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L’escorte

L’escorte

Je t’écoute et chaque jour t’escorte
J’ai volé sur le dragon de la malédiction
Soufflant cet air brûlant sur ma main morte
Ma dignité perdue au pas de ta porte

J’ai épousé la liberté d’entreprendre,de voyager
Ces milliers de roses envahissent ton espace
J’ai épousé l’amitié, nous avons eu l’amour
Ces mésanges surplombent nos terrasses

L’amour, ce vaste champs des possibles
Qui vous chamboule, vous entraîne
Devant cet arc en ciel si paisible
Soutenant ces grives qui se drainent

J’aperçois au loin l’avion du désir
Qui décolle et prend son envol
Je suis resté sur terre, sans sourire
Perdu dans ce train du Cévenol

Les valises

Les valises

Je vais poser mes valises dans ce coin de désert
Dans ce sable fin et granuleux, près de cette mer
Je chaufferais des gamelles sur un feu de bois
Me moquant éperdument des textes et des lois

Je planterais des clous, dans ces rochers qui s’effritent
J’écaillerais les poissons et les requins à mon rythme
Je chanterais cette mélancolique et fulgurante mélodie
Je crierais à corps perdu durant toutes ces insomnies

J’ai pleuré tout mes désespoirs et plus petits espoirs
Les oisillons sont parti siffler si loin, en ce beau soir
Je tire les leçons de mes engagements si généreux
J’ai serré si fort, tout ces cœurs perdu, et heureux

La tristesse ne m’a plus quitté, ces derniers mois
J’ai le blues de l’âme, un bleu dans mon cœur en émoi
Je suis sans cesse dans une guerre moderne, permanente
Fini les vingt ans, les déceptions de tout ces gens qui mente

Les folles amitiés

Les folles amitiés

 

L’amitié qui s’emballe, qui semble si folle
Chacun sa place, Chacun sa vie, Chacun son role
Celle des jours de joies, comme des jours de pluie
Qui tends la main, reçitant à voix haute des litanies

L’amitié, qui aime l’autre, sans jugement ni valeurs
Qui admet les petites fariboles, les grandes erreurs
Et vous épaule, vous guide dans ces boueux marécages
Vous écoute jusqu’à la fin de votre plus grand voyage

L’amitié qui sonne le glas des plus grandes discordes
Qui siffle, comme un pinson, la fin des plus grande hordes
De barbares envahissants le terrain de l’amour aveugle
Qui crient la haine de la vie et qui petit à petit, beugle

L’amitié, loin d’ici, qui nous fait planer d’incertitudes
Qui bouscule la médiocrité et nos mauvaises habitudes
Et joue sur notre solitude, nos plus grandes errances
La flamme s’est soudainement eteinte, irrevocable sentance

Les douceurs

Les douceurs

Toi ma petite douceur
Qui réalise mes bonheurs
Moi, si loin, si triste
M’en allant faire un tour de piste

Je caresserait tes joues
Tu restera près de moi, debout
Je t’enlacerais le corps
Te conserverait tel un trésor

Les gouttes de pluie coulent
Sur toute cette foule
Sur ton esprit en mouvement
Sur tes cheveux dans le vent

Mes mots sont si faibles
En t’offrant cette hièble
Une belle étoile est née
Je ne veux plus la quitter

L’amitié du moment

L’amitié du moment

Je suis l’amitié du moment
Je caresse une vague de la vie
Les cheveux dans le vent
Je te regarde avec joie

Tu fais briller le soleil, au réveil
Et décroches les astres perchés
Ton étoile qui file m’émerveille
Je suis parfois amer et attristé

Tu es si loin et si proche à la fois
Moi, capitaine d’un bateau en dérive
Je n’avais aucun espoir sans toi
Étant à bout, dans un certain qui-vive

Il est des jours où l’orage gronde si fort
Qu’il fait trembler les carcasses désossées
Je suis l’une des leurs, quelle métaphore !
Tu me ressuscites d’une toute petite mort

Garde moi encore

Garde moi encore

Garde moi, garde moi encore mon petit trésor
Toi que je consume comme une pépite d’or
Nous rassemblés pour vivre un grand espoir
Celui d’un rêve d’antan, d’une chimère d’un soir

J’ai appris à vivre en mon âme et conscience
En ne reniant jamais quelques circonstances
J’ai le désespoir, la peur de ce saut en avant
Dans le miroir brisé je ne voit ni noir ni blanc

J’apprends à aimer et ne jamais détester
Ceux qui partagent mon amour, mon amitié
Je suis parti sous cette brume automnale
Avec un regard sobre, une habitude matinale

J’ai regardé mon avenir un peu trop tard
En pensant qu’il n’y a jamais de hasard
Je suis ce chemin parsemé de nuage
De tempêtes, de brouillards, d’orages

Amour enchevêtrée

Amour enchevêtrée

A la demande de Pauline M

Notre amour quotidien enchevêtrée
Nos silences drôles et parfois animées
Nos absences si lointaines toutefois
Jette présentement un grand froid

Moi, débordante d’énergie positive
Toi, qui me fait tourner la tête , m’enivre
Nous sommes un tout, mais je ne suis rien
Je regarde les étoiles qui sont au loin

Et j’aime l’odeur de ta tendre chaire
Quand je voit une étincelle en l’air
Qui éclate pendant un certain temps
Telle une grande bohème d’antan

Formant une galaxie légèrement étoilée
Que nous attrapons au vol , sans rivalités
Notre amour depuis maintenant cinq univers
Où tout nos moments sont gravés dans la terre

Le ciel assombri

Le ciel assombri

Le ciel assombri, il fait désormais gris
Je te voit, nous nous sommes réunis
Pour vivre cette histoire de toujours
Nul doute, nous avons l’amour

Nous voudrions être parfois trois
Mais il faut être deux, chaque fois
Je suis présent, armé de mon pouvoir
Là où chaque décision est à surseoir

Je voit aussi loin que le sable du Sahara
Quand le jour je virevolte et tournoie
Quand la nuit nos corps sont si proche
Quand s’allume nos grandes torches

Tu m’ensoleille chaque petite seconde
Je suis l’amoureux qui parfois t’inonde
De bonheur, de questions, d’envies
Oui, maintenant, je t’ai choisi

Les nuits magiques

Les nuits magiques

Les nuits magiques, rires sataniques
Tu me regarde d’un air oblique
Quand le soleil se couche au loin 
Et que tu me met un petit point

Je veux que tu me raconte l’histoire
Comme au clair de lune du soir
Comme à la lumière du jour
Qui signifie toujours ton retour

Je devine et dejeune ce regard
C’est ton crédit, ton faire valoir
Et tu me regarde en riant encore
Tu protège ton tout petit trésor

L’amour apporté est commun
Et puis d’un seul coup plus rien
Je t’aime comme une étincelle
D’un silex frotté, toi ma toute belle

Les ailes de l’amour

Les ailes de l’amour

Vous êtes une aile pour moi
Une rose d’antan jamais fané
Moi qui suis parfois aux abois
Je suis tout et rien à la fois

Je sais que votre coeur est meurtri
Par ces douleurs assumés de la vie
Je suis à vous pour notre amour
Et je vous regarde, encore, toujours

Vous m’êtes cher et je suis si sensible
A votre tristesse de mon départ si pénible
Je ne suis ni proche ni vraiment loin
Je suis là tout près de ces petits points…

Ne vous laissez pas aller dans cet état
Votre coeur en ma présence s’apaisât
Soyez heureuse d’être l’être le plus cher
A mes yeux , à mon corps , à mon esprit délétère

La fusion

La fusion

L’amour porté par deux personnes
Sont autant de mots qu’ils fredonnent
A nous qui les avons portés dans leurs projets
Nous les suivront en entier

A toi papa, qui m’a conduit vers l’indépendance
à toi Corinne, à ton sourire et ton élégance
à votre vie amoureuse, vos envies, votre futur
Qui pourra être facile comme dur

Soyez assuré de ma reconnaissance
Qui me permette d’oublier l’indifférence
Et de comprendre le sens de la vie
Les jours ou je n’avais plus ris

À Corinne, à son dévouement aux autres
à mon père, loin d’être parfois un apôtre
Mais que j’aime depuis qu’il m’a créé
à vous deux, continuez de nous faire rigoler

La mer profonde

La mer profonde

La mer profonde, tu est toute ronde
Je tourne je tourne en blonde
Je suis si loin de ma moitié étant triste
Qui vis avec moi et fait des tours de piste

Si impuissant et incapable de faire face à sa détresse
A ses moments d’angoisse et de tristesse
Où tout les mots et les paroles font mal
Où chaque palabre n’est plus vraiment banal

Toi sans moi c’est comme une justice sans prison
Comme une course poursuite sans passion
Je suis épris de toi, de ton univers adoré
Où je me suis senti si désirable et aimé

Si beau si charmant dans notre village
Et je suis amoureux de tout ces sillages
Au point que les pépites d’argent soit de l’or
Que ton amour soit devenu mon trésor

Empathie

Empathie

Les mots n’ont aucun sens
Ils nous mettent en errance
La variété est ton fort
Sans quoi je serais déjà mort

Ton cœur , ton âme, ton empathie
Tes yeux, ton visage, la sympathie
Plus près, plus proche, plus loin
Jamais seule,jamais dans un coin

Tu est l’étoile de nombreuses vie
Une douceur est née une nuit
Tu m’a donné souvent de l’espoir
Le jour où j’ai cru sauter dans le noir

Des dizaines, centaines, milliers t’aime
Mais beaucoup tentent et reste blême
Nous recevons parfois plus que de donner
Tu est à notre image, notre icone, forgé

Sans fondement

Sans fondement

Un jour si loin, ce jour certain
Où je rencontre une personne intelligente
Qui est présente, mais jamais ne se vante
Et parfois quelques-uns se sont cru malin

D’affabuler certaines pensées, certains mots
Chaque fois sa présence, j’ouï des insanités
Par des personnes, ami sans envie ni volonté
Que de semer panique en relatant ces propos

Ces palabres pour dire à quel point la vulgarité
De bon nombre d’âme me semble sans fondement
Que je demande de me respecter fermement
Et dire à quel point ne confondre amour et amitié

Qu’aucune fille ou garçon ne devrait subir
Des insinuations libidinal à son encontre
Qu’un garçon ou une fille peuvent faire rencontre
Sans nécessairement l’un ou l’autre n’être éperdu

Regards

Regards

Regards d’amour, regards de dignité
Quand l’oiseau vole près des cieux
J’ai à votre égard de l’avidité
Des vœux j’ai rêvé en ces lieux

Si loin de cette terre ensoleillé
J’ai vendu mes mots, inaudibles
Vos yeux se reposent à l’éternité
Vous avez lu mon entière bible

Perdu dans vos  eaux bleues
Je suis un naufragé de la vie
Devenu entièrement silencieux
Je garde le cap, aujourd’hui

Soulevant des montagnes pour m’aider
Vous m’aimez sans aucun jugement
Laisser moi dire mes légers sentiments
Que je vous aime encore plus, sans s’offusquer

 

 

La moitié de mes peines

La moitié de mes peines

Tu a réduit plus de la moitié de mes peines
Doublé mes joies, atténué l’ensemble des problèmes
Mon coeur est enfermé dans ta vrai et grande prison
Suis-je autant aimé dans ta gigantesque légion?

Ma missive tellement insuffisante à ton égard
Insulte mes sentiments, mon amour à ton regard
Aucun attachement n’est plus vorace que mien
Sans toi, l’amitié est fade, ne vaut rien

Corporellement loin de mon être tu est
Et même si nous vivons souvent en virtualité
Ton âme a percé mes entrailles, mes victuailles
De délices et de bien-être tu m’assaille

Nous étions deux ce onze février dernier
Nous sommes surpris chacun , vivifié
Nous ne formons maintenant presque qu’un
J’ai pensé à toi, j’ai eu raison ce matin là

Ode Fraternel

Ode Fraternel

Mes entrailles meurtries
Maintenant sans vie
Mon plaisir charnel
Toi petite pucelle

L’éclat de bonheur
Est en toi ma soeur
Doux visage animé
Face à la réalité

Princesse tu n’est point
Je revient de loin
Oublié de ton coeur
Quel grave erreur

Je naquit avant toi
Tu représente la loi
Oublié parfois je suis
Et jamais tu n’a ris

Toi, si douée de nature
Jamais aucune rature
De pépin, de chagrin
C’est très malin!

Ignorance

Ignorance

Ignorance, tu es ma petite vengeance
Ignorance, Et c’est à toi que je pense
Ignorance, j’ai un tour d’avance
Ignorance, je n’ai aucune croyance

Me voilà stress de toi, sans nouvelles
Tu t’es encore fait la part belle
Et me voilà, encore une fois, rebelle
Pourquoi, à moi, ta petite hirondelle ?

Ma petite coccinelle, toi si proche
Tu ne m’es que de reproche
Et loin de là tu m’abandonnes
Tu peux encore changer la donne

Sincérité

Sincérité

Dédié à ma banane,

Des gens sincères, des gens austère
Ceux que je porte dans mon coeur
et particulièrement une que je serre
de toute mes forces,mon ardeur

Je pense à elle, tout les secondes
Car plus je suis loin, moins je suis bien
Et je n’ai d’idée vagabondes
Et en toi, ce n’est une âme de rien

Depuis six ans maintenant, tu me préserve
des haut dignitaires, des bêtises humaines
Des harceleurs, crieurs, qui m’assènent
Que de choses vaines!

Vaines pour le peuple qui me hait
Mais toi tu ne pense que je suis fardeau
et à tes yeux, je ne suis que beau
Toi, qui , parfois me plait

Tant au niveau attributs que morales
Car tu ne fait point de choses paranormales
Et tu ne vis jamais dans l’indescence
Et rarement dans l’ignorance

Que le monde est noir, plein de préjugés
Que la politique fasse plein de réfugiés
Que l’amour s’envole dans cette société
Je suis sur que tu reste, non initié!

Loin de là

Loin de là

Loin de là, loin de moi
Viens par ici mon extraordinaire
Toi qui fait partie de ma sphère
Je suis loin de ton émoi

Et toutes ces choses roses
Et le lilas sur ta douce figure
Et cet oxygène morose
Contient ton air pur

Ta tendresse regardée
Dans ce ciel d’été
Est comme ma vue
Sur le boulevard ingénu

Je cours, tu me fuies
Je te fuies, tu cours
Et je t’attrape au retour
Allez continue, je rie

Indigné

Indigné

Indigné mon amie, de te voir souffrir
Indigné, alors qu’habituellement je te vois rire
Indigné par ces mots, ces cris épouvantés
Tous les mots de ma sphère restent désespérés

Et ils te crient  A l’aide
Reviens vite je ne suis pas loin
Toi qui te souviens
De ce passé, pas si lointain

Tandis qu’ils fuient elle assume
Avec beaucoup de regret, d’amertume
Et je dis viens par là
Te réconforter dans nos bras.

Nous qui t’aimons
Et qui à ton secours viendrons
Comme viennent les pompiers au feu
Toi, qui dans ton désespoir nous alarme

Et nous dit oui, et nous dit non
Ces deux mots en même temps
Deviennent des maux sans signification
Nous sommes là , pourtant

Et le restons, comme depuis des années
Toi qui à brûle-pourpoint pleures
Nous ne comprenons pas que tu aies peur
Nous sommes des gens de coeur

Ces mots pour te dire à quel point nous t’idolâtrons
Et à quel point nous combattrons
Pour ton bonheur de vivre , ta liberté
Avec ceux qui établissent ta vérité

Si vite perdu

Si vite perdu

Ma rose du matin, si vite perdu
Mon chagrin, tant soit peu lié
Et je peux encore aimer
A ces instants que je t’ai volé

Et si rapidement tu t’éloignes
De mon cœur, mais je t’aime encore
Car dès que je te parle je te dévore
Et comme avant, ton corps j’empoigne

Je suis exposé à tes rayons ultra-violet
J’ai brulé une partie de ta flamme
Mais la mienne reste pour toi, ma femme
Et ce seul amour, je te l’ai accordé

Et je ressent la nostalgie comme vacances d’été
Comme si c’était loin, passé, daté
Et pourtant c’est toujours au présent
Et je te souffle de l’amour maintenant

Si lointain…

Si lointain…

Si lointain je vois le chemin
si vilaines j’entends le son de ces voix
qui murmurent qu’il n’osera
qui demande si je suis un faquin

ils réuniront les fonds
ils se colleront à toutes saisons
et, en l’espèce ils sont en liesse
et quand je parle, ils rient dans l’allégresse

l’argent ça rend méchant
voire même peut-être vicieux
je tape et ça sonne creux
je frappe, mais dans le sens contraire est le vent

En cette année archaïque
je me vois volcaïque
et je brasse,je brasse à vent contraire
et plus vous vous tassez, moins je suis vert