apaise et adoucit ton esprit
Rien pour autant ne change avec le temps
Vient dans mes bras, vit!

Mais à la place,colère et tristesse
Sont au rendez vous
Alors que je voudrais ton charme doux
Je ne vit plus dans l’allégresse

Devient femme, comme d’autre font
Avant que j’aille faire trois petit tour
Dans l’au delà, éternelle mais pas sourd
Et ils s’en vont

Heureux est un mot banni,
Croix et bras de fer
Vis sur la terre
Et cette débauche je la crie

Hymne à l’amour

Hymne à l’amour

Oh mélancolie et tristesse,
Je me crois en pleine vieillesse
Et je regarde tes yeux plein de larmes
Moi qui croque ton charme

et tes yeux bleu sont océan
et ton visage doux est sable
et ton amour est sang
et ta douceur est nature

Toi qui aime la vie
Croques la pomme de l’amour
Aimes ton prochain comme tu t’aimes
Approches toi de sa main

Et dans notre âme si profonde
Demandons-nous qu’est-ce qu’aimer?
Toi qui ne m’aimes pas par vanité
Mais par bonheur de vivre

Continues et restes ainsi
L’amour est un bouquet de violettes
Il se ceuille au bord de l’herbe
avec raffinage et douceur

Regret

Regret

A  Julie.

Regret , regret que tu nous aies si vite quitté
Regret pour quelqu’un de si tendre
Maintenant ton absence n’est qu’à constater
Mais tu as su te faire entendre

Et c’est sur ses mots que les larmes coulent
Avec le temps on s’attache
Et maintenant il faut que je m’y fasse
En moi tristesse vient. Allez vas y! Roules

Et dire que tout le monde avait accepté ta venue
Car tu es d’une grande rigueur
Avec de la joie, de l’humeur , de la tenue
Mais je vais de cette histoire, faire toute vigueur

C’est trop tard. Rien n’a pu te retenir
Même moi je ne l’ai pas vu venir
C’est drôle l’effet que celà fait
Restes là petite fée;